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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 1:20 Zakaël Thomma âme égarée Héritage Infortuné ♆ thomma, thomas au fond du gouffre. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ zakaël, parfois zak. peut-être aël. C'était mieux avant ♆ vingt ans passées, prisonnier d'un trou noir. Première Bouffée d'air ♆ 1994, suède, en hiver, sur la terre, sur la neige. Papa et Maman ♆ étranger, venu de l'autre mer, de l'autre monde. Dans mon lit ♆ les oiseaux et les oiselles, et les chats. Degré de solitude ♆ seul, avec la lune et les étoiles. Tromper l'ennui ♆ vivre, survivre. Tombé dans le trou à rat ♆ des mois, des années. sept ans de mal heureux. La nouvelle famille ♆ salaud, parce que c'est toi. au-delà des dunes Joli prénom ♆ antoine, je crois ? Pseudo pas beau ♆ l'étranger noir autrefois whyretuil mais rendu noir. Nombre d'hivers endurés ♆ treize hivers, six mois et vingt-cinq jours. soit 4957 jours. Pierre précieuse préférée ♆ les rubis Compagnie de voyage ♆ bazzart est notre ami. Mot doux ♆ tout choux. Degré d'addiction ♆ quand je peux Sésame ouvres-toi ♆ OK PAR JOAO. Tête de cochon ♆ matvey lykov. Remerciements ♆ bannière de riverblack sur tumblr, avatars de MORIARTY Mot d'amour en plus ♆ je m'étais inscris avec lovik zakiel mais malheureusement, mon pc a planté et j'ai été retard. mon compte à été supprimé. mais bon. je reviens avec zakaël Les morts sont des invisibles, mais non des absents. ▲ VICTOR HUGO renaissance tu étais couché sur le sable, les pieds dans l'eau, la tête dans les maux. avec tes doigts fins, tu filtrais le sable. il était pur, presque blanc. tes cheveux allaient aux vent, tu pensais au flammes et aux braises. des idées sombres t’envahissaient, un faible rictus se forma sur tes lèvres sèches. dans le feu, des gens brûlaient, des peaux fondaient, des parchemins se consumaient. tu résista à cette pensée macabre. le bruit des vagues te fit revenir au vrai monde, à la réalité. tes yeux glissèrent vers la droite, vers la gauche. ils ne distinguaient rien à l'horizon. tu te leva, profitant de la lumière de la lune. tes pieds toujours dans l'eau, tu observa les gens autour de toi. ils était peu, peut-être trois ou quatre. tous marchaient dans des directions différentes, vers des chemins contraires.
y'avait seulement toi qui fixait la sphère dans le ciel. elle était belle cette nuit. grande, éblouissante. tu lui montra tes paumes de main, te remplissant de jouissance. c'était la plus belle de tout les temps. marchant vers le village, vers la poussière et la terreur, remerciant l'astre de nuit, chantant des rituels. « permet moi te te dire, je suis à toi, à jamais. je ne peut corrompre notre lien, je ne peut déduire notre fin. ô grand être Lune, je te soutient dans la vie, dans l'espoir. je ne mourrai que lorsque tu mourra, alors changeons les étoiles. » elles te donnèrent leurs sourires, leurs âmes. tu te dirigea vers la crasse, vers le mal, effaçant toute pensée noire et impure.
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 1:20 :old: ô Lune, astre de la nuit
le soumis un jour, tu y étais allé. sur le bord de l'eau, pour scruter les vagues. tu y étais resté longtemps, des heures et des heures. tu faisais le vide dans ton esprit, tu éloignais le mal de ton corps. puis après un temps passé, le ciel attira ton regard. là-haut dormaient les étoiles. la lune, elle, veillait sur toi. tu le sentais, tu le savais. puis c'est à cet instant qu'elle te parla. elle te susurra des mots à l'oreille, te rentra des idioties dans le crâne. et toi, comme t'étais naïf, tu l'a crue, t'a suivi ses conseils. cette nuit là, t'a appris des tas de choses subtiles et inquiétantes à son sujet. elle t'a fais perdre la tête, tu t'es soumis à elle. voici ce qu'elle t'a dit. « ... deviens mien... zakaël... soit un des nôtres... » tu ne savais pas quoi répondre, ce n'était qu'une blague de mauvais goût selon toi. elle n'eut aucune réponse. elle te raconta donc son imagination. « je suis le roi du ciel. je veille sur la terre, éclairant la nuit. lune, c'est comme ceci qu'on me nomme. deviens mien, je te procurerai énergie et espoir. tu pourra te servir de moi, comme je pourrai le faire avec toi. ce sera comme un jeu. les ficelles seront tendues, le verre sera plein. » tu étais attiré par son pouvoir, par sa grandeur. tu ne pouvais résister. « ignore moi et tu sombrera dans les flammes de l'enfer. accepte ce pacte, zakaël. allez. » elle avait raison. tu ne pouvais refuser, au risque d'être malheureux. alors tu accepta. avant de partir, elle te murmura une chose. « quand tu m'utilisera, remercie moi. je pourrais savoir si tu tiens toujours à moi... »
désormais, tu ne fais que lever les bras vers le ciel, paume vers la lune, et tu obtiens de l'énergie, du bonheur, de la jouissance et du pouvoir. c'est totalement inutile. mais tu crois en quelque chose, d'original. c'est devenu ta religion. ta maladie.
« permet moi te te dire, je suis à toi, à jamais. je ne peut corrompre notre lien, je ne peut déduire notre fin. ô grand être Lune, je te soutient dans la vie, dans l'espoir. je ne mourrai que lorsque tu mourra, alors changeons les étoiles. » (c) .REED |
le voyage vers tes treize ans, quand t'étais qu'un enfant, on t'a fait découvrir le soleil et sa chaleur. t'es parti du froid pour aller voir ta tante à são. tu voulais pas y aller. tu voulais rester dans la neige, en suède. mais tu pouvais pas négocier à ton âge. t'étais qu'un gosse, innocent, inconscient. alors t'es allé dans l'avion. il fallait que tu y ailles. ta tante tu l'aimais, elle était malade. dans quelques années, elle serait morte. deux, trois ans à vivre dans la souffrance. tes parents, eux, sont restés en suède, avec ta sœur et ton cœur. ils t'ont lâché dans la nature, comme un lion qu'on libère. t'étais triste, pas content, t'avais le goût de faire crasher l'avion. avant même que tu y embarques.
arrivé là-bas, la fatigue, l'épuisement t'envahirent. tu te leva de ton siège, constatant au moment même l'absence de gens aux autres places. c'est alors que tu sentit la chaleur. c'était chaud, brûlant. tu pensais pas suer comme ça dès ton arrivée.
tu en pouvais plus. dans les rues, c'était encore plus chaud qu'à l'aéroport. le soleil frappant sur ta peau, tu te décida enfin à enlever ton chandail. tu le laissa là, sur le bord du chemin. tu étais seul, ici. tu n'avais qu'un maigre sac. et la seule information que tu savais, c'était où vivait ta tante. alors c'est dans cette direction que tu alla.
(c) .REED |
Visez toujours la lune. Même si vous la manquez, vous atterrirez parmi les étoiles. ▲ LES BROWN neige sur sable quand il était petit, il se couchait dans la neige. les bras écartés, comme une étoile, il observait le ciel et ses nuages. il inventait des choses, avait une imagination extrême. zak était un enfant normal, comme les autres enfants de son âge. il aimait ses parents, il jouait avec sa sœur. il vivait. il profitait de ses journées. ses cheveux bruns, couverts de copeaux blancs. ses doigts minces, accrochés à des mains froides. ses yeux bruns, où la lumière luisait. tout était en harmonie chez lui. il aimait être zak. il ne renonçait à rien. le jeune garçon croquait à pleine dent dans la vie. puis vint ce jour, celui où il partit pour são. il avait apprit que sa tante, celle qu'il aimait tellement, était gravement malade. elle ne voulait cependant dire de quoi elle était atteinte. ses parents, très occupés, ne pouvaient pas aller la rejoindre. sa sœur, encore trop petite pour voyager, ne pouvait elle non plus partir seule. ce fut donc zak, à la peau blanche, qui partit vers le soleil. laissant sa famille derrière lui, laissant tout derrière lui.
quand il eût atteint quinze ans, sa tante était toujours en vie. souffrante, dans quelques mois elle ne serait plus de ce monde. ses parents partirent donc rejoindre zak à são, sans lory, sa sœur. elle était restée en suède, avec ses grands-parents. zak avait tellement hâte de voir son père et sa mère, il ne tenait plus sur place. deux ans sans nouvelles de sa famille. il descendit donc la côte, bousculant les gens sur le chemin. il s'était habitué à la chaleur du soleil, il pouvait la supporter. il arrivait à l'aéroport, essoufflé de sa course. zak s'appuya sur ses genoux, histoire de reprendre son souffle. il était une heure en avance. assis sur un banc, il attendit donc, patiemment, observant les personnes autour de lui. il y en avait des grandes, des petites, des maigres, des laides. l'heure était passée, ils auraient dû arriver. ils n'arrivèrent pas. le jeune homme attendit encore une heure. deux heures. trois heures. toujours pas là. il décida donc de rentrer chez lui, c'était désormais la nuit.
l'accident d'avion, ses parents disant son nom, un cauchemar. il se réveilla en sursaut. c'était le matin, les rayons du soleil envahissaient sa chambre. cela faisait quatre ans que ses parents étaient morts. trois ans que sa tante était partie. l'avion en retard, le temps perdu à l'aéroport. le cri de sa tante, sa mort. il y repensait tous les jours.
on cogna à la porte, il alla ouvrir. devant lui, il y avait une jeune demoiselle. il la connaissait. c'était lory. elle était venue pour lui, à são, elle le serra fort dans ses bras.
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 15:33 seigneur, ton avatar. bienvenue. | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 17:32 ton avatar ! BIENVENUE Bonne chance pour la suite | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 17:36 un petit rebienvenue du coup. mais putain t'es canon, | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 23:18 merci les gens je sais que j'suis beau | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 23:22 | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 23:26 merci toi | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 23:31 J'avoue que le header m'intrigue à mort. Rebienvenue, en espérant que cette fois-ci soit la bonne :**: (et bon courage pour la fiche) | |
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| ( #) Jeu 13 Fév 2014 - 23:34 oh, merci | |
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| ( #) Ven 14 Fév 2014 - 16:35 oh, tu me donnes envie de te faire de vilaines choses. bienvenue et bon courage pour la suite. | |
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| ( #) Ven 14 Fév 2014 - 16:51 c'est vilain tout ça :huhu: merci | |
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♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.
| ( #) Sam 15 Fév 2014 - 3:17 oh tiens (re)bienvenue, ravi que tu aies survécu au coma de ton ordi, ça a dû être un moment difficile en tout cas, tu nous ramènes une jolie chose là | Atílio Lampião |
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| ( #) Sam 15 Fév 2014 - 4:05 ah mais c'était plus que difficile j'ai failli mouru mais bon merci | |
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| ( #) Sam 15 Fév 2014 - 20:04 bienvenue à São Poeira la vie est finie, mais tu survis. Je trouve ça doux, un peu cruel aussi, il pue un peu la mort, sa tante, ses parents. puis bon son pouvoir. c'est beau. tu pourras écrire plein de belles choses avec ça bonne route Il y a ce sourire, là, si grand, si laid, sur ses lèvres gercées par les morsures et le sang versé. Il t'observe, là, le torse ouvert, le coeur entre ses mains, maintenant. Plus rien ne t'appartient ; tu es à lui tout entier, maintenant, qu'importe ce que tu choisis de faire. Ses ongles, si abîmés, s'enfoncent dans ton pauvre coeur et y glisse son venin. La malédiction est lancée ; te voilà captivé. les liens utiles ♆ VOS LIENS ♆ POUR LES DIVERSES DEMANDES ♆ REGISTRE DES EMPLOIS ♆ LA VILLE ♆ LES POUVOIRS ♆ LE BOTTIN ♆ LES INTRIGUES & ÉVÉNEMENTS ♆ LES ANNONCES | |
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