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DANSE MACABRE

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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:21
Maria Celestina Neruda

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ Neruda sonnette des anciens travers, elle traverse les plaines, les déserts écho des périple que la jeune fille inflige. Ne-Ru-Da sonne trois fois sur le palais alanguie des fustigés, sonne trois fois la mort à ses doigts, sonne trois fois les délices éprouvé qu'elle murmure aux creux de tes bras. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Maria la vierge à l'enfant dans son cœur palpitant, Maria l'éjaculée de terre, elle prend les tambours, fait sonner les corps Celestia. Elle vole aux astres des vermeils, démone des vestiges pourris Maria c'est la famine alanguie des Désirs funestes. C'était mieux avant ♆ Bohème des grands chemins dans la paume de sa main elle contemple les grains glissant, coulant ces pierres sur sa peau parcheminée. Elle ne dit rien. D'âge échos somnambule elle rit de ces beautés bestiales. Immortelle la fragile amère. Première Bouffée d'air ♆ Grenade les croisades qu'elle observait de ses orbes anéanties. Date il n'y a pas le mystère de Marie l'étoile des saintes, le mystère de Maria le requiem averti. Papa et Maman ♆ Bourgeoise espagnol, fillette aime-t-elle à se faire remarquer descendante des barbares colonialistes. Dans mon lit ♆ Elle goûte les courbes enchantées des femelles, des gazelles dorées. Elle peuple les lits masculins de son parfum pourri, enchanteresses ses mains vagabondes elle suit les stries des victimes. Degré de solitude ♆ Son amie la lune comme les mélopées des sirènes elle éblouie sur son chemin, un lit toutes ces nuits d'opalescence mais de sa jumelle elle trouve le ciel. Tromper l'ennui ♆ Elle vend ses charmes l'aube et l'aurore, ses ravages ferme le néant aux sbires des fidèles.. Tombé dans le trou à rat ♆ Des soleils brûlant caressant l'épiderme vernie de cette païenne... trop longtemps les litanies s'élevèrent dans ces dunes embrasées. La nouvelle famille ♆ Parasite la catin des ouvrages faméliques.


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Rebecca ou Becky  DANSE MACABRE 567651391 .   Pseudo pas beau ♆ J'en ai eu plusieurs mais aujourd'hui c'est Vagabonde. Nombre d'hivers endurés ♆ (âge) 20 tempêtes de neige, un 21 tsunami bientôt en coulisse se prépare. Pierre précieuse préférée ♆ Le rubis rouge comme le sang, rouge comme la braise, sanglante et inspirante (malheureusement je n'en ai pas vu de mes yeux de ces pierres là).  Compagnie de voyage ♆ (comment t'es arrivé là) Longue histoire. On va dire que j'admire ce genre de forum et que celui là je l'ai suivi de très très près. Mot doux ♆ (ce que t'en penses) Toujours aussi merveilleux, vous savez créer l'ambiance qui sied à merveille à chaque forum. Que ce soit du design ou du contexte (je dois dire que j'affole des belles lettres, des beaux mots et de la poésie tout simplement) Degré d'addiction ♆ (fréquence de connexion) On va dire tous les jours minimum même si j'y passe et ne poste pas j'aime me tenir au courant. Sésame ouvres-toi ♆ (code du règlement) OK PAR CLEB (ça me dit quelque chose ça  DANSE MACABRE 3921166857 les smileys aussi tient  ange). Tête de cochon ♆ (ton avatar) Kate Bogucharskaia. Remerciements ♆ (crédits des images) Tumblr, Weheartit, google... Mot d'amour en plus ♆ Je l'attendais depuis ce matin cette petite merveille.
Viens-tu troubler, avec ta puissance grimace, la fête de la vie ? Ou quelque vieux désirs, éperonnant encor ta vivante carcasse, te pousse-t-il, crédule, au sabbat du Plaisir ? ▲ BAUDELAIRE
AVE MARIA
De ses ailes fuligineuses elle volait les larbins, les brebis, les fiers et corrompus de ses bras de cristal, son visage de marbre aux traits élégants se mouvaient dans les danses obscurs de ses pensées funeste ô vierge des martyrs elle accueillait les décombres des spectres. Toujours dans ces rues peuplées de pauvres, de misérables portant sur leurs épaules cassées des litanies de pierres, de psaumes égarés, de son sillon sibyllin elle distillait les étranges poèmes de sa voix formidables, elle distillait les vices palpitant des hommes naufragés, les corps lascifs exposés, elle vivait de sa joie calme les vertiges, les précipices des errants dans cette ville incandescente des démons flagornés. Elle voyait les brumes éparses sur son chemin de dalle, l’ouverture des ruines des âmes sur son ravage, des paroles faméliques, chimériques qu’elle apportait de ses lèvres pleines peinturées de rouge sanglant coulant sur son menton bâtis de pièces maudites. Elle côtoyait chacals et touristes empruntant sagement des monnaies rutilantes à ses doigts de fausse vierge innocente. Elle racontait fables et contes de ses éloges parfumées de soufre et moire que ces bêtes, fascinée par la frêle épouse à leur côté, écoutaient les stries, les mots délivrés de leur tombeau larvé. Promenade des anges déchus de leur supplice, elle jetait son regard couronné sur les rues sableuses de cette ville odorante, des cadavres, des charognes, des monceaux éparpillés de jambes et de bras tachetés sur les trottoirs mal dessinés, des gangs, des esprits, des hurlements qu’elle dégustait son visage de cire un sourire épris. Elle observait le néant symbolique dans ses iris miroitées les précieuses, les bijoux brillant, les vices petites amies de sa peine agacée, elle contemplait l’œuvre de Beau Triomphe des damnés son cher à son cœur agonisant Satan son maître d’horreur. Voluptueuse ses courbes magiques, elle se refermait sur des chambres unies, décorées de gouts futiles, un lit accroché à son bardeau mortuaire et les coups de reins, les coups de rien dans son être sanglotant, méprisant pour ces chiens au garde drapé et ce poignard d’une goutte tourbillonnant sur la lame des fustigés. Elle tuait, tuait, tuait, tuait. Elle dansait alors sur cette silhouette détruite par des mains vagabondes, des paumes, des phalanges gracieuses promesses de plaisirs des nuits lumineuses, sur son dos des dentelles de mélodies un tissus brisé, usé par ces temps de guerre, rapportait l’argent sale à sa boite des merveilles. Bohème, La Céleste pauvre nom infect.


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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:21
les vertiges ravageurs

l'étrange
Sur ses os de paille, gelés par les envies des ogres elle marche dans le paysage morne et triste de ses yeux défaits par cette fatigue compagnonne de ses nuits. Toutes, ses nuits. Sur ses jambes de poussières, frêles et maigres brindilles somnolentes, elles supportent la légère plume du buste et des bras de Maria. Céleste l’enfant du ciel, Celestina que les hommes après leur moment d’amour susurrent de leur gaillarde voix d’ivre à l’oreille décorée de la jeune femme ses jambes délicatement relevées le repas des copieux. Elle fait miroiter de ses esquisses de sucre dans sa voix mélodieuse, elle fait jouir les innocents tout jeunes crapauds dans sa tanière à l’ombre du danger. Un matelas, un drap, une main, un frôlement de ses cils sur les joues détruites des barbares et les histoires contées, les chants psalmodiés à l’abri des pures, mères promenant leur enfant en haillon de coton. Elle lit dans ses esprits de travers, caresse vengeresse les torses tortueux des étrangers, la peur en leur orbes fascinés derrière elle, l’effroi macabre de leur destiné se dessine, se compose, vit… et les clients fuient. Elle vagabonde dans son rire torrentiel l’argent sale dans ses mains de succube, dans son antre épouse de son âme damnée, dans les paysages d’acide du pays des vivants un rien mort en voyant leur décombre de carcasse. Dur, dur à porter que l’émanation du bourreau, les fautes commise tout autour d’eux qu’elle remarque de ses pupilles dilatées par les livres s’ouvrant devant elle, par les humains giclant du précipice de la vie. Elle touche, aiguise ses papilles, garde les secrets qu’elle récolte sorcière des flots tout contre elle, contre les ennemis, les gentils, les indulgents, les racistes, les pauvres, les riches, tout contre elle les déboires, les rires, les espoirs des gens.
(c)ARABELLA

São Poeira
Elle traverse les dunes, les collines de sables tempétueux dans son âcre existence. Fille invisible pour le commun elle apparait au détour des Eglises sans jamais, jamais y mettre ses petons recouverts de lins. Fille des joies meurtries elle acquière les bras ouverts les monstres d’étain dans son logis funèbre, emmène les chiens dans la pauvre chambre démunie, brise quelques cous pour le plaisir de sentir. Elle fredonne les légendes de son enfance qu’elle n’a jamais connu, elle distille ses doigts dans les cheveux de son enfant sa sœur. Elle part nomade dans cette brume fustigée du village abandonné par la loi, les policiers, se protège de la violence malsaine s’écoulant comme les rires immenses des surannés colorés. Elle ne parle ni ne pleure dans les esquisses foudroyantes d’arbres dévêtu, de minces peupliers et de bananiers appauvris. Elle observe calme les moribonds de chair, la vie des affamés, calme elle aime tout de même sa Mère ce trou béant qu’elle apprivoise tendrement, qu’elle se promet toutes ces atroces nébulosités de ne jamais la quitter. Trop fragile, oppressant en son cœur déjà ensanglanté. Elle déploie ses ailes fragmentées sur le sable ardent des merveilles. L’ombre des êtres, l’ombre des visages où résonnent l’indigence et la faim, où résonne la coupable et glorieuse fortune des Valkyries démentes, c’est la fille que vous apercevez là, au loin, ses cheveux bondissant, tourbillonnant et ses yeux ensorcelles.
(c) ARABELLA
Ce qu’il est l’homme ? La plus salope des créatures ! La plus vile et la plus sournoise et la plus cruelle ! Le tigre, le crocodile ? Mais ce sont des anges à côté de nous ! Et ils ne jouent pas au plus saint, au grave penseur, au philosophe, au poète ! ▲ VERCORS
Duchesse amère
« Je vous salue Marie mère du Christ ô ma bienveillante… »
Les embruns de voix s’évaporèrent dans l’amer, ces mélopées funestes à une déesse chavirant, Maria tendre enfant des cieux stoïque, statue de cire, observait la génitrice de ses jours, pétrifiée par les prières prononcées toutes ces aubes écarlates et d’aurores d’ors naissantes les prières incessantes des apôtres fidèles, de sa fragile auditrice. Au fond de cette salle lugubre où ce clair-obscur entourait la gamine assise là, sur une chaise de poussière, là cette gamine d’ombre que les croyants passait leur pas sur les décombres de cette église à moitié détruire, à moitié édifice, elle fermait ses pupilles que ses cils longs caressaient son velours d’épiderme ; maigre réconfort à cette solitaire déjà. Ô vie des cruels elle suivait de ses pas colombe salie par le sable, les débris, les cendres, les effluves de ces bidonvilles, sa protectrice le croyait-elle entre ses bras des berceuses chantées, carmines, joyeuses. Elle allait, tremblait de peur de lâcher sa main, les mains de ses proches défunts, elle galopait tendre gazelle ses fins cheveux de printemps sur ses épaules de danseuse abolie. Pas de rêve, pas d’espoir en ce bas monde, à tout moment la misère, la décadence à ses iris pulpées, colorées d’horreur. Des singes-hommes dans la cabane de bois entraient, sortaient, excédaient des cris, des outrages que Maria entendait de sa chambre vagabonde. Sa maman alors dans son étendu de femme, nue comme l’enfant naissant embrassait de ses lèvres peintes, de ses lippes recouvertes de crasses ces condamnés décharnés, offrait les vertèbres affligeante aux dissidents du Diable. Maria petit ange de la fécondité, enfant de pauvreté, pleurait, versait ses larmes de nacre sur le sol enflammé de grains que la petite maison faites de dégât et ravages portait sur ses assistes ouvragées. Elle entendait les hurlements, les coups de ces engins goupillés, des gangs sur les plages désertes s’entretuant dans ce pays virulent. Brasilia où les gamins vêtus de haillons volaient. Brasilia où les prostituées dans leurs yeux étincelant menaçaient les concubines concurrentes. Brasilia la mère de tous ses enfants écartelés par les flots des politiciens corrompus, puants, atroces, l’argent entre leurs phalanges emmêlées de sang et de chair. Petite fleur du désert elle ne comprenait pas, voguait palpitante entres les dunes chaudes des collines dépeuplés. Elle sortait, claquait cette porte de rouille tandis que les échos, requiem rocambolesques dans la chambres dérangée de son modèle continuaient leurs périples, remplissaient de leur odeurs sataniques les voisins enrubannés de tristesse. Elle courrait ses pluies sur ses joues minces de petite fille, se cachait là, au coin d’un peuplier seul égaré également à l’effigie de son état. Seule. Sonnant le timbre des voix des morts, petite de huit ans et déjà la vieillesse des sages, elle naquit dans cette déchéance, la perdition attisé de la pourriture humaine. L’ogresse de ses dents aiguisées relevait de ses jupons effanés les cadavres d’effroi, exhibait sa carcasse brûlante des laisser pour compte, des parias, de la majorité à ces paysages, ce pays émergent disait-on là-haut les occidentaux. Et elle naufragée dans ce monde stagnant les vertus gâtées, les vices rejetés par les êtres sans défenses, elle échouée, jeunesse ravagée avait vu témoin de braises la survie de l’espèce.

Pétrifiée dans cette pièce ténébreuse à l’ombre des chacals, Maria, ses mains tremblantes par le ventre déchiré de sa mère sur cette table brinquebalante, ne pouvait bouger par l’angoisse se peignant devant ses yeux de sang. Son guide – enfin devait-elle l’être comme tout bon parent – poussait, poussait des hurlements stridents arrachant l’enfant de ses rêves, noyant l’enfant dans les bourbes de sauvagerie rutilantes. Sa mère se tordait, se disloquait sous ses orbes ébahies par le spectacle de coulées carmines, d’organes fragile entre ses os saillant. A dix lunes éjaculées par la Grande Garce de vie elle assistait à la beauté acclamée, le paradis de donner naissance. Hélas ô les gouffres solitaires, elle titubait de cette horreur solaire, sa mère dans sa laideur peinture de marbre sur les vilénies de la casa, se mourait doucement crachin des torrents anéanties. Son dernier cri alors dans un souffle frêle, elle tendit sa main dérisoire, usée par les sévices imposés des gardes, à sa première la belle brune des Espagne, sa petite qu’elle berçait au temps de ces rideaux de voiles opaques lorsque, dans sa nuque brûlait les gouttes de ses yeux diamant. Elle apaisait son cœur souffrant la vierge maudite à son innocence chérie. Et cette main tendue à sa fille, et l’appel Détresse de l’agonie, la petite se mouvant timidement elle prit entre ses doigts de fée les autres timorés de sa déesse. Elle lui dit tendrement ses doigts vagabonds sur ses joues mouillées, trempées d’averse, elle lui dit bas de son murmure infidèle. « Tu es la suivante amour. La suivante, la maudite, l’héritière de ce métier que je faisais tous ces jours charognes vertueuse. Accueille les, maudis les, sert les. Rampe, frappe, tape, hurle les litanies affriolantes. Protège l’œuvre de Dieu celle-là même entre mes bras rougis. Prend là, bénie là car, à présent la mort belle ô belle m’emporte au loin, loin de ces décombres sinusales. » Raide sa mère ô pauvre gamine laissé, solitaire, dans ses bras de frêle poupée la fille tueuse, dans ses bras la meurtrière de son origine son âme voguant maintenant parmi les spectres. En son cœur sanglant elle voyait le lac, la larve jaillissante entre ses épaules, sa tête de fils filandreux, sa tête de pleurs et de morve collés sur sa robe de jute. Sa sœur-née en ce printemps incandescent, cet être plein de chair et de bruit sortis de ses lèvres glacées d’un monde épouvantable. Elle la posa - voulut-elle durement – au grès de ses efforts païens sur le sol enténébré dans la masure de ferrailles, sortie chancelante la sagesse dans ce corbillard écarlate et les âmes près d’elle, errantes telles des dogues affligeant sur les plages de sable brunis. Elle vit les faces étrangères de ses voisins papillonnant aux luxes, aux activités opalescentes. Des femmes toujours leurs lippes enduites, des hommes toujours l’arme au poing et la barbe rongée par leur soin. Elle vit les animaux cadavériques sur les éboulis de roc, elle vit les décharnés sur leur lit de paille. La misère dans sa splendeur incarnate rampante sur ses nu-pieds, elle s’enfuie effrayée de peur de tomber dans ce gouffre sombre que la pauvreté formentait. Elle rejoignit l’ignoble bête qu’elle porta tout contre son bourgeon de sein maman précoce, et, l’exemple abattu devant ses mouroirs d’yeux voilés par ces déluges d’ondée, ses cheveux cascadant entre ses épaules affaissés, elle commença de sa voix rayée à chanter les louanges de Gabriel, Marie, Jésus oubliant le temps des échos les rires hystériques, les voix ensemencées, la petite chose entre ses doigts qu’elle-même avait du mal à soulever, les chutes des déchus. « Tu es bien là, tout contre moi. Tu verras, j’te protègerai des diablotins. Tu es bien là, tout contre moi. ». Se berçant pour deux entre les murs de boue et le cadavre d’une mère, deux fillettes abandonnées dans la décombre humaine.

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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:29
bienvenue ici avec cette merveille. le pseudo est magnifique tout comme celle qui le porte, et que dire des premiers mots; la suite est bien mieux d'arriver au plus tôt perv - sinon mon chat, il manque un petit brin du code de règlement DANSE MACABRE 3921166857 -
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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:36
Je me disais bien également que j'avais oublié un petit fragment du règlement, c'est arrangé  DANSE MACABRE 567651391 

Merci beaucoup pour tous ces jolis compliments ! Que dire de tes personnages sublimes qui collent à l'âme qui lisent ? Je te donnerai les breuvages de mots avec plaisir très bientôt !  DANSE MACABRE 2834593855 
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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:41
oh, je dis pas non à des pluies de mots doux sur mes fiches DANSE MACABRE 207091314 DANSE MACABRE 3811824728
je cours valider le code, attention à la fiche DANSE MACABRE 3921166857
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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:46
je n'sais pas pourquoi mais je suis amoureuse de ton avatar, j'ai bloqué dessus. ce que j'ai lu donne déjà l'eau à la bouche, hâte d'en savoir plus sur la jolie. bienvenue chez toi  DANSE MACABRE 207091314 
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(#) Sam 11 Jan 2014 - 16:50
Cleb (quel joli pseudo plein d'émotion dis donc !  DANSE MACABRE 2250026331 ) je viendrais aussi vite que je peux sur tes fiches juste pour le plaisir de lire et de poser quelques doux papillons.

Ange je suis d'accord quand je l'ai découvert au début de la semaine je me suis tout de suite dit que c'était pour Foutue Vermine ce vava. Du coup j'ai pas hésité, elle est tellement magnifique !  DANSE MACABRE 567651391 Je trouve qu'elle a un air de ressemblance avec Marine De Leeuw aussi !
Merci beaucoup, j'essaie de vite la terminer !
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Atílio Lampião
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♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Sam 11 Jan 2014 - 17:07
je vais plussoyer mes camarades hein, l'avatar est complètement vilain DANSE MACABRE 2169228160
contente de te retrouver ici du coup et hâte d'en voir plus perv
Atílio Lampião
https://foutue-vermine.forumactif.org/t691-atilio-no-guts-no-glory-no-legend-no-story
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(#) Dim 12 Jan 2014 - 22:15
tu sais quoi ? bah, j'suis du même avis que les autres, tu atteints la perfection avec c't'avatar de malade.

bienvenue. puis bon ton style : c'est inutile de le souligner, t'es tellement.  DANSE MACABRE 1578669634
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Atílio Lampião
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♆ PSEUDO : AMIANTE.
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♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Mar 14 Jan 2014 - 12:00
bienvenue à São Poeira
la vie est finie, mais tu survis.


voilà, au risque de me répéter, elle est belle ta celestina, elle est belle ton écriture. c'est un plaisir à lire, vraiment :perv:et puis cette histoire, rah la fin  DANSE MACABRE 2834593855 le pouvoir et tout  DANSE MACABRE 2169228160 bref, tout est génial, bienvenue chez les jolis violets perv(on va bientôt avoir assez pour faire un bordel -pan- (juste t'aurais pu retirer les infos entre parenthèses dans le début de la fiche Laughing)

Il y a ce sourire, là, si grand, si laid, sur ses lèvres gercées par les morsures et le sang versé. Il t'observe, là, le torse ouvert, le coeur entre ses mains, maintenant. Plus rien ne t'appartient  ; tu es à lui tout entier, maintenant, qu'importe ce que tu choisis de faire. Ses ongles, si abîmés, s'enfoncent dans ton pauvre coeur et y glisse son venin. La malédiction est lancée ; te voilà captivé.

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(#) Mar 14 Jan 2014 - 18:18
Je suis heureuse qu'elle te plaise La Celestine ! DANSE MACABRE 567651391
Oui je pense que je vais retirer ce qui est entre parenthèse dans le début pour faire plus joli tu as raison ^^.
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