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De marbre et d'ébène

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(#) Mer 22 Oct 2014 - 23:16
Erèbe Galathée

âme égarée
Héritage Infortuné ♆GalathéeAppellation aux Origines Contrôlées ♆ Erèbe. C'était mieux avant ♆ 20 ans Première Bouffée d'air ♆Paris, 17 aout 1994 Papa et Maman ♆ Franco-françaiseDans mon lit ♆ La constance n'est bonne que pour les imbéciles Degré de solitude ♆ Errant Tromper l'ennui ♆Marcheur de rêve en coma de lune?  Tombé dans le trou à rat ♆ A peine arrivée, je respire, en découverte l'odeur souffreteuse de cette ville pleine de poisse et de peste. Ce sent le noir. Quelques heures à peine La nouvelle famille ♆ Errant


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ plus tard, j'compte faire durer le suspens pour ceux qui m'conaissent ici Pseudo pas beau ♆ Erèbe Nombre d'hivers endurés ♆ a peu le double de tier du quart du dixième du huitiéme du antépénultième de l'age de ta mère  Pierre précieuse préférée ♆Précieuse: Saphire. Mais ma pierre préférée reste l'Onyx, le démon dans la pierre.  Compagnie de voyage ♆en errant Mot doux ♆ A voir, ca à l'air bon quand même Degré d'addiction ♆Régulière au possible Sésame ouvres-toi ♆ enfermons nous mélancolique EG Tête de cochon ♆ Philip Fucking Rapable Ellis Remerciements ♆ moi, tumblr et Ellis Mot d'amour en plus ♆ <3
On ne part pas. - Reprenons les chemins d'ici, chargé de mon vice, le vice qui a poussé ses racines de souffrance à mon côté, dès l'âge de raison - qui monte au ciel, me bat, me renverse, me traîne. ▲ BAUDELAIRE
Galathée
(au-dessus de 250 mots)Mon corps stupide résiste a la noirceur. Il est d'ambre et tes crocs sont des armées de loups. Cuire, claque et frappe. En burin. la douleur est une épiphanie ou j'ai trouver les anges de mes rimes. Mais ceux là ne chantent pas. Ils jouissent en partouze à l'asphodéle. T'y croyais toi, au paradis, à l'éden, à ses conneries? Ca fait longtemps que la vertue c'est faites enfilée par le vice, à suinter de son sperme par tout les trous elle a finis par en kané la pauvre. Mais la plaint pas, elle a eu c'qu'elle méritait. Vertue est mère de vice, tu sais pas? Vertue amènes limites, morale morte sous les crane. Les limites aménent les tentations et les tentations les éxcès. Trop faible. Trop contradictoire. L'homme en miroir à deux facette. Tu vois pas qu'on nage dans l'ineptie, qu'on  vomis du faut a trop voulloir se nourir, trop vouloir vivre en synthése. J'veux vivre en symbiose. J'veux sentir jusqu'à la moindre onde frétille sous ma moelle. J'veux les vibration du monde qui secoue mes vicère comme quand je balance mon corps et ma tête trop haute dans c'champs là, au fond du cratère, et que je sens comme résonne les coups, la musique lourde au fond de mes organes. Ca bouge sous ma peau. J'veux vivre le monde et le sentir comme un foetus sous mes chairs chaudes. Blotis. Ivre enfant de mélancolie. J'veux rire comme la vie pleurs, heureux comme l'éxistence est triste. Je suis. Penser ne sert qu'à crever. Je sens donc je suis. Je sens la vie, mon sang dans mes veines qui pulsent, mon coeur qui bat, fort comme un million de guérriers.

On m'a offert la vie. Alors je vivrais. Je ne serais pas de ces processions lugubre qui enfantent les ombres en regard vite. Aboulique. Hyperboulique. Qui veut tout mais ne veut rien, rien. Regarde, quand les derniers arbres créverons noir comme de charbon. Quand les dernières rivières auront pleuré leur dernières larmes. Quand le dernier Lion sera mort. Quand les loups ne chanterons plus. Quand le soleil ne se verra plus. Quand les chats ne sauront qu'un vieux dessin dans un livre d'école. Quand il n'y aura plus de fleur, plus de vie. Alors, alors on comprendra que l'argent ne sens pas, ne se mange pas, ne se bois pas. L'argent ne te regarde pas, il n'est pas vis, il est vide de sens, vide d'essence. Vide de rien. Respire. Besoin de courir, de voler, de vivre. C'pour ça tout ça, les buvards dans les yeux, la fumée dans le bronches et même l'alcool dans les veines. C'est pour ça. Parcequ'on meurt. Le suicide planétaire. On vit dans l'attente de la mort. Du grand vide. On vis pour le futur, le point finale. Toute notre vie on prévoie, pour plus tard, économiser, pour plus tard, faire des études, pour plus tard. Vivre, pour plus tard. Plus tard tu seras mort coco. Plus tard, t'auras plus de plus tard. J'accroche le présent à mes songes en bandouillère. Que demain aille se faitre foutre des poings dans une orgie de taulard. J'veux vivre.

Je suis, libre au pays du vent, semeur de sable en nomade. Larme bohéme sur les fesses du monde. Je suis. Liberté dans les cheveux, chemise d'un an en haillon. Nobliaud en perdition. Je suis, coureur de routes en graviers tendre. Courreur d'aurore en sauvage. Je vis, plume dévergondée, en vol sans soumission. Au fond des magazins d'la bouffe plein l'calçon. Et dans la veste, des pochons en petites lumières qui volettent partout. Je cours quand l'vigile me touche. J'ai pas peur. J'ai l'sang chaud dans mes veines. J'suis tellent petit, tellement grand. Logique c'est perdue un beau matin et modération c'est faite laver la tronche avec du plomb. Pudeur est tombée dans une partouze et douceur s'envoient en l'air en salon SM. Ya plus rien qui tourne rond dans mon crane. Plus rien de droit ni de beau au fond de mon ame. Alors je séme des vers comme d'autre des notes, j'inventent le mot, je le tord dans la glotte, je fais saigner le verbe jusqu'à c'qu'il pique. J'en fait d'la drogue. J'en fais mes rimes. Et je fend l'air en couteau d'encre. Couperet de jade. Je cherche dans les tripes de l'expression un moyen de me consoler. L'art est le seul bouclier contre les douleur du monde. Mais moi, je fais de mes douleurs de l'art moi, je ne joue pas à l'esthéte, je n'ai rie de parnassien. Je cherche le monde en course rimbaldienne. Rien n'est beau dans mes maux. Rien.

Je suis un salaud. Un raclure. Sans foi ni loi. Je vis comme je meurt puisque je cris comme je pleurs. Je créverais seul, les autres sont une cimes ou je ne semerais pas mes étoiles. Il pleuveras des cadavres sur ma route mais qu'importe, mon sourire sera leur sépulture.



J'ai pas peur tu sais, de leur sourire en lame de rasoirs. Mes bras ne souffrent pas de cicatrices. Je ne tomberais pas. J'ai faim d'envie, j'ai faim d'éxistence, planer jusqu'à en déborder de nuages, planer jusqu'au étoiles et leur lécher les tétons, bouffer les seins de la lune et s'endormir, mouillé, entre ses cuisses. J'ai pas peur de mourir, j'ai peur de crever sans vivre, ou de vivre sans crever, ou de tout, puis de rien, je n'ai peur que de moi, la destruction au bout des doigts, plume ivre. J'ai peur que des mots, pas des  coups. J'ai peur des rimes quand elles font mal, quand elles font jouir, quand je les crache dans la nuit, pour respirer. Asphyxie. Encre pour codéine. J'ai la bronchite du poète et je tousse mes mots fiélés en maux ficelé. Respiré. En vieux papiers, le rythme des doigts qui frappent le clavier. Je ne pense pas les mots, je les sens, il sont cacher sous mon crane en armée de léviathan, leur crocs grattent ma cervelle alors je les libères, démons léttré en syllabes du diables, angelots écartellés en consonne. Mes voyelles n'ont pas de tendresse, ma prose ne chante pas, meme mes rimes ont la poèsie morte. Je ne sais si c'est beau, je ne sais c'que ca vaut. Et j'me fout. J'écris en agonie, en médicament. J'm'y pique en seringue d'encre. Je danse en résille de plume sur les pages, en respiration sur le papier. Et je souris. Et je vis.

Alors toi, petit mouton, toi raclure des bas fonds, toi moisissures sous ma semelle, tu crois qu’tu vis?Regardes comme tu crève. Tu tourne a vide dans tes cages de bétons, tu vois pas plus loin qu’le bout de ta cravate quand tu t’gratte les couilles en matant ta p’tite secretaire bien mignone. Toi t’es les autres, t’es tout ceux qu’on perdu l’sens, qu’on perdu leur ame quelques part. T’es comme tout ceux qui s’sont fait bouffer, aliéné par cette socièté que je vomis. J’vous hais, toi, eux tous. J’vous hais. J’ai pas l’ame à l’amour, a l’amitié, a la compassion. Enfin pas avec des raclures, pas avec des erreurs, des esclaves, des zombies, des aigreurs. Non. Si j’dois courir la route a plusieurs, ce s’ras avec ceux là qui veulent voler, qui rêvent encore. Vous, les autres, aller crever au fond d’l’enfer. Moi j’kanerais heureux.

***

Blond graillon, teint laiteux glaireux, peau en haillon, rouge inéfacable dans l’blanc des yeux, grosse cerne de plusieurs année, maigrelet, mal habillé, vieux jean troué dock en lambeau t shirt louche et veste a capuche. Les pupille éxplosé le creu du coude un peu trop bleu, les lèvres un peu trop séche.
Puis sourire. Alors. Blond angélique, teinte pâle et brillant, peau d’enfant, regard intense, sourcils en arc, mignonet sous ses vêtements, quelques cicatrices, rien d’bien méchant, des jolies lèvres en soit, joli sourire, bel ange de moire.
Alors pleurs. Et cadavre, blond charbon, teint mort, peau filandreuse grosse cerne violacées, anoréxique en camisole, les yeux éclatés, gorgés de sang, les lèvres tirés comme un trait de souffrance.

Il est beau quand il ris, quand il sourrie, quand il jouie, il est beau quand il vit, quand il court, quand il fume, il est beau quand il parle. Mais qu’il est laid quand il pleurs, qu’il est pitoyable quand il meurt, qu’il est triste a voir quand il a mal, qu’il fait peur quand il enrage. Des masques et des masques et des masques et des masques, visages polycéphale. Petit minet blondouillard. Petit bohéme un peu trop beau. Il a les mains un peu trop fine, le visage un peu trop doux, le regard un peu trop puissant. Il est de ces errants beau qui séme les routes. Ces petit rimbauds en déroute.
Bref, téma sa photo sur sa carte d’identité, tu pigera mieux. Blond, 1 métre soixante dix et des bananes, plutot maigre, les yeux gris des petites lèvres maligne un coup fin des bras osseux. La peau palichone les yeux un peu tirés mais plein de lumière.
Petite ange de cendre sur le gravier du monde.





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(#) Mer 22 Oct 2014 - 23:19
titre de l'histoire

l'étrange
(200 mots minimum) Là tu nous parles de ton pouvoir, cet étrange don du diable. Comment il marche, la première fois où tu l'as utilisé, comment tu l'utilises maintenant, à quelle fréquence tu t'en sers. Bref, fascinez-nous. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Phasellus quis lectus metus, at posuere neque. Sed pharetra nibh eget orci convallis at posuere leo convallis. Sed blandit augue vitae augue scelerisque bibendum. Vivamus sit amet libero turpis, non venenatis urna. In blandit, odio convallis suscipit venenatis, ante ipsum cursus augue. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. Sed suscipit bibendum enim, sed volutpat tortor malesuada non. Morbi fringilla dui non purus porttitor mattis. Suspendisse quis vulputate risus. Phasellus erat velit, sagittis sed varius volutpat, placerat nec urna. Nam eu metus vitae dolor fringilla feugiat. Nulla. Facilisi. Etiam enim metus, luctus in adipiscing at, consectetur quis sapien. Duis imperdiet egestas ligula, quis hendrerit ipsum ullamcorper et. Phasellus id tristique orci. Proin consequat mi at felis scelerisque ullamcorper. Etiam tempus, felis vel eleifend porta, velit nunc mattis urna, at ullamcorper erat diam dignissim ante. Pellentesque justo risus. Rutrum ac semper a, faucibus nec lorem. Nullam eget quam tellus, eget sagittis justo.Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Proin ante enim, tincidunt ut interdum in, adipiscing quis tortor. Nulla turpis lacus, rutrum in adipiscing ut, porttitor ac ante. Sed euismod, mauris a.
(c) MORIARTY


São Poeira
(200 mots minimum) Ici, tu nous parles de ton rapport à la ville. Comment t'es arrivé là, à quel point tu détestes ça, si t'as déjà essayé de fuir. Surprenez-nous. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Phasellus quis lectus metus, at posuere neque. Sed pharetra nibh eget orci convallis at posuere leo convallis. Sed blandit augue vitae augue scelerisque bibendum. Vivamus sit amet libero turpis, non venenatis urna. In blandit, odio convallis suscipit venenatis, ante ipsum cursus augue. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. Sed suscipit bibendum enim, sed volutpat tortor malesuada non. Morbi fringilla dui non purus porttitor mattis. Suspendisse quis vulputate risus. Phasellus erat velit, sagittis sed varius volutpat, placerat nec urna. Nam eu metus vitae dolor fringilla feugiat. Nulla. Facilisi. Etiam enim metus, luctus in adipiscing at, consectetur quis sapien. Duis imperdiet egestas ligula, quis hendrerit ipsum ullamcorper et. Phasellus id tristique orci. Proin consequat mi at felis scelerisque ullamcorper. Etiam tempus, felis vel eleifend porta, velit nunc mattis urna, at ullamcorper erat diam dignissim ante. Pellentesque justo risus. Rutrum ac semper a, faucibus nec lorem. Nullam eget quam tellus, eget sagittis justo.Class aptent taciti sociosqu ad litora torquent per conubia nostra, per inceptos himenaeos. Proin ante enim, tincidunt ut interdum in, adipiscing quis tortor. Nulla turpis lacus, rutrum in adipiscing ut, porttitor ac ante. Sed euismod, mauris a.
(c) MORIARTY

Maintenant je suis maudit, j'ai horreur de la patrie. Le meilleur, c'est un sommeil bien ivre, sur la grève.▲RIMBAUD
Comme une larme bohéme
(au-dessus de 400 mots)Elle est pale, il s’en rappeleras toujours, de cette vielle pierre, de cette pierre mère, de ce derme marbrée au coeur d’ébène. Il voulait plonger ses mains dans la pierre, fouiller dans le blanc, chercher le démon dedans, comme celui de l’onyx tu sais, cacher dans ses vicère. Il c’est enfoncé, il l’a taillée a coup de lèvre, et leur cambrure étaient des lames, et leur souffle des courbe, des arcs en tranche. Il a avorté sa nacre au fond de son granit et elle a couver en elle son oeuf de pierre. Galathée. Il l’a trouvée au fond d’un bar, perle de grèce aux cheveux noirs, lui blondillaud nobliard en perdition, écume de wisky comme un puit sans fond. Elle était là belle en dentelle, jeune en pucelle, et ses résille, et ses cendres, semée, parfumée sur le comptoire de l’érrance. Elle portait ces long chapetets de perles noires à la croix ornée de cristaux noirs. Celui du milieu était fendu, il a compris trop tard que c’était son coeur. Il c’est glissé en la croyant vivante, belle dans ses larmes, ses rimmels, peu être un peu démente. Elle était froide, elle était belle, jeunesse folle au coeur de blasphéme. Alors il l’a laissée ce glisser contre son coeur en passant sous sa peau, il se son pressé en orgie de souffre, les salauds. Il croyait que c’était beau, elle souriait en tourterelle, elle lui disait qu’il est beau, grisonant, qu’il était haut, fort. Il y croyait, il y crois encore. Il c’est voulu artiste, comme un orfèvre taillant une perle baroque. Galathée, son nom a toujours sonné comme une ironie puisque tous ce qu’il a créer dans sa vie c’est éffrité entre ses mains. Et pourtant. Il y a eu cette reique de marbre dans l’utérus de son fantasme, semer là comme par magie, un cadeau empoisonné, une vielle germe. Une étreinte brisé. Elle a accouchée, belle aux astres, en soupirs, souriante. Non parce qu’elle jouissait d’être mère, regardant son pourceau avec des yeux en amende pourrie qui suinte de larme  hypocrites, non, elle jouissait de cette promesse de chair de jouir a jamais du compte bancaire de M.Galathée, de jouir de son nom de famille et de tous ce qui s’en suit, héritage, assurance vie, limousine, chateau en suisse etc, etc. Galathée avait toujours été un camé de mythologie, avec un nom pareil, y a pas de surprise, bref. Il a appellé son fils Erèbe, car il le voullait ténébreux. Il le voulait brun comme sa mère avec les yeux noirs de sa mère, fort comme sa mère, dur comme sa mère, il le voulait beau comme sa mère, noir comme sa mère, déchiré comme sa mère, éclatant comme sa mère. Il l’a appellé Erèbe.

Il fut elevé comme ce qu’il était, l’enfant du marbre, une statue, on voulu tailler chaque détails de son éxistence avec la perfection des maitres, frappant son ame au burin d’une morale lourde, d’une mentalité sénile et dépassée et d’une instruction pointue. Conditionnement. Lavage de cervelle, on enfonça les préceptes familiaux dans son crane avec une puissance chirurgicale, pantin de son nom. Elever dans l’or, loins des misère du monde, reclu. Les premières années de sa vie ne connurent que les murs de vielle pierre mat et des parte ornée du château familiale. Papa avait une bonne étoile, ainé d’une famille noble, il avait eu l’entré VIP. Voyage en classe de luxe etc. Il était pas comme tous ces parias, ces fiente d’apocalypse qui avait pris le train de la vie clandestinement dans les soutes, il n’était pas de ces résiduts de fond de capote qui hantait la ville, affolé comme des fourmis. Nan. Et puis sa femme avait 30 ans de moins que lui est des obus a la place de la poitrine, alors, Papa, il pensait qu’il avait réussi sa vie. Maman, elle, elle avait mal commencée tu vois, c’était genre Jack de Titanic mais avec une chatte. Elle était dans les soutes, avec les rats et puis, elle c’est envoyé le velour et les tigre de sibèrie en bois importé directement d’Inde. Changement.  Monsieur, elle l’aimait pas Maman, elle aimait personne. Elle ouvrait juste les cuisse pour qu’en remplissant sa chatte, mon père remplisse son porte monnaie. Pute arriviste, nouvelle riche sous la couette. Elle lui servait de mouchoir pour essuyer ses vielle paupière, elle était ce quelques choses qui lui faisait croire qu’il était en vie, immortel, jeune a jamais. Mais il dépérissait. On est plus qu’une ombre a 60 ans.

Doucement, l’enfant de pierre devint enfant des vers. quand il sut écrire, il se mit a gribouiller des mots incensés dans un vieux carnet qu’il cachait religieusement sous son matelat, pour le protéger. Loin du monde, il s’en était inventé un. Un monde d’innocence, pur, un monde sans prison. Lui, angelots dans la cage d’or. Lui. ¨Perdu dans les pierre morne. Il n’était pas de ces enfants qui rêvaient de grand châteaux, puisqu’il en avait un, ni des dragon, pour ça, il avait sa mère. Non. Ses rêves invoquaient la Mer et la Forêt, lourde de ses chales de feuilles. Il invoquait le ciel, la terre brulante sous ses pieds. Il rêvait de voyages, de partir, de voir de ses petits yeux bleue le monde, de quitter le paradis gelé de pierre du Château des Galathées pour écumer les routes. Il n’avait que six ans, poupon d’évasion. Précoce, il étonnait son précepteur chaque jour, il jouait avec les langues et les chiffres avec une facilité déconcertante. Son père était si fièr. Et puis, et puis, elle s’en fut. L’équilibre fut brisé, la Mère Dragonne c’était barrée. Il n’y avait plus de forêt dans les page blanche et la mer qu’il invoquait était noire. Le ciel lourd d’orage, les nuages au gros ventre avortaient ses désillusions sur le papiers. Il n’écoutait plus le précepteur, il ne parlait plus. Plus un son. Rien. Muré dans les pages de ses cahiers qu’il noircissait a mesure que le mois passait. L’adolescence le ceuillis dans ces heures sombres et sublima d’un trait d’ében l’encre moisie de sa perdition. Tout s’éxacerbait, l’enfermement amenant l’envie de liberté. Chaques barrières de son éducations, il voulut les envoyer en l’air, les cramé. Il commenca en se tapant la bonne, puis le cuistot, le jardinier. Sachant l’horreur que son père avait pour la chaire impure, celle qui se faisait pour le plaisir. Beau parleur pour un vioque qui s’tape tout les putes de Pontarlier non? Puis vint le jour de la première fuite. Il s’était lié d’amitié avec un jeune homme de la ville. Un jour. Il le suivit.


J’errais. Peine. Je découvrais après des année de fermentation dans le chateau familiale l’odeur du dehors. Mes yeux gobait chaques traits de couleurs et mon nez s’affolait des odeurs de la chaussée, les musiques qui s’échappaient des maisons m’emerveillait. Les gens marchait en monochrome, enlisé, visage tiré. Moi, je les regardait ébahis. Je ne comprennait pas, je ne comprennait pas que cette femme là, si belle avec ses résille vendait son corps pour de l’héro. Je ne comprennait pas que ce barbus là, qui jouait de la guitarre au coin de la rue cherchait juste a pouvoir bouffer un bout avec de se beurrer la gueule au fond d’un squat. Tout ça, je ne comprennait pas. J’immaginais le bonheur a chaques coins de rues, chaques moment.

J’avais des envies d’absolue. De suivre cette femme trop peu habillée au bout du monde, de laisser courir les doigts du guitariste le long de mon corps, pour qu’il fasse jouir mon souffle comme il faisait pleurer sa guitarre. Je voulais enfouir mes mains dans l’eau de ses yeux, je voulais baiser le monde jusqu’à l’explosion. Je me voulais vampire contre la gorge de la terre, je me voulais ivre danseur dans les yeux de la ville. Je ne voyais pas la mort au coin de rue, celle au bout de l’aiguille qu’on me proposerais plus tard, je ne voyais pas la faux dans la fraise du joint, je ne voyais pas les larmes au fond de ce bar ou une blonde chantait comme mourrerait un ange. Je bouffait tout simplement la vie par les yeux, poussant toute chose jusqu’a leur limite. Le sexe, la musique, la drogue, la course, le vol, le meurtre, je me laissait aller, je voulais sentir, je voulais vivre alors j’abolissait tous anathémes. J’avais abandonné la morale et je ne comptais pas la retrouvé. Je revint chez mon père un mois plus tard, encadré par deux fliques au gros bras. J’avais 16 ans et j’avais vu le monde, je l’avais bu jusqu’à la lie et son sable coulait dans mes veines. Mes yeux n’avait plus rien de l’innocence de l’enfant de pierre. Je n’étais pas le pantin sans vie que mon père avait créer. Et il avait compris. Il avait perdu, encore une fois.  Je fermais les yeux et avancait sans honte ce soir là, sans peur. J’allais prendre ma revanche, venger ces années d’enfermement. J’allais ouvrir la dernière porte vers la liberté. Je trouverais mon bonheur dans le sang de mon géolier et ma prison brulera. Je voulais des apocalypse. Mon poing vola jusqu’à son visage, un craquement, du sang. Folie. J’étais en colère. Mes mains agripait sa gorge. Ses yeux n’était que deux petite billes rétractées. Je les lui arracherais plus tard. Je trainait son corps affolé avec un calme Olympien. «Erèbe est prince des ténèbre et je n’aurais pas l’innocence de Galathée. Tu as rêve l’obscur, alors l’obscur de noiera dans ton sang». Ce furent le premier mots que je lui adressait depuis des années, et les derniers qu’il entendra. Les catacombe du château familiale sont un dédale que petit, j’avais exploré. J’étais le seul a les connaitre, le seul. Alors, je l’enfermait là bas. Souriant. J’avais seize ans et le fils de ma mère était mort. L’enfant de pierre c’était fendu. J’étais Erèbe et je planerais en ombre morte jusqu’à ce que, après avoir vidé le monde de son sang, je vivent enfin.
Les pierre peuvent pleurer.

Alors, l’érrance, imbibée, le route noires sous les pieds presques nus tant le chaussures ont vécus, les pas bohémes en écume de larmes sur les routes de France. Le pont des Arts dévalés nus et défoncé poursuivis par des flicard libidineux. Et puis, un joint pour s’envoyer en l’air en haut de la tour Eiffel. La ville des lumière en terrain de jeux. Un an à errer dans ses rues frileuses, a vivre son rythme, a onduler dans sa nuits, a se perde en serpent dans les artères de ses immeubles, à baiser en survie au fond des squatte, a s’camé jusqu’à la lune. Des poèmes semer sur les serviettes des restaurant, des portefeuille volés, et puis, vivre, toujours plus haut, toujours plus fort, vivre en vers, éclore en anacrouse, jouer en métaphore, écrire, pour vivre, pour mourir, écrire sans s’arrêter, écrire la course, les fuite, écrire les visages qu’on découvre, ceux qu’on oubliera le lendemain. Comme ce vieux toujours assis sur le même banc. Ou cette vielle toujours ivre dans le même bar. Vivre et regarder le vide de la vie des autres. Vivre et découvrir, le monde n’as plus d’avennir.

Et puis, il y eut Elle.

Ce soir perdu dans l’hiver trop blanc. La neige poisseuse collée aux vêtements. On s’enfonce dans les catacombe de Paris. Des clochards sément leurs agonies sur le sol. Les putes nétoient leur herpès et allaitent leur petit, et tout au fond, dans un lit de seringue, il y a son corps. Orphée chante dans ces courbes là. Elle était une ombre blanche posée lascive sur le sol terne. Je me suis avancé. Et ses traits, et tout ça, l’encre dans mes veines en ébulition. J’ose. Je m’approche. Tout les écrivains connaissent ces créatures, je n’en avais jamais vu encore. J’avais trouver une Muse dans l’ombre de la cité des lumière. Succube pâle. Je suis venu vers cette peau là, et mon stylo a gratté sa peau, elle a ouvert les yeux, et j’ai écris, j’ai écris comme jamais j’ai écris. Elle était le papier vierge que j’attendait, et je l’ai noircis. Je me suis coucher ensuite contre elle, contre son derme couvert de glyphe. Je suis entré dans son corps, et je n’en sortirais jamais. Orgasme en agonie, et sa voix, son chant, muse en symphonie. Elle était Eve, j’étais Adam. Génèse dans nos corps. Jouissance fatale. Létale agonie. Le monde, mes mots, nos cris. On lévita toute la nuit, de soupirs en inertie. Ineptie. Elle est partie. «retrouves moi». Jusqu’au coeur de l’enfer. Je t’ai marquée de mes ténèbre, femme tu porte mes mots, tu t’es glissée dans l’Erèbe, démone, tu porte mon sceau. Je te retrouverais, en petit mort dans les bras de la nuit, et même si je dois en faire crever les étoiles, et la lune, je te retrouverais. Quelques parts.
Ce n’est pas de l’amour, ce n’est même pas du désir. Je ne l’aime ni ne la veut. Je n’ai pas l’choix, en soit, elle a l’encre dont j’ai besoin. Alors même s’il était laide, même si je la haissait, meme si sa peau était vielle comme un papyrus, je l’aurais quand même prise. Je la retrouverais pour ressentir encore une fois ce frisson dans ma plume. Juste, pour écrire. Puis je partirais quand je l’aurais vidé des mots qu’elle m’inspire, quand elle ne sera plus qu’une femme. Je la laisserais mourir. Je la tuerais même. Ma plume sera sa seule raison de vivre.

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées;
Mon paletot soudain devenait idéal;
J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal;
Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées!

Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur!

Arthur Rimbaud

Alors je suis parti, érrance sur les routes, a suivre ton nom, les sillons que ta voix de chanteuse avaient laissé, les souvennirs gravé dans les mémoires des gens, mes pas jusqu’aux Amérique et plus loin encore. Aujourd’hui j’arrive dans cette ville qui pue, cette ville qu’on m’a conjurer d’évité. Cette ville ou tu serais, toi, ma Muse. Artémis.

Je sémerais tes cendres jusqu'en Hadès.



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(#) Mer 22 Oct 2014 - 23:45
bienvenue à toi !
bonne chance pour ta fiche :)
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(#) Jeu 23 Oct 2014 - 0:11
bienvenue par ici, excellent choix de tête, j'ai hâte de voir la suite De marbre et d'ébène  207091314
par contre attention, y'a plusieurs fautes dans ton texte mon chat Hope
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(#) Jeu 23 Oct 2014 - 0:18
Merci :). Ne t'en fais pas, j'compte corriger une fois tout finis :)
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(#) Jeu 23 Oct 2014 - 0:20
Bienvenue et bon courage pour ta fiche. De marbre et d'ébène  207091314
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(#) Jeu 23 Oct 2014 - 0:28
Bienvenuuue mister De marbre et d'ébène  207091314
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(#) Jeu 23 Oct 2014 - 0:38
meurci

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(#) Ven 24 Oct 2014 - 12:28
omg, philip. De marbre et d'ébène  207091314
bienvenue et bon courage pour la suite. De marbre et d'ébène  2250026331
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(#) Ven 24 Oct 2014 - 17:59
Bienvenue toi, j'ai l'impression que t'es pas loin t'avoir terminé ta fiche! De marbre et d'ébène  3901476981
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(#) Dim 26 Oct 2014 - 15:07
rha comme je vous poutre, amandine, si t'es celle que j'crois -ce qui m'étonnerais pas vu quelles personne sont sur le forum- on va s'enjailler quand tu m'auras démasquée :D.

Sinon, la fiche avance, j'la finis avant la fin d'la semaine ;)

Merci pour vous messages
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(#) Lun 27 Oct 2014 - 16:31
Presque finite o/
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(#) Lun 27 Oct 2014 - 16:49
Salut. perv
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(#) Lun 27 Oct 2014 - 18:50
Salut, jeune oie, dis moi, ce visage là, j'l'aime bien. Comment tu fais pour a CHAQUES FOIS trouver des ava aussi ronglgjeorlegjikF?ZLAF? hein? *w*
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(#) Lun 27 Oct 2014 - 18:56
Bon bah, j'aime bien le cadeau en effet ♥
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