N'oubliez pas de déclarer votre amour pour satan, en postant sur bazzart Hope
Ils sont beaux, ils sont frais, ils n'attendent que vous.
N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil aux PVs Hope
on veut plus de boobs :pff:
- la surpopulation de mâles sur le forum
Pensez à privilégier les hippies, les voleurs et les pirates ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) 2250026331
afin de préserver les âmes sensibles, le forum est déconseillé aux moins de 17 ans
Si aucune fiche est postée après cinq jours, votre compte sera supprimé.
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS)

 :: LES MONSTRES S'ÉVEILLENT :: DONNE TON ÂME :: LES ÂMES DAMNÉES Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Angus Fearghal
Angus Fearghal
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 8
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : TOMMY FLANAGAN.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : SES JAMBES SE PARALYSENT DE MANIÈRE TEMPORAIRE ET COMPLÈTEMENT ALÉATOIRE.
♆ ÉGARÉ : AU SOL A TRAÎNER SA CARCASSE, DANS SA DEMEURE A COMPTER LES HEURES.
♆ ENNUI TROMPÉ : BOUCHER AU COUTEAU AIGUISÉ, DÉSOSSEUR DE CARCASSES, HACHEUR DE CHAIR.

(#) Mer 12 Avr 2017 - 19:57
angus fearghal
Some folks are born, silver spoon in hand, lord don't they help themselves, oh. But when the taxman come to the door, lord the house looks a like a rummage sale, yes. It ain't me, it ain't me, I ain't no millionaire's son, no no no. It ain't me, it ain't me, I ain't no fortunate one no.
CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL ▲ CLIQUE
L'ÂME ÉGARÉE
Héritage Infortuné ♆ Fearghal, nom censé rayonner de par ses origines, son sens profond : des hommes d'honneurs. Hommes qui ont probablement existé un temps au sein de cette famille, bien vite remplacés par des enfoirés, alcooliques et crasseux, tous rejetés de la société. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Angus, l'unique force, l'unique raison pour laquelle sa génitrice a continué de se battre les premières années, bordée d'espoir et de courage. Désormais remplacé par vieux con, surnom aussi charmant que les autres dont on l'affuble régulièrement. C'était mieux avant ♆ Cinquante-cinq années à entretenir une âme effritée, un cœur écaillé, à râler pour ne pas se résigner. Première Bouffée d'air ♆ Loin de la terre natale de papa et maman, abandonnée au profit du Texas où le jeune bambin s'éveille la toute première fois, un vingt-six septembre. Papa et Maman ♆ Angus il n'a pas les traits brésiliens, ni la gueule d'un cambodgien, c'est certain, juste la tête d'un vieux con. Sa nationalité Américaine éclipse régulièrement ses origines Irlandaises très manifestes dès lors que son patronyme et plus encore, son prénom, sont découverts. Dans mon lit ♆ Si le paternel était machiste jusqu'au coude et très peu tolérant envers les déviances sexuelles d'autrui, Angus n'a jamais évolué sur la même route que celui-ci excepté concernant son attirance envers la gente féminine. Hétérosexuel qui n'a jamais eu l’occasion de découvrir des plaisirs en une autre compagnie, peut-être franchira-il un jour le pas par simple curiosité. Degré de solitude ♆ Célibataire au cœur piétiné par des femmes lassées de son attitude grincheuse à longueur de journée. Aucune n'a eu le courage ni même la patience de démêler tous les nœuds formés à l'intérieur de celui-ci, le condamnant très certainement à finir ses jours seul. Tromper l'ennui ♆ Boucher au couteau aiguisé, désosseur de carcasses, hacheur de chair, il coupe, découpe, satisfait du mieux qu'il peut l'appétit de ses clients les plus carnassiers. Fanatisme déclaré ♆ Éduqué à ne croire en rien, pas même sa propre personne, éduqué à craindre tous ces illuminés, le bambin s'y essaye un temps par nécessité. Prières qui tombent dans l'oreille d'un sourd, quotidien qui ne diffère en rien et croyances muettes qui s'achèvent finalement plus vite qu'elles n'ont débuté. Pourtant, après tant d'années, il lui arrive encore de se rendre à la messe sans réellement savoir ce qu'il y cherche, cloîtré dans sa bulle. la Vraie Famille ♆ Ni famille d'âme, ni compagnons à épauler en cas de danger, ni soutien partagé. Juste lui accompagné de son fidèle Rex. Tombé dans le trou à rat ♆ Voilà bien dix années que ses pieds l'ont amené à franchir la ligne invisible, pour reposer ses os usés des traversées. Dix années depuis la découverte de cette ville qui sera très probablement son tombeau. La nouvelle famille ♆ Pauvre salaud.
L'ANGE DÉCHU
I remember those days... The terror that's the home, the fear that's in your bones, it just won't go away Une bouche énervée pour un cœur usé ; la terreur est toujours encrée. Elle résonne au plus profond de son être, joue avec ses liaisons nerveuses depuis sa plus tendre enfance. Angus a bien tenté, désespérément, de ne pas se laisser ronger par le pessimisme. De relativiser. De refouler ce besoin de cracher son flot d'insultes envers les aléas bien chiants de la vie. De ne pas suivre le même chemin que son paternel. Il a lamentablement échoué, les années rendant la chose de plus en plus difficile jusqu'à ce qu'il ne craque ; le caractère de cochon est ressorti comme la peste après le soupire de trop. Adieu le sourire chaleureux, bonjour le faciès grincheux.

Il est ce qu'il est, le mal est fait. Parce que Angus qui ne râle pas, qui ne ronchonne pas, ce n'est pas Angus. Incapable de savoir si cela apaise ses nerfs plus que ça ne les attise. L'habitude est là, c'est tout ce qui compte, et le guide lorsqu'il rouspète sur un moindre détail. Le naturel s'échappe d'entre ses lèvres, naturel qu'il ne contrôle plus depuis très longtemps. Du haut de ses cinquante-cinq ans, parfois du bas lorsque ses jambes le délaissent, il se moque de ce que pensent les autres de sa personne. Franc, cassant. Angus ne se démène plus pour ceux-ci s'ils ne le méritent pas, les efforts sont moindres, voire inexistants. Si quelques rares êtres font exception à la règle, comprenant son fidèle compagnon canin ainsi que son bambin spirituel, le reste se frotte régulièrement au même vieux con. Vieux bougon qui ne laisse pas transparaître un pet de sensibilité affective, qui garde sa carapace fermement accrochée. Alors qu'au fond, c'est juste une protection.

Si Angus a hérité du caractère teigneux de son paternel, comme dans ses pires cauchemars, il n'a jamais usé de ses poings en accompagnement. Même si les mots se font agressifs, la violence n'est pas ce qui l'anime ni ce qui le fascine ; encore moins sur des personnes en position d’infériorité. Dernière option dont il faut user.

Finalement, Angus est juste lassé. Trop vieux pour ces conneries ; il est le premier à le clamer, à se rajouter des rides supplémentaires alors qu'il n'a pas encore atteint le seuil de la soixantaine.
LE DÉMON EXPIÉ
They swear I'm fuckin crazy ain't nothing gonna save me. I'm breaking, I'm feeling. I'm naked, I'm kneeling. I'm shaking, I'm reeling S'il avait eu ne serait-ce que l'opportunité de choisir, Angus aurait préféré un bon gros coup dans les bijoux de famille à la place de cette malédiction qui lui bousille tout son train de vie. Un supplice à chaque fois que sa carcasse s'écroule, impuissante, lâchement abandonnée par ses jambes. Un supplice lorsqu'il se retrouve handicapé pour une durée indéterminée, à ramper la gueule plongée dans le sable, les poings serrés, jusqu'à enfin atteindre une sortie de secours. Une mauvaise blague de Satan qui survient à n'importe quel instant et le plus souvent au mauvais, l'enfoiré le narguant à coup sûr depuis son piédestal. Angus n'a aucun contrôle dessus, sinon, ce ne serait pas aussi amusant. Il est forcé de s'adapter en toutes circonstances. Si une chaise roulante se trouve désormais à sa disposition chez lui lorsqu'il n'est pas installé dessus, cette situation lui remémore constamment les années qui défilent. Ses os défraîchis qui malgré tous ses efforts pour rester en bonne forme, en bonne santé, peuvent lâcher à tout moment. La terreur de finir pour de bon scotché dans ce fauteuil roulant, inutile, hors service, dépendant des autres pour mieux survivre, ou mieux souffrir.
LES GRIFFES DU DIABLE
Soleil, soleil, n'est ce pas merveilleux de se sentir piégé ? Ce n'est certainement pas l’îlot paradisiaque où laisser aller ses os usés après cinquante-cinq années à parcourir le monde. Ce n'est pas la maison de retraite jamais rêvée qui de toute manière, ne l'aurait probablement pas accueillie aussi tôt. De taudis en taudis, il fallait bien qu'il finisse ses jours dans l'un d'entre eux, en plein centre d'une ville de déchets de l'humanité. D'un côté, c'est comme à la maison ; les souvenirs ont tendance à resurgir lorsqu'il côtoie plusieurs personnes à la mentalité de son paternel. D'un autre côté, Angus est à mi-chemin entre agacement et lassitude. Inutile de mentir, il ne porte pas Saõ Poeira dans son cœur ou quoi que ce soit d'autre. Si cela ne tenait qu'à lui, il prendrait ses jambes à son cou en emmenant Rex ainsi que Freddie en sa compagnie puis dénicherait un meilleur lieu de vie. Si déjà, ces dernières ne s'amusaient pas à le lâcher lorsque ça l'arrange le moins. Il n'aime ni la ville, ni les habitants - à quelques exceptions près, et c'est toujours une raison de plus pour jurer ; en toute beauté.
AU DELÀ DES DUNES
Joli prénom ♆ Nathan. Pseudo pas beau ♆ nagron. Nombre d'hivers endurés ♆ Vingt-et-un ans. Pierre précieuse préférée ♆ Rubis rouge. Compagnie de voyage ♆ En tapis volant. Mot doux ♆ Toujours aussi sublime pedo Degré d'addiction ♆ 8 jours sur 7. Tête de cochon ♆ Tommy Flanagan. Remerciements ♆ Bannière trouvée sur tumblr, avatars de moi. Mot d'amour en plus ♆ J'avale.
fils de
Je suis l'enfant naturel d'un couple maudit, je suis l'enfant écorché d'une trop sale réalité. Je suis l'enfant vomi par une société flétrie. Je suis né par le sang, je suis né pour un temps. Je suis l'enfant naturel d'un couple corrompu, nourri par la haine. Je suis né comme un fou, je suis né peste rouge Sanglots, braillements et gémissements sont bien impuissants face à la punition exacerbée. Les larmes s'écoulent lentement sur les joues du gamin maltraité, sous les yeux d'une génitrice tout sauf affolée : seulement usée, sans raison de s'interposer si ce n'est de souhaiter prendre autant de coups que sa progéniture. Il fût un temps où elle agissait ainsi, en mère responsable, mais ce temps est révolu. Le jeune garçon est condamné à encaisser les frappes d'un paternel alcoolique en rogne et à observer le même spectacle se reproduire sur sa mère lorsqu'il n'est pas la cible de sa colère. La douce ambiance familiale est inexistante, Angus se retrouvant élevé dans la crainte ainsi que la contrainte. Le chef de famille dicte les règles en ne se souciant que de son propre bonheur qui n'en est finalement pas un, au vu de ses agissements. N'enseignant à son larbin que mépris, malfaisance et obéissance tandis qu'à côté, le manque d'affection n'est jamais comblé. A la place, Angus est constamment rabaissé. L'école est alors bâclée, les bleus hantant son corps une bonne partie de son adolescence gâchée jusqu'à cette soirée. C'est une maladresse de sa mère lors du dîner qui déclenche les hostilités. La dispute de couple éclate sous les yeux du bambin, spectateur terrorisé et pourtant si contrarié. Lèvres closes, cœur qui s’affole devant les proportions que prennent l'incident. Le verre de trop, le mari l'a bien pris, et il ne se contrôle plus. Le sang gicle de trop. Le jeune homme prend peur pour la vie de sa mère qui ne tente pas même de se rebeller, priant éventuellement pour que la torture s'achève. Pour qu'on l'achève. Et si Angus répond à sa demande, ce n'est pas exactement de la même façon. Les jambes pressées, il profite que son paternel soit trop occupé à la marteler de ses poings afin de récupérer le fusil de chasse planqué dans la pièce d'à côté. Les mains tremblotantes, il hésite un bref instant puis s'exécute, complètement dépassé par les événements. Parricide commis au profit d'une mère sauvée. Mère qui bien que libérée de l'emprise de son connard d'époux, tourne le dos à son fils. L'accusant, bannissant toute reconnaissance, le rejetant définitivement pour avoir brisé le reste de sa pauvre existence en milles morceaux.

Revoici Angus dix années plus tard, au seuil de ses vingt-six ans, dans une toute nouvelle ville. Les diverses familles d'accueil supportées après le drame, la génitrice empochant la peine derrière les barreaux à sa place, tout ceci est laissé en arrière sans intention de revenir sur ses pas. Plus aucune attache n'est présente si ce n'est l'accumulation de mauvaises mémoires qui quoi qu'il en dise, restent toujours dans son esprit. Alors il compense du mieux qu'il peut, se change les idées en accumulant les petits jobs puis bouge encore de ville en ville jusqu'à se caser à un moment donné. La maison est toute trouvée, une femme à ses côtés, le cœur bordé d'espoir. Il s'agit de l'époque où Angus n'est pas encore trop rechigné ni confiné dans un chiant quotidien de vie. Il s'agit de l'époque où très vite, le gamin des voisins s'amène régulièrement chez eux dans le but d'échapper à l'insoutenable ambiance familiale chez lui. Un air de déjà-vu qui pousse Angus à l'accepter et peu à peu, à s'y attacher, peu importe si cela fait remonter en lui quelques souvenirs très désagréables. Peu importe si cela l'affecte à nouveau, lui, ses pensées et son couple qui s'étiole. L'attitude grincheuse a finalement raison de la femme qui l'abandonne, faute de ne plus le comprendre, faute de ne plus chercher à le comprendre. Le Fearghal qui n'a jamais su de quelle manière lui passer la bague au doigt se retrouve bien incapable de la convaincre de rester, préférant se faire une raison. Pansant les blessures de son cœur grâce au bambin qu'il en vient bientôt à considérer comme son fils spirituel. Il lui offre diverses babioles, un toit lorsque tout dérape sous le sien, une présence mais surtout de l'attention. Reprenant du poil de la bête et chassant ses propres démons en s'en occupant. Bien évidemment, il fallait que tout s'écroule un jour ou l'autre. Le gamin, parvenu au stade de l'adolescence, tourne mal, termine derrière les barreaux, entachant une énième fois un cœur usé. Un cœur qui cette fois-ci, jette l'éponge. Solitaire, le sourire effacé, la mine renfrognée, les lèvres qui grondent à longueur de journée.
Angus Fearghal
Revenir en haut Aller en bas
Bélial Chateminoy
SATAN M'HABITE
Bélial Chateminoy
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 326
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : DIEU DEPP.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : LES ANNÉES S'AJOUTENT ET DISPARAISSENT. LE TEMPS NE FAIT PLUS EFFET SUR SES TRAITS. TANTÔT ENFANT AUX MAINS BALADEUSES, ADULTE AUX SOURIRES CRASSES ET VIEILLARD AUX MOTS AIGRIS.
♆ ÉGARÉ : DANS L'ANTRE DE SATAN.
♆ ENNUI TROMPÉ : GOUROU SATANISTE. CHIEUR, FARCEUR, EN MISSION POUR LUCIFER POUR FAIRE DE VOTRE VIE, UN ENFER.

(#) Mer 12 Avr 2017 - 20:09


(classe et subtilité Cool)
Bélial Chateminoy
https://foutue-vermine.forumactif.org/t686-belial-on-est-le-diable-on-ne-le-devient-point
Revenir en haut Aller en bas
Freddie Staniak
Freddie Staniak
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 9
♆ PSEUDO : ECTOPLASM.
♆ AVATAR : MATT LAURIA.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE NEUTRE
♆ PERDITION : SÉCRÉTION DE DROGUE.
♆ ENNUI TROMPÉ : VENDEUR DE POISSONS DROGUÉS.

(#) Mer 12 Avr 2017 - 20:53
MY LOOOOVE
(je te fais un joli message quand je suis plus sur téléphone :chou: )
Freddie Staniak
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Mer 12 Avr 2017 - 21:35
ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) Lemongrab-body-is-ready
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Nela Coelho
Nela Coelho
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 39
♆ PSEUDO : Livingston
♆ AVATAR : Marina Nery
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE BON
♆ PERDITION : La petite cuisinière aux doigts de fée. Quoi que ça puisse être, alchimiste, elle sait redonner de la couleur à la grisaille de vos plats.
♆ ENNUI TROMPÉ : Cuisinière

(#) Jeu 13 Avr 2017 - 20:03
Bon retour avec ce personnage. J'ai lu quelques passages et j'ai beaucoup aimé. Ca annonce des choses vraiment sympa ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) 1606765011

+1 pour l'utilisation des Creedence Clearwater revival, soyons potes ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) 2250026331
Nela Coelho
https://foutue-vermine.forumactif.org/t868-nela-intime-etrangere
Revenir en haut Aller en bas
Angus Fearghal
Angus Fearghal
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 8
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : TOMMY FLANAGAN.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : SES JAMBES SE PARALYSENT DE MANIÈRE TEMPORAIRE ET COMPLÈTEMENT ALÉATOIRE.
♆ ÉGARÉ : AU SOL A TRAÎNER SA CARCASSE, DANS SA DEMEURE A COMPTER LES HEURES.
♆ ENNUI TROMPÉ : BOUCHER AU COUTEAU AIGUISÉ, DÉSOSSEUR DE CARCASSES, HACHEUR DE CHAIR.

(#) Ven 14 Avr 2017 - 10:12
Comme toujours Bébé, comme toujours Rolling Eyes (mais avec grand plaisir gnah )

J'attends toujours fiston :pff:

Divine frodon

Merci Nela ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) 3908371480 potes ou plus encore, comme tu veux, obligé pedo (ça fait tellement louche avec Gugus, t'en fais pas il est pas comme ça Arrow ) en tout cas il nous faudra un lien ATOP YOUR HEART LIKE A SECRET CLOSET (ANGUS) 1606765011
Angus Fearghal
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
(#)
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en hautPage 1 sur 1
Sujets similaires
-
» THE STRANGLE HOLDS, THE INSULTING NAMES (ANGUS)
» (Mimil) Du danger de confier son secret à une chèvre
» Cross my heart. Hope to die.
» ΘMBRE — the scars on your heart are yours to atone

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FOUTUE VERMINE :: LES MONSTRES S'ÉVEILLENT :: DONNE TON ÂME :: LES ÂMES DAMNÉES-
Sauter vers: