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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 20:14 abaddon swango âme égarée Héritage Infortuné ♆ c'est un vieux nom, swango, lui a-t-on dit, un nom allemand, transformé quand il a pris le bateau et traversé l'atlantique, un nom qui veut dire la mare aux cygnes mais qui a perdu tout son sens quand il m'a été donné. maintenant, il ne veut plus rien dire, c'est juste une vieille relique accrochée à un bout de papier qu'il trimballe. personne ici ne le connait. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ les parents étaient pieux. ils avaient peur de dieu, peur de ses écrits et de sa volonté. alors ils ont cherché dans le vieux testament, puis dans le nouveau, fouillé pour trouver un nom qui honorerait leur créateur, leur destructeur. abaddon, ont-ils lu. c'est devenu son prénom. et celui de l'ange de l'apocalypse aussi. personne n'a jamais cherché à lui donner un surnom parce que c'est lui le destructeur. C'était mieux avant ♆ il ne se souvient pas très bien. il avait vingt ans lorsqu'il s'est fait capturer par la ville, c'est tout ce qu'il sait avec certitude. le reste est brouillé par les tempêtes de sable et les rayons perçants du soleil du désert. Première Bouffée d'air ♆ l'orage, la pluie, la grêle et abaddon, ce soir-là. en quatre-vingt sept. la mère hurle de douleur et expulse. le sang, et au milieu, abaddon. quelque part, dans la chaleur moite et pourrie de la louisiane. Papa et Maman ♆ pur sang d'amérique, mélange délicieux de pornographie et de sauce barbecue. louisiana baby. les fantômes en allemagne, il y a bien longtemps. Dans mon lit ♆ n'importe qui, n'importe quoi. l'autre, surtout, l'homme qui paie et protège son ange comme un trésor. plus belle pédale de l'ouest. Degré de solitude ♆ il voudrait se croire libre. il est captif. de la ville d'abord, mais surtout de l'autre, de son regard noir, de sa protection, de ses mains viriles qui le touchent sous les draps. abaddon a trouvé son maitre. Tromper l'ennui ♆ trophée de guerre, propriété, belle gueule. dans un passé révolu, enveloppé par la chaleur de la louisiane puis par celle de la californie, il faisait plaisir aux autres sur un écran d'ordinateur contre quelques dollars. Tombé dans le trou à rat ♆ il oublie. il ne sait pas que quatre ans se sont écoulés. ces années lui semblent être des décennies. La nouvelle famille ♆ parasite au-delà des dunes Joli prénom ♆ jonathan, c'est pas joli, alors je fais croire que je m'appelle victoire. Pseudo pas beau ♆ tamère (oui). Nombre d'hivers endurés ♆ je regarde les télés, les horaires pulvérisés, et j'ai cent ans. Pierre précieuse préférée ♆ les saphirs de ceylan et les diams. Compagnie de voyage ♆ je suivais le projet sur bazzart, et j'ai attendu d'avoir le temps de pouvoir m'inscrire. Mot doux ♆ pas un degré de déception. Degré d'addiction ♆ tous les jours, même si je ne répondrai au rp que tous les deux/trois jours. Sésame ouvres-toi ♆ OK PAR ANGE. Tête de cochon ♆ colton haynes. Remerciements ♆ bannière de spacecadet sur tumblr d'après nowhere de gregg araki, avatars de MORIARTY Mot d'amour en plus ♆ you, me, intercourse, yes, no ? Je vis ses yeux profonds, fixes et adamantins sous les arcades impétueuses de ses sourcils. Sur les nervures de ses ailes déployées étincelait une sorte de givre ; les ailes étaient grises, d'un gris d'une nuance indescriptible, et chaque plume se terminait par un croissant argenté. Son visage, l'ébauche de ses lèvres qui esquissaient un sourire, de son front droit et pur, me rappelaient des traits que j'avais vus sur terre. ▲ NABOKOV joli cœur (au-dessus de 250 mots) Là tu introduis ton personnage, un petit texte court, le caractère, une jolie situation, tout ce que tu veux quoi. Éblouis-nous. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Phasellus quis lectus metus, at posuere neque. Sed pharetra nibh eget orci convallis at posuere leo convallis. Sed blandit augue vitae augue scelerisque bibendum. Vivamus sit amet libero turpis, non venenatis urna. In blandit, odio convallis suscipit venenatis, ante ipsum cursus augue. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. Sed suscipit bibendum enim, sed volutpat tortor malesuada non. Morbi fringilla dui non purus porttitor mattis. Suspendisse quis vulputate risus. Phasellus erat velit, sagittis sed varius volutpat, placerat nec urna. 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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 20:15 c'est à genoux qu'il est le meilleur
l'étrange (200 mots minimum) Là tu nous parles de ton pouvoir, cet étrange don du diable. Comment il marche, la première fois où tu l'as utilisé, comment tu l'utilises maintenant, à quelle fréquence tu t'en sers. Bref, fascinez-nous. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Phasellus quis lectus metus, at posuere neque. Sed pharetra nibh eget orci convallis at posuere leo convallis. Sed blandit augue vitae augue scelerisque bibendum. Vivamus sit amet libero turpis, non venenatis urna. In blandit, odio convallis suscipit venenatis, ante ipsum cursus augue. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. Sed suscipit bibendum enim, sed volutpat tortor malesuada non. Morbi fringilla dui non purus porttitor mattis. Suspendisse quis vulputate risus. Phasellus erat velit, sagittis sed varius volutpat, placerat nec urna. Nam eu metus vitae dolor fringilla feugiat. Nulla. Facilisi. Etiam enim metus, luctus in adipiscing at, consectetur quis sapien. Duis imperdiet egestas ligula, quis hendrerit ipsum ullamcorper et. Phasellus id tristique orci. Proin consequat mi at felis scelerisque ullamcorper. Etiam tempus, felis vel eleifend porta, velit nunc mattis urna, at ullamcorper erat diam dignissim ante. Pellentesque justo risus. Rutrum ac semper a, faucibus nec lorem. Nullam eget quam tellus, eget sagittis justo.Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Proin ante enim, tincidunt ut interdum in, adipiscing quis tortor. Nulla turpis lacus, rutrum in adipiscing ut, porttitor ac ante. Sed euismod, mauris a. (c) MORIARTY |
São Poeira (200 mots minimum) Ici, tu nous parles de ton rapport à la ville. Comment t'es arrivé là, à quel point tu détestes ça, si t'as déjà essayé de fuir. Surprenez-nous. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Phasellus quis lectus metus, at posuere neque. Sed pharetra nibh eget orci convallis at posuere leo convallis. Sed blandit augue vitae augue scelerisque bibendum. Vivamus sit amet libero turpis, non venenatis urna. In blandit, odio convallis suscipit venenatis, ante ipsum cursus augue. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. Sed suscipit bibendum enim, sed volutpat tortor malesuada non. Morbi fringilla dui non purus porttitor mattis. Suspendisse quis vulputate risus. Phasellus erat velit, sagittis sed varius volutpat, placerat nec urna. Nam eu metus vitae dolor fringilla feugiat. Nulla. Facilisi. Etiam enim metus, luctus in adipiscing at, consectetur quis sapien. Duis imperdiet egestas ligula, quis hendrerit ipsum ullamcorper et. Phasellus id tristique orci. Proin consequat mi at felis scelerisque ullamcorper. Etiam tempus, felis vel eleifend porta, velit nunc mattis urna, at ullamcorper erat diam dignissim ante. Pellentesque justo risus. Rutrum ac semper a, faucibus nec lorem. Nullam eget quam tellus, eget sagittis justo.Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Proin ante enim, tincidunt ut interdum in, adipiscing quis tortor. Nulla turpis lacus, rutrum in adipiscing ut, porttitor ac ante. Sed euismod, mauris a.
(c) MORIARTY |
Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. ▲ BAUDELAIRE moins que zéro Abaddon était beau, propre, jeune. Il avait des manières et savait se comporter en société. Il acquiesçait d’un air intéressé lorsque les vieilles dames lui parlaient, leur laissait sa place dans les trains. Abaddon a perdu son chemin, un jour qu’il s’est enfoncé dans le bayou à la recherche de – de quoi ? Sur un air de musique country, Abaddon s’est égaré. Il a arrêté de se coiffer et ne s’est plus rasé tous les jours. Il s’est mis à dire des vulgarités, à se comporter comme n’importe quel imbécile de Louisiane. Abaddon a commencé à fumer, une clope par ci par là, puis tout un paquet en une journée. Il a bu aussi, jusqu’à rentrer saoul chez sa pauvre mère, qui l’a giflé sans provoquer aucune réaction chez lui. C’est devenu une coquille vide – une coquille pleine de bière bon marché. Abaddon s’est déshabillé pour n’importe qui, pour le plaisir, pour l’attention. Il s’est laissé tripoter par des mains sales et pleines de cambouis, dans des bosquets sans feuilles asséchés par l’aridité du sud. Pas farouche, disait-on de lui. Il n’y a pas d’amour pour les gens comme Abaddon. La moitié de la terre a juste envie de les baiser salement, l’autre de le cogner. Il est toujours complètement seul, abandonné. C’est de sa faute aussi, c’est lui qui s’est perdu. Personne ne l’a pris par la main pour l’emmener sur les routes sinueuses et sales de sa perdition. Il a fait ses choix sans jamais les regretter, quelles qu’en soit les conséquences. Abaddon sait. Tout est de sa faute, jusqu’à cette ville immonde, jusqu’aux tortures quotidiennes qui lui sont infligées. Bien fait pour lui. Il ne manque à personne chez lui, et surtout pas à sa mère. Il ne manque à personne en Californie non plus. La Californie, ç’a été une autre erreur de parcours, suite chaotique d’un cheminement hasardeux, au gré des tempêtes de sable, du vent sec et des nuits sans étoiles. Abaddon a atterri là-bas sans trop savoir pourquoi – peut-être pour devenir acteur, superstar, objet de fantasmes – ou simplement pour échapper au bayou et aux gifles de sa mère, pour pouvoir baiser en paix sans qu’on lui crie dessus et qu’on se dise que c’était vraiment quelqu’un de facile. A la recherche de lui dans le grand tout cosmopolite d’une ville universelle, Abaddon n’a rien trouvé, pas même un travail.
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 20:24 | |
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 20:28 bienvenue  l'avatar + le pseudo =  bonne chance pour la suite  | |
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 20:29 bienvenue ici, avec colton qui plus est  pour le code du règlement, il manque une toute petite partie, courage  et pour l'emploi, tu pourrais l'expliquer un peu plus en détail ?  en sachant que le village est coupé de tout depuis 1999, avoir accès à internet est aussi fréquent que croiser dieu dans les rues, un peu  | |
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 21:05 Merci à vous ! Je suis content que l'avatar plaise, j'étais pas certain héhé. Et pour la profession, en fait, je parlais d' avant son arrivée dans la ville. Mais je vais élaborer pour clarifier tout ça, sans problème ! | |
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 22:15 j'aime beaucoup ce début, et colton aussi. et ton titre m'a fait penser à ça.
enfin, bref, bienvenue.  | |
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| ( #) Jeu 30 Jan 2014 - 23:11 oh parfait alors  hésites pas si tu veux également prendre un emploi actuel, au sein du village. c'est pas quelque chose qui manque  | |
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| ( #) Ven 31 Jan 2014 - 8:45 Ca marche, j'irai jeter un oeil aux registres en rentrant de mon propre travail ! Merci Doll | |
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| ( #) Ven 31 Jan 2014 - 14:47 oh, j'rejoins les autres pour le choix d'avatar, il est beau, le petit.  j'ai l'honneur de t'annoncer que tu as vaincu le règlement, le code est bon.  bienvenue et bon courage pour ta fiche | |
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♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.
| ( #) Ven 31 Jan 2014 - 14:52 fantomette, c'est toi ? bienvenue la jolie chose j'aime beaucoup le début, le style et tout, j'ai hâte de voir la suite | Atílio Lampião  |
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| ( #) Sam 1 Fév 2014 - 12:39 Le nom.  En tout cas, bienvenue et bonne chance pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous réserves.  | |
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| ( #) Sam 1 Fév 2014 - 13:09 moi aussi j'aime beaucoup ce que j'ai commencé à lire. sinon colton, jolem.  voilà c'est dit. bienvenue. | |
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| ( #) Dim 2 Fév 2014 - 17:11 Merci à tous de vos messages, vous êtes gentil(le)s ! Je suis désolé si j'avance tout doucement, j'ai simplement un peu de mal à me concentrer, étant déjà bien pris par quelque chose que j'écris en ce moment. Mais je vais essayer de m'y mettre définitivement mardi prochain. (Et content de voir que Colton vous plait ) | |
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| ( #) Sam 15 Fév 2014 - 3:08 temps écoulé le sang a giclé Larmes de sang, là, qui dégoulinent le long de ses traits. N'entends-tu pas ses cris d'agonie, les âmes qui se voient alors meurtris ? Il fait l'enfant, le pauvre Satan, de ne pas toucher ton âme, de ne pas s'amuser avec toi. Il te voit, là, au travers de la foule, t'éloignant doucement, t'effaçant presque tendrement, et il ne l'accepte pas. Connais-tu seulement la sentence, pour rendre le démon aussi triste, aussi humain ? Dix larmes de sang ont déjà été versés, si tu n'es pas là d'ici quatre nouvelles larmes, il sortira les crocs, il sortira le fouet, et ton âme, brusquement, sera détruite à néant. Ce que Satan n'a pas, n'existe pas.
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