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M ♆ DUDLEY O'SHAUGHNESSY — PRINCE SANS COURONNE

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O Diabo
O Diabo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 281
♆ PSEUDO : SATAN
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : OMNISCIENCE
♆ ÉGARÉ : DANS TES CAUCHEMARS
♆ ENNUI TROMPÉ : DÉGUSTATION DES ÂMES

(#) Sam 5 Nov 2016 - 14:14
Charles Bellamy
Temple autrefois vivant, plein d'ordre et d'opulence, Sous les plafonds duquel tant de pompe avait lui. Le silence et la nuit s'installèrent en lui, Comme dans un caveau dont la clef est perdue. Dès lors il fut semblable aux bêtes de la rue.
CHARLES BAUDELAIRE ▲
L'ÂME ERRANTE
Héritage Infortuné ♆ Bellamy, c'est la richesse, c'est la belle vie. C'est l'arrogance, le mépris. Bellamy, c'est une fierté bien ancrée. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Charles comme les rois, les prince et même le Président d'autrefois. Charles c'est tellement chargé de gloire. C'était mieux avant ♆ Vingt-sept années qu'il est né, avec sa cuillère dorée. Vingt-sept années à se pavaner. Première Bouffée d'air ♆ De nouveaux petits cris dans la meilleure maternité de Londres. C'est Papa qui arrive en Limousine, téléphone à la main, il s'interrompt que quelque minutes pour observer ce joli ange qu'est son fils. Papa et Maman ♆ Gastronomie aussi discutable que leur humour. Du thé dans l'après midi et l'accent distingué. Pas de doute, ces deux là sont de purs anglais. Dans mon lit ♆ Charles aime faire croire qu'il aime les jolies filles, qu'il aime leurs longs cheveux, leurs seins et leurs hanches. Mais tel Narcisse devant son reflet, Charles les préfère comme lui, les muscles fins sous la peau mate et douce, les cheveux bruns coupés courts et les poches pleines d'argent. Charles ferait bien l'amour à son reflet, mais se contente d'autres hommes qui lui ressemblent. Degré de solitude ♆ Il n'y a de la place dans son coeur que pour lui et lui seul. Tromper l'ennui ♆ Chômage technique. Il essaie tant bien que mal de s'intégrer. Il vit de l'argent qu'il peut encore récupérer dans sa carte bancaire qu'il n'a pas manqué de cacher. Malédiction ♆ Son reflet qu'il a tant de fois admiré, disparu, envolé à jamais. Il n'apparait plus ni dans les vitres et miroirs, ni sur les photos ou vidéos. Tombé dans le trou à rat ♆ Cinq petits mois à peine qu'il est là, il en a déjà bien marre. La nouvelle famille ♆ Le déchet qui voudrait se faire aussi grosse que la crapule.
DORES FREITAS
Charles et Dores, on peut même pas nommer ça comme une histoire. Parce que non, ce n'est qu'un 'ça' plein de mauvaises intentions et d'intérêts à peine dissimulés. C'est une absence presque dégueulasse de sentiments. Une envie de trouver en l'autre quelque chose capable de les faire avancer, chacun à leur façon. L'un par amour-propre et l'autre par affection de l'impossible. Charles ne la trouve même pas jolie, finalement, mais Dores l'aide, par leurs moments sous les draps à faire disparaître la malédiction. Heureux, le gamin retrouve le temps de quelques heures la beauté de ses traits. Il serait capable de tout, Charles, pour admirer la couleur de son teint. C'est un peu devenu l'une de ses plus belles drogues. Alors, à chaque lever de soleil, à chaque sensation de vide, le voilà qui rampe sans aucune fierté jusqu'au lit de la demoiselle aux cuisses ouvertes. Elle sourit, Dores, à sentir son corps se perdre au sien. À attraper sa main, devant le regard noir de Primo, espérant vainement un signe de sa part. Un geste quelconque capable de lui prouver l'affection dont elle espère toujours de lui. Mais en attendant, patiente, la fleur se perd sans grâce au toucher parfois brutal de Charles.
Ils ne vibrent pas de leur relation mais y reviennent fatalement, par espoir et idiotie.
PRIMO FERRO
Elles naissent presque, les étoiles, dans le regard du jeune Charles. Il se sentirait presque petit et con, là, face au grand Primo et sa barbe rugueuse. Primo et ses muscles saillants. Primo et sa façon d'écraser ses clopes par terre, comme il écraserait n'importe qui, du petit doigt. Ce type, c'est un peu le gars qui sait toujours quoi faire, dans toutes les situations. Il dit sans cesse les choses qu'on aurait voulu dire soi-même. Et Charles, un peu trop idiot, le regarde du coin de l’œil sans entreprendre grand chose. Il a le cœur qui part en bataille à chaque fois qu'un mot de sa part lui est accordé. Le gamin a parfois l'impression d'être important mais le sourire de Primo, il cache toujours quelque chose d'autre. Et derrière ses lèvres étirées, le grand homme ne cesse de trouver Charles un peu plus pathétique de jour en jour. C'est un parasite, à caresser la peau de Dores, à la laisser l'afficher tel un morceau de viande à la vue de tous. Ce serait peut-être bien, de mettre un grand coup là-dedans, histoire de remettre les choses à leur place. Personne n'est à l'abris de rien, ce serait comme jouer aux dominos.
DADO SAPATO
Le premier regard a été comme un coup de foudre entre ces deux là, un éclair les traversant de part en part pour ne laisser que leurs extrémités brûlées par l’intensité du choc. Pas de révélation qui fait battre les cœurs ou s’affoler les pantalons, non, la sensation qu’enfin, perdu entre la crasse et les inconnus terrifiants, ils avaient retrouvé une partie d’eux-mêmes. Comme deux frères ayant grandis ensemble, tout comme une évidence au fil des jours, de leurs traits semblables à la façon dont les autres se rient des muscles desquels ils n’arrivaient pas à jouer pour qu’on les laisse tranquille, sans doute auraient-ils pu être les piliers l’un de l’autre si Charles n’avait pas un jour franchi les barrières pour toucher les lèvres de Dado des siennes. Si Charles aime aimer ce qui le rappelle à lui, Dado lui  est dégoutté à l’idée que son frère de misère aient pu penser qu’il était de ce genre là, il n’y a eu que la colère de la part de la statue de marbre, de la peine pour celle de cuivre de voir son double le repousser et poignarder son ego sans sourciller. Aujourd'hui il n'y a que les insultes pour les rapprocher quand le diable les fait se rencontrer au cœur du village.
PRINCE SANS COURONNE
Il est enfin là, le petit prince, le divin enfant, le fils adoré, le précieux. Ils l’auront attendu, le petit Charles, des années qu’ils essayaient de mettre au monde une perle rare, un mélange de leur patrimoine génétique déjà exceptionnel. Des petites boucles brunes, des yeux émeraude, déjà beau comme un dieu du haut de ses quelques heures. Charles, pur produit de la jeunesse dorée, des rouleaux de PQ en or plaqué et les parents qui l’ont choyés. Charles c’était leur bébé, leur petit rayon de soleil, leur coin de paradis, l’enfant à gâter. Charles, il n’avait qu’à lever le petit doigt, entrouvrir ses lèvres pour que parents ou leur armée de domestiques ne vienne à son secours. Véritable petit roi, la couronne en moins. Charles, c’était leur fierté, le petit ange à exhiber devant collègues, amis et passants. Les compliments qui pleuvent, qu’il est mignon, qu’il a l’air adorable cet enfant. Nul ne se doutait que l’ange était sûrement d’avantage tyran. Charles il est passé dans la vie, comme un couteau dans du beurre, sans grand effort. Loin d’être idiot, la réussite lui souriait et là où s’arrêtait son intelligence, c’était sa beauté qui prenait le dessus pour lui ouvrir les portes qui restaient. Miroir, miroir en bois d’ébène, dis-moi, dis-moi que je suis le plus beau. Charles se perd dans ses propres yeux, caresse du bout des doigts ses courbes parfaites. Et Narcisse se mit à aimer son propre reflet. C’est le début d’une romance, une grande passion. Plus incongrue, plus ridicule, mais non moins réelle que d’habitude. Personne n’aimera Charles plus qu’il ne s’aime lui-même et Charles n’aimera personne d’avantage qu’il ne s’adore. Alors oui, Charles aime l’attention, être entouré de ses fidèles, horde d’insectes autour de la lampe. Il leur sourit de temps en temps, un peu distraitement, pour que la foule soit contente. Charles, roi des apparences. Promenant à son bras quelques jolies élues. Il leur est accordé un peu de son attention, quelques uns de ses baisers, quelques nuits de chaleur. Il les aveugle de quelques mots doux murmurés, toujours les mêmes, pour qu’elles ne puissent plus lire le désintérêt profond qu’il leur porte. Charles n’aime pas vraiment les filles, non. À vrai dire, Charles n’aime pas non plus les garçons. Charles n’aime que lui. Alors, du haut de ses quinze ans, quand il voit débarquer son petit frère, Charles n’est pas content. Il va le détester instantanément. Ce sale voleur de l’attention de ses parents. Méchancetés, moqueries, tout sera permis. Charles essaie de ramener l’attention sur lui. D’abord les bonnes notes, le fils exemplaire puis voyant que cela n’avait guère son effet. Charles s’invita dans la jeunesse décadente, dilapidant l’argent de papa et maman en champagne hors de prix ou en poudre blanche magique. Il ose se perdre dans d’autres corps, des bruns, jeunes, riches, il se cherche lui dans ces visages, dans ses amants, dans cette quête de Narcisse. Charles, ce qu’il préfère dans vos yeux, c’est son propre reflet. Pupilles éclatées, verre à la main, le prince rit de sa débauche. Regardez-le, encore à briller de mille feux. La comète ira bientôt s’écraser. Et bientôt la folie, l’ivresse de la vie lui passent, il revient dans de bonnes grâces. Si Charles n’est jamais parvenu à pardonner son frère. Il a entamé ses études de droit. Il a passé la bague au doigt. Les parents sont ravis, de cette superbe fiancée qu’ils ont eux-mêmes choisie. Alors ils lui ont accordé un dernier excès, une dernière folie. Deux semaines au Brésil avec quelques amis. Ils n’imaginaient pas que les deux semaines deviendraient mois et sûrement toute la vie. Ils ont voulu montrer qu’ils étaient plus forts, ils ont voulu se jouer du Diable. Mais le Malin les a bien puni. Emprisonnés, humiliés, tués, condamnés. Prince déchu, jeté de son trône, réduit à vermine. Et surtout, Charles fut privé de bien plus précieux encore, son reflet qu’il se plaisait tant à regarder. Invisible désormais, sur les vitres et les miroirs, sur les photos et les flaques d’eau. Alors Charles observe, tente de se faire une place parmi les brutes, tente de montrer qu’il est dur, pour ne pas se faire bouffer tout cru. Il reste tapi dans l’ombre, valet faussement obéissant, attendant son heure pour retrouver la gloire.
O Diabo
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