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Pensez à privilégier les hippies, les voleurs et les pirates F ♆ EVA GREEN — LES YEUX REVOLVERS 2250026331
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F ♆ EVA GREEN — LES YEUX REVOLVERS

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O Diabo
O Diabo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 281
♆ PSEUDO : SATAN
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : OMNISCIENCE
♆ ÉGARÉ : DANS TES CAUCHEMARS
♆ ENNUI TROMPÉ : DÉGUSTATION DES ÂMES

(#) Sam 5 Nov 2016 - 14:17
ALIÉNOR VOISIN
Et d’autres, dont la gorge aime les scapulaires, Qui, recélant un fouet sous leurs longs vêtements, Mêlent, dans le bois sombre et les nuits solitaires, L’écume du plaisir aux larmes des tourments. Ô vierges, ô démons, ô monstres, ô martyres, De la réalité grands esprits contempteurs, Chercheuses d’infini, dévotes et satyres, Tantôt pleines de cris, tantôt pleines de pleurs,
CHARLES BAUDELAIRE ▲
L'ÂME ERRANTE
Héritage Infortuné ♆ Voisin. Des allures un peu sorcière, des vapeurs de poisons entre les traits délicat. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Aliénor. Royal patronyme. Aliénor n’est peut-être pas aussi riche ou puissante que son homonyme, elle n’en est pas moins tout aussi Reine. C'était mieux avant ♆ Mystère aussi profond que ses décolletés. On suppose qu’elle batifole avec la trentaine. Certaines vipères murmurent pourtant qu’elle frôle la quarantaine. Première Bouffée d'air ♆ Lyon, cité des gones, capitale des Gaules. Papa et Maman ♆ Douce sous France. Liberté, Égalité, Morosité. Papa se délectait de cuisses de grenouilles tandis que Maman buvait trop de vin rouge. Dans mon lit ♆ Les doigts fins qui dessinent sur les muscles saillants, les pupilles qui s'en délectent, la langue qui glisse sur sa lippe une fois l'envie installée. Il n'y a que la chaleur des hommes qui parvient à la combler. Degré de solitude ♆ Femme fatale au cœur glacial. Beaucoup ont succombé au poison enivrant de ses lèvres, sans qu’elle ne s’attache assez pour ne pas leur arracher le cœur avec ses ongles s’il le fallait. Tromper l'ennui ♆ À la tête de sa petites bande de malfrats, kidnappeurs de touristes autant que de sourires. Les organes frais des macchabées qu’elle revend aux plus offrants. Terra do Sol qu’elle dirige d’une main d’enfer. Fanatisme déclaré ♆ Elle s’est longtemps esclaffée à l’idée d’une entité supérieure, la tête bien trop sur les épaules pour croire à pareilles foutaises. Pourtant, les convictions sont ébranlées depuis s’est retrouvée coincé dans la cité de poussière. Incertaine, pour la première fois de sa vie, sur l’identité du marionnettiste caché dans l’ombre. Le pouvoir démoniaque ♆ Reconnaissance des dons/malédiction. Elle a les yeux revolvers, des prunelles qui transpercent, comme si elle lisait en vous comme dans un livre ouvert. Un seul regard lui suffit pour vous jauger et connaître votre lien avec le Malin et le petit cadeau empoisonné qu’il vous a gentiment laissé. Tête de cochon ♆ Eva Green. la Vraie Famille ♆ Terra do Sol, parmi les plus vils de la vermine en ces lieux. Ravisseur d’innocents, responsables directs de l’arrivée de moult nouveaux villageois. On murmure qu’elle se nourrirait uniquement de la chair fraiche de tous ceux qui périssent sous le souffle du Diable.  Tombé dans le trou à rat ♆ Onze ans que la Reine s’est égarée en ces lieux désolants. Assez pour se hisser de nouveau dans les rangs des plus grands. La nouvelle famille ♆ Crapule aux griffes acérées.
ALVARO MORALES
Il n’y a sans doute rien de plus tranchant sur la peau d’Alvaro que les iris lazulites de la princesse des dunes qui l’a fait prisonnière. Point de ressentiment dans le cœur du menteur, la haine n’a pas eu le temps de s’installer dans son être que la malice de la reine n’y a laissé de la place que pour de l’admiration, les sentiments secrets et inavouables d’espérer être un jour comme elle, désir enfoui et pourtant palpable sur son visage de vouloir un jour régner sur son royaume sans pour autant envisager ne serait qu’un instant de faire chuter la madone du trône. Il n’y aurait sans doute pas assez de mots inventés par les langues savantes pour décrire les mélanges complexes d’égards qu’Alvaro puisse lui porter, mais il y en a bien trop pour rendre compte de ceux qu’Aliénor ne lui rend pas, à ses yeux il n’est qu’un parmi tant d’autres, à peine petit diablotin quand elle s’éprend dans les bras des monstres, à peine le remarque-t-elle pour lui donner les quelques ordres qu’il exécute sans jamais rien dire, parfait petit soldat intimidé par son général. Amputé par sa malédiction, il ne se lasse pas de l’idée d’un jour devenir premier héritier du royaume des mensonges et du sang, par-delà les moqueries et les rumeurs qui le diminue chaque jour, il n’est que rongé par l’envie de marcher dans les traces de pas de la matrone, mange chaque poussière qu’elle peut laisser derrière elle avec avidité.
DOC BONHAM
Le cœur tendre du docteur a été distendu par la misère des années passées ici pour qu’il ait encore la force ou le courage de vivre – et la fatigue de son âme si elle n’est plus passagère semble être la faute de l’instigatrice de son malheur. Aliénor, son visage de glace, ses chiens de garde pour la défendre et le doc lui-même pour la servir, est, aux dires de presque tous, la source de bien des misères au village – si ceux qui étaient enclin à se plaindre l’étaient tout autant à ouvrir les yeux, sans doute se rendraient-ils compte que pour faire tomber une reine il n’y a qu’une couronne à lui retirer. Sans doute Doc le sait, et pourtant de sa prison de sable il n’essaye plus de s’échapper, des visites nocturnes d’Alvaro il serait presque déçu de ne pas voir les cheveux corbeaux se joindre à eux pour les veillées auprès du feu. Aliénor n’est pas de celles qui restent à s’épandre dans les bras comme une jeune délicate en fleur, pourtant de leurs yeux qui se croisent ne ressortent non pas des étincelles mais des brasiers entiers, des incendies qui brûleraient la terre jusqu’à ce qu’il n’en reste que poussière. Aliénor est l’antithèse de Jane, la noirceur à sa douceur, l’horreur à son sublime, elle le révulse autant qu’elle l’attire. Son étreinte à goût de néant, sa peau se fond comme chaos sur la langue. Ce n’est pas là un battement de cœur qui ferait pleurer les chaumières ni un atome crochu qui leur chatouillerait le ventre, c’est peut-être un peu des épices du diable dans le mélange de leurs parfums pour créer cette alchimie qui leur donne envie de s’épanouir dans le sang l’un de l’autre, animés par les démons de s’offrir des cœurs encore battant plutôt que de s’arracher le leur.
BÉLIAL CHATEMINOY
Une alliance qui s’est d’abord concrétisée dans les draps. Une collaboration horizontale des plus fructueuses, deux êtres ignobles qui se comprennent, se respectent, sachant qu’ils ne pourront jamais s’aimer. Pourtant, au fil du temps, le lien s’est renforcé. Quelques innocents qu’elle lui vend pour ses rituels, les cadavres qu’elle reprend ensuite pour revendre en pièces détachées. Quelques apparences parmi les fêtes dénudées au sein des adorateurs de Satan. Tandis qu’il l’accompagne de temps en temps à la table de dîner. Aliénor apprécie Bélial pour son charme et ses beaux discours viciées. Pourtant, elle se contrarie parfois de ses penchants trop libertins, trop habituée à être le centre du monde des hommes qu’elle daigne faire entrer dans sa couche. Ce n’est pas sans étincelle entre les deux adorateurs de chaos, disputes pleines de venin qui se terminent parfois avec les mains. Comme si le conflit prenait des allures de préliminaires dans leurs esprits dérangés. Gare à ceux se retrouvant au mauvais endroit au mauvais moment. Ils se reviennent toujours à la fin, peut-être plus attachés qu’aucun des deux ne voudra jamais l’admettre.
LES YEUX REVOLVERS
Aliénor n’est pas née avec la cuillère en argent dans la bouche qui lui revenait de droit alors, de ses cheveux corbeaux et ses yeux d’envoûteuses, elle a dédié sa vie à finir de franchir l’escalier qui l’installerait sur le trône du monde dans la seule optique de le vendre pour s’étouffer dans une mer de richesse. Des petites filles à peine embourgeoisées elle a utilisé le meilleur moyen mis à sa disposition pour s’élever, l’éducation, plongée dans les livres et les plumes pour s’armer des mots contre le monde et le conquérir, laisser ses vêtements volages apercevoir sa peau des quelques professeurs avides de lui apprendre la vie, trop enivré de son parfum pour ne pas céder aux (fausses) larmes qui lui provoquait la peur de l’échec sans se rendre compte que le doux agneau était pourvu d’une multitude de canines acérés. Des lettres de recommandations charnelles aux résultats trop élevés pour être sincère, c’est toute une vie de mensonge qui a permit à la belle Aliénor de s’arrimer de bras en bras jusqu’à en trouver un assez noble pour l’y laisser passer une bague à son doigt et une signature sur un juteux contrat de mariage, l’amoureux éperdu assez naïf pour croire à ses promesses de fidélité quand rien ne pouvait subvenir à l’appétit de ses besoins, matériel ou physique. De ce mariage pourtant, perdu dans les flûtes de champagne et les colliers de diamants n’y avait-il pas de jours malheureux, et de sa vie à marcher sur le bas peuple elle n’aurait jamais fini de se rassasier si ce n’était pour un beau perdu dans la ville maudite de São à l’observer depuis le puits des âmes, finissant par l’attirer sur la terre damnée par la force des choses. De cette femme frêle dont tout le monde ne pensait faire qu’une bouchée trop ont sous-estimé le monstre insatiable qui dormait en son sein et, familiarisé des mécaniques du diable, le premier coup d’éclat de la chevelure corbeau fut de tuer le malheureux qui l’avait amené là, définissant avec dureté le ton de son règne prochain sur la ville. De son charme et des mots dont elle n’a jamais perdu l’aisance de les manier est née une petite bande aujourd’hui devenu Terra del Sol, fidèles dévouées à leurs prêtresse sans religion autre que l’argent que peut lui rapporter les quelques organes qu’elle revends au plus offrant, gardant les restes pour sustenter à son estomac exigeant qui n’a jamais su se contenter de la nourriture des malfamés de São.  
O Diabo
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