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| ( #) Mer 23 Avr 2014 - 22:55 thackery darko âme égarée Héritage Infortuné ♆ Darko. Tout le monde me connait sous ce nom, peu nombreux sont les habitants qui connaissent mon véritable prénom. Et ça sonne bien, ça se retient, une menace doucement susurrée suffit à me faire connaitre. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Thackery, il n'est jamais utilisé, pas même par ma sœur. Le prononcer reviendrait sans doute à signer votre arrêt de mort, vous voulez essayer ? C'était mieux avant ♆ Trente cinq années dans cette poussière fumante et dégueulasse, trente cinq ans de cruauté. Première Bouffée d'air ♆ Ici même, sans avoir fichu un pied dehors, j'étais là bien avant le diable, depuis un 21 février sombre et sale, dans une chambre délabrée de l'hôpital. Papa et Maman ♆ Le père américain qui a débarqué au fin fond du Brésil pour une histoire qu'il n'a jamais désiré me raconter - une sombre histoire de drogue ou de justice, rencontre une jolie femme du pays avec laquelle il va s'enfermer jusqu'à leur mort précoce - et tellement triste. Une histoire parmi tant d'autres. Dans mon lit ♆ Les belles un peu étranges, les fantômes des rues qu'on regarde trop souvent du coin d'un oeil perturbé, sans jamais oser les regarder de face. Un verre ou deux suffisent à les ammener à moi, un sourire de temps à autres, une nuit et puis l'au-revoir. Et puis il y a l'autre penchant, le sale, celui qui ne sort pas de leurs cuisses, les déchets, les cassés, tellement déchus qu'ils subissent mes tortures et mes flammes sans un mot pour quelques doses. Degré de solitude ♆ L'amour ? ça me fait sourire. Vous osez parler de moi, mais regardez avant les horreurs que vous vous faites subir volontairement. Tromper l'ennui ♆ Le saint patron des putes. Le roi de la décadence et de la tourmente. Pour tous vos désirs, vous savez où venir, qui vous donnera carte blanche. Je suis le tombeau des secrets et des lubricités les plus sordides. Tombé dans le trou à rat ♆ La vie entière dans cette poussière. La nouvelle famille ♆ crapule. au-delà des dunes Joli prénom ♆ Justine Pseudo pas beau ♆ j'en ai pas, mais vous savez qui je suis Nombre d'hivers endurés ♆ 21, presque 22 Pierre précieuse préférée ♆ l'émeraude Compagnie de voyage ♆ de fil en aiguille, de sail away à bazzart ! Mot doux ♆ c'est beau, c'est divinement rédigé, c'est pas doux mais on rêve de s'y plonger. Degré d'addiction ♆ je suis un peu un pillier de bar généralement, donc ça risque d'être assez souvent. Sésame ouvres-toi ♆ OK PAR ANGE Tête de cochon ♆ Christian Bale Remerciements ♆ avatar de mish.mish, gif - tumblr, et je remplirais pour le reste quand j'aurais Mot d'amour en plus ♆ je galère toujours trop aux codes de règlement, même quand ils sont écrits en gros et j'espère être à la hauteur la suite de la fiche arrive prochainement Que je deviendrais l'horreur de la race humaine, le jouet de la canaille, que toute la salutation que me feraient les passants serait de cracher sur moi, qu'une génération tout entière s'amuserait d'un accord unanime à m'enterrer tout vivant ? ▲ J.J ROUSSEAU Néron « Sais-tu que le bout d'une cigarette atteint les 700°C ? » Bien sûr qu'elle secoue sa jolie tête, la femme. Comment pourrait-elle le savoir, la stupide ? Alors ma cigarette s'éteint sur sa cuisse nue et lisse, qu'elle déguste l'incandescence. Maintenant, elle le saura, gravé dans sa chair. Son hurlement qui vibre mes oreilles m'agace, alors je l'attrape par les cheveux - quelle idée de l'avoir engagé, elle est tellement banale, et la baise. Baise accompagnée de sang, de mes griffes sur son dos, sur ses seins, qu'elle hurle pour quelque chose, pas pour une simple brûlure. Je hais les femmes. Celles-ci sont tellement vulgaires et tellement sales, les miennes sont des moins que rien. « Ta gueule. » C'est mon refrain, quand elle couine comme une truie. Quand elle fait semblant d'apprécier en gémissant, quand elle hurle sa misère en pleurant, « ta gueule. » Jouissance sans plaisir, je la jette de mon lit, qu'elle sanglote sur le sol et pas dans mes draps de soie. « Comment les hommes peuvent te payer ? » Dégoût. C'est par ses cheveux que je la relève, certains me restent dans la main. Des myriades de baisers sur sa gorge, des morsures tel un vampire. Sa peau est dégoûtante, salée de larmes, de sueur. Ses yeux débordés d'espoir quémandent sa dose. Un rire sordide et son visage ravagé fini plaqué contre le matelas. Sa détresse me fait bander, elles ont ce talent-là mes filles. « Tu la fermes, et t'auras ta dose, déchet. » Elle les retient ses larmes, l'obéissante. Comme un chien, elle m'obéit pour obtenir son os. Alors les mains ne se retiennent pas, des mues de chair sous mes ongles. Du sang perle, léché par ma langue râpeuse. Malgré son état, je sais que c'est ce qu'elle hait plus que tout, ma langue sur elle. Plus que les coups, plus que la baise, c'est ma langue insidieuse qu'elle déteste, celle qui se glisse sur son corps, qui la dévore, la plus intime. Coup de rein sur coup de rein, puis je lui balance sa dose sur le ventre. « Aller, casse toi. » La même chose tous les jours, les voir crever à petits feus par ma faute. Ma peau fume, la sienne cloquée. Une cigarette brûle à 700°C. Et moi, je brûle à combien dis-moi ?
Tous vos secrets m'appartiennent. Tous mes clients sont tordus, et j'accède à toutes leurs demandes. Une femme amputé, un homme, un enfant, un cadavre, un animal. Je suis une tombe, mais sans hésitation je les trahirais pour mon empire. Ici, il n'y a aucun jugement, la maison de la décadence et de l'horreur, vous êtes accueillis à cuisses ouvertes et vos moindres désirs seront comblés.
Ici, ils veulent tous ma mort. Le démon sur qui ils peuvent cracher. Celui qui leur permet de se voir dans le miroir en se disant qu'ils sont moins atteint que ce gars-là. Tuez-moi et vous tuez l'équilibre, tous les hommes cèderont à leur folie en dehors de mes murs qui vous protègent. Savez que certains demandent des femmes à torturer, à tuer ? Souhaitez-vous que ces femmes que je leurs fourni soient vos filles, vos femmes ?
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| ( #) Mer 23 Avr 2014 - 22:58 la démence, la décadence, la tourmente
l'étrange « Connard. » Mes mains entourent sa gorge, serrent, et il hurle, plus qu’aucun autre n’a jamais hurlé. Il hurle comme un possédé, les yeux révulsés, et sous le coup, je le lâche, le laissant tomber sur le sol. Mes mains n’ont pas la puissance suffisante pour ces marques qui contrastent avec sa pâleur, ni pour le tuer en quelques secondes. Ma peau fume, et la pluie grésille à son contact, mes vêtements brûlent peu à peu. C’est la seule fois où j’ai fui, sous l’incompréhension et oui, pour l’unique fois de ma vie, la peur. La peur de m’enflammer et de mourir.
Depuis quinze ans, toute l’ironie de cette malédiction est devenue un délice. Le pyromane enflammé, le feu contenu dans un corps humain. Je ris désormais à gorge déployée quand un faible m’agace, que je le serre contre moi pour l’embraser. La terreur dans leurs yeux est ravissante, quand ils sentent leur peau qui hurle, quand ils griffent pour échapper à mon étreinte. Si ces brûlures n’apparaissent qu’en cas de haine, quand je suis gorgé de colère, elles sont pourtant récurrentes. Je suis un brasier colérique qu’il ne faut pas décevoir, mes dépendants peuvent témoigner de leurs cicatrices, de leurs brûlures éternelles. Le monstre froid de cruauté qui bouillonne de l’intérieur. Ne vous frottez pas à moi, vous n’y survivrez pas.
(c) SCHIZOPHRENIC |
São Poeira Mon domaine, mon royaume. São Poeira, la ville poussiéreuse et abandonnée. Tous ceux qui y trainent sont des rats ou des chats sauvages affamés, des gens déchus qui essayent par tous les moyens de survivre au diable. São Poeira, j’y suis né et n’en suis jamais parti, j’ai toujours foulé le sable et le béton avec Cersei, de notre enfance à l’âge adulte, sans jamais poser un orteil en dehors, sans en voir l’intérêt. Nos visages sont connus et crains par tous. Quel meilleur sanctuaire ? Mon empire s’est créé peu à peu, par des coups du sort et quelques tortures salement placée, jusqu’à étendre mes toiles sur toute une partie de la ville. Le frère et la sœur règnent sur un quartier de la ville, pourquoi voudrions-nous partir ? Tout nous est dû, la nourriture que nous voulons sans débourser le moindre centime ou le moindre service, tout ça en détruisant autrui. Pourtant, cet endroit m’écœure parfois. La saleté, les maigres, la poussière, le manque de confort que je ressens, malgré mon aisance. Quelques instants, je suis épuisé par la misère qui n’est pas la mienne, avec l’envie d’enflammer toute la ville. Un jour, sans doute. Un jour j’aspergerai d’essence une partie de la ville et je brûlerai le monde entier.
(c) MORIARTY |
Le mal est-il une affection que nous contractons du fait de notre vécu, semblable à une maladie de l'âme, d'une certaine manière similaire à la mélancolie, ou bien est-il cette force mystérieuse qui habite nos cellules dès les premières étincelles de notre création ? Deux visions distinctes de l'essence maléfique. Voilà ce qu'est la fêlure du mal. Un débat éternel sur l'existence du bien et du mal, ou sur la nature incolore et caméléonesque de l'homme. ▲ M. CHATTAM Caligula L’oubli – Les seules choses qui me restent de mon enfance sont les bruits de bouteilles en verre qui claquent sur la table de la cuisine quand mon père s’abandonne à son péché, et les sourires de Cersei quand j’acceptais de la prendre dans mes bras ou de jouer avec elle, petite fille. Le reste, je ne m’en souviens pas, ni du visage de mes parents, ni de l’appartement, ni rien, et j’en ai d’ailleurs rien à foutre. Mon enfance ne m’intéresse pas, je peux seulement en puiser les bases de mon empire. La perversion et la puissance que j’exerçais sur les autres enfants, les conduisant peu à peu à torturer des animaux, à voler, à se voir plus bas que terre, à pleurer et à me supplier d’arrêter. Mais ces bruits de bouteilles me rendaient fou. Les yeux fermés, je me voyais prendre une de ses bouteilles vides – il y en avait tellement, dans toute la maison, et la briser, lui enfoncer les tessons de verre dans la gorge pour qu’il cesse enfin d’être si bruyant. C’est de sa faute si le bruit m’agace, que mes traits se crispent, ma peau brûle, si je deviens violent. Le bruit est mon pire ennemi, trop de babillage inutile engendre des pulsions meurtrières, qui finissent souvent en brûlures. Puis il y avait les sourires de Cersei la silencieuse, ses yeux doux qui apaisaient mes colères et pour lesquels j’arrêtai parfois d’arracher les ailes des papillons.
La métamorphose du fou –
« Le bout d'une cigarette brûle à 700° » Ses yeux sur moi, à ce vieux. Moi, le petit bout d'homme, qui le regarde fumer avec une envie dévorante. Le vieil homme du village, l'ermite, banni par Dieu, par le village, sans doute pour une histoire de meurtre, de soupçon. Je passais mes journées là-bas, à déguster ses mots et ses silences. Ses cigarettes illuminent la nuit, des flammes dans mes yeux. Le bout de la cigarette sur ma peau, ça frise la démence, mes cris et mon bonheur. La folie, la folie qui s'empare de moi, je veux brûler encore.
Le lendemain, ma famille est retrouvée brûlée. C'était mon œuvre. Le plus bel acte de ma tragédie, le diable à l'état pur. C'en est presque regrettable que personne ne sache à quel point ce fut magnifique, ce brasier où les corps se cambraient, où les corps hurlaient sous les yeux effrayés de ma sœur. Ma pièce maitresse qui procure année après année une excitation frénétique, un plaisir irraisonnable.
Ce souvenir est gravé dans ma mémoire, et rien ne pourra le déloger. La preuve de ma puissance. Un bidon d’essence, c’est tout ce qu’il m’a fallu. Mon père encore si bruyant, à ronfler, il ronflait toujours trop fort, comme tous ces hommes qui ont trop bu, tous ces dégueulasses. Un simple geste, puis Cersei s’éveille au milieu de mes parents. Ses yeux me font hésiter, et puis, sans trop savoir pourquoi, je l’ai mise sur mes épaules et j’ai craqué l’allumette. Les cris, les corps qui sent délicieusement bon, l’odeur de la viande grillée. Un pas en avant dans l’odeur alléchante, dans le brasier, avant que les pleurs de ma sœur ne me réveillent.
Le dédale –
La rue était notre domaine, volant et pillant pendant un temps, puis fracassant des corps pour leur extorquer la moindre parcelle de fortune. Le diable et son chat sauvage terrifiaient les parents et enfants, amusaient les piliers de bar, comme une légende, quelle pouvait être la vérité sous ces histoires de corps à moitié calcinés, certaines parlaient même d'humains dévorés, je les entendais en discuter quand la faim était trop forte et que ma sœur attirait le chaland en sanglotant, du haut de ses huit ans. La police nous trouva une famille de mineurs qui avait besoin de bras. Leur vie, pauvres bienheureux, s'est transformée en enfer brûlant sous mes paumes. Ils ont tous sombré dans la débauche ou la folie, à se trainer sur le sol pour quelques doses. Mes premières expériences, mes premières drogues, mes premières manipulations.
La première, la « demi-sœur », qu’une seringue plia à ma volonté. Encore aujourd’hui, plus de dix ans après, elle vient toquer à ma porte pour réclamer. La déesse de la détresse, le premier de mes monstres, celle que je hais encore plus que les autres détritus, avec ses veines infectées. Le père est mort dans cette mine du diable, et le fils est mort sous mes flammes, après son viol – j’exerçais mes talents depuis bien longtemps. La mère s’est suicidée quelques années après, devant la déchéance de sa famille.
Le Diable est arrivé à mes vingt-ans. J’ai pris la main de Cersei, enflammé la seconde maison de notre enfance, et l’empire s’est doucement construit. La première fille fût la demi-sœur, bien heureuse elle qui n’avait plus personne sur qui s’appuyer. Sa haine me faisait rire, et elle subissait mes assauts sans un mot. De fil en aiguille, d’années en années la ville s’est affaiblie et mon aura s’est étendue. Quelques filles, un bordel, mes expériences, la drogue. Ma sœur a grandi dans ce milieu que je lui ai offert, avec toute l’aisance que je pouvais lui fournir.
Malgré les on-dit, ma sœur est bien la seule femme dont je n'offrirais pas les cuisses, et elle ne s'approchera jamais d'un homme qui n'aurait obtenu mon accord, le maitre incontesté de son corps et de ses pensées. Si elle n'hésite pas à me reprocher mes attitudes, elle sait les limites à ne pas franchir pour éviter mes brasiers. Elle s'est construite sur mes pas, d'une enfant affolée à la reine de la nuit, elle gère d'une main gantée les affaires dont je n'ai guère envie de m'occuper.
Le domination du Roi –
Le Roi, c’est moi. Sans grandiloquence, tout le monde le sait, je détiens leurs secrets et la dépendance de beaucoup de personnes entre mes mains brûlantes. Ça me plait. La monstruosité est mon lot, mais quel lot merveilleux d’être un démon, d’asservir n’importe qui avec une simple seringue, avec une promesse d’argent qui sera parfois tenue. Les gens me haïssent mais reviennent m’offrir leurs cuisses pour quelques doses. Les faire souffrir, la torture, ça ne me lassera jamais. Le sourire carnassier qui se dessine sur mon visage quand quelqu’un frappe à ma porte ne laisse rien présager de bon. Je suis un monstre, mais putain, je suis le roi des monstres.
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| ( #) Mer 23 Avr 2014 - 23:43 Bienvenue parmi nous Bale a beaucoup de charisme, très bon choix *-* | |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 0:09 te voilà enfin, j'avais hâte de te voir par ici mon chou. j'aime le début, ça correspond totalement au personnage et surtout, j'ai hâte hâte hâte et encore hâte de lire la suite. puis t'es pas nulle, le code est bon du premier coup. j'te souhaite la bienvenue et pis je t'aime déjà | |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 1:35 Bienvenue à toi ! Bonne chance pour ta fiche :) | |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 3:59 oh justine attends toi à ce que Darko sente le cochon fumé bien souvent, hein il aura le fou du diable à ses fesses bienvenue | |
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♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.
| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 16:07 oh néron (nécarré), mon ami imaginaire s'appelle comme ça -pan- voilà pour te dire que t'es vilain et que le scéna que t'as choisi est nul, pfeuh bon en vrai je te mp tout de suite pour le lien avec bébé | Atílio Lampião |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 18:07 Ce scénario est puissant :**: Très bon choix ! Bienvenue et bonne chance pour ta fiche | |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 18:34 Merci à vous bon, c'est déjà bien si le début te plait ange j'espère que le reste ça ira Mais il n'attend que ça, que Joao (ok j'arrive pas faire le tilt dessus ) vienne lui coller les basques (sinon j'ai mis l'après-midi à comprendre la blague néron-nécarré, voilà ) | |
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| ( #) Jeu 24 Avr 2014 - 19:17 BIENVENUE Bon courage pour ta fiche, j'aime le début et puis quels choix | |
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| ( #) Ven 25 Avr 2014 - 0:41 bienvenue à São Poeira la vie est finie, mais tu survis. bon, tu veux qu'on se fâche ? c'est genre pas nul du tout. j'adore, ça correspond vraiment bien au personnage. j'suis overfan. puis ton idée de ramener la sœur est juste géniale. "C'est mon refrain, quand elle couine comme une truie. " puis cette phrase m'a tuée. il m'en faut peu, je sais. -> bref, tu es bien sûr validée puis j'ai des tas d'idées de rps, ça me trotte dans la tête alors compte sur moi pour te mp. puis te harceler pour d'autres liens aussi parce que t'es parfaite huhu bienvenue et j'espère que tu vas bien t'amuser avec cette bête féroce. Il y a ce sourire, là, si grand, si laid, sur ses lèvres gercées par les morsures et le sang versé. Il t'observe, là, le torse ouvert, le coeur entre ses mains, maintenant. Plus rien ne t'appartient ; tu es à lui tout entier, maintenant, qu'importe ce que tu choisis de faire. Ses ongles, si abîmés, s'enfoncent dans ton pauvre coeur et y glisse son venin. La malédiction est lancée ; te voilà captivé. les liens utiles ♆ VOS LIENS ♆ POUR LES DIVERSES DEMANDES ♆ REGISTRE DES EMPLOIS ♆ LA VILLE ♆ LES POUVOIRS ♆ LE BOTTIN ♆ LES INTRIGUES & ÉVÉNEMENTS ♆ LES ANNONCES | |
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