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(#) Lun 28 Sep 2015 - 19:22
abe dylan padmore

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ padmore. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ abe dylan, ou juste toi. L’autre t’appelle comme ça. Toi. C'était mieux avant ♆ vingt-deux ans. Première Bouffée d'air ♆ T’es né à Eau-Claire, dans le Wisconsin, aux Etats-Unis, un treize novembre dix-neuf-cent quatre-vingt-douze. Papa et Maman ♆ Même si t’as la nationalité américaine, t’as probablement quelques origines européennes. Des ancêtres anglais avec des envies de nouvelles mésaventures. Dans mon lit ♆ T’as le cœur qui penche plus pour les messieurs, mais malgré tout, tu te déshabilles pour les deux. Degré de solitude ♆ esclave. T’aimerais avoir au moins le droit de regarder. Tromper l'ennui ♆ Tu fais un peu de tout. Tu touches à tout. Parce que tu ne sais pas quoi faire. Parce que t’es comme ça, et que tu préfères essayer de te dépatouiller. Dans tes rêves, tu aurais aimé être couturier. Parce que t’aimais bien aller dans des friperies, et imaginer des nouvelles choses avec ce que t’avais sous la main. Mais y’avait que les mères pressées de gamins qui semblaient intéressées, pour que tu fasses un ourlet aux pantalons des polissons. Alors t’as changé. T’as vagabondé, et t’as fini par te retrouver à écrire des nouvelles érotiques pour le plaisir de quelques tarés. Idolâtrie ♆ T’aurais vraiment aimé avoir une preuve de dieu. Mais t’en as jamais eu, alors t’as cessé. Tombé dans le trou à rat ♆ T’as là depuis que l’autre t’a embarqué, t’es là depuis un peu plus de quatre mois. La nouvelle famille ♆ trainée


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Anaïs. Pseudo pas beau ♆ bad.blood. Nombre d'hivers endurés ♆ dix-neuf. Pierre précieuse préférée ♆ J’ai cessé de collectionner les cailloux quand j’ai eu six ans. Du coup, j’ai pas trop de préférences, mais j’aime les pierres violettes ou un peu bleues. Compagnie de voyage ♆ J’étais Jaime la dernière fois ! (et Lydie m’a forcé.) Mot doux ♆ Vous êtes toujours aussi beaux. Degré d'addiction ♆ J’peux passer cinq jours sur sept en gros, mais j’peux rp genre .. une fois par semaine, ou tous les quinze jours Sésame ouvres-toi ♆ Enfermons-nous mélancoliques Tête de cochon ♆ john hein TYPE DE PERSONNAGE ♆ inventé Remerciements ♆ bannière tirée du vidéoclip train (brick+mortar), avatars de bad.blood Mot d'amour en plus ♆ des bisous ?
I have your hands, but I have my mother's eyes ; your tact and poise and her sense of wrong and right. ▲ NECK DEEP
Don't be afraid to fall
T’es un garçon bordélique. Complètement désorganisé, aussi bien dans ton univers que dans tes idées. A croire que tu es incapable d’être capable de ranger quelque chose. Tu te cherches encore, probablement. • T’es pas toujours très aimable. Un peu vulgaire, avec les insultes au bord des lèvres. Mécanisme de défense, alors que tes doigts ne sont que douleur permanente. • T’es effrayé. Mort de trouille à l’idée de ne plus jamais pouvoir t’en aller. T’as parfois un peu de mal à y croire, un peu de mal à t’y accoutumer, mais t’es obligé d’accepter de rester prisonnier. Tu ne pensais pas être peureux, mais faut bien avouer que ça te tord le ventre d’avoir perdu ta liberté. • Tu oscilles entre des nuances de gris. Un peu noir, un peu blanc. Lunatique. Capable d’être aussi joyeux que ronchon. T’as des moments, et tu changes d’état d’esprit presque trop rapidement. • T’as jamais été vraiment digne de confiance. Peut-être un peu trop gamin>, pas assez grand. • T’es facilement distrait. Tu te déconcentres aisément lorsqu’on te raconte des trucs qui ne t’intéressent pas. Et puis parfois, t’es impossible à perturber. Quand t’as envie d’essayer. Quand t’as entre les doigts une raison d’exister. • T’es quelqu’un de créatif. Un gamin qui aime essayer. Qui aime inventer. • Tu rêves de retrouver une machine à coudre, et des tas de vieilles fringues. Pour t’occuper. • Tu t’en foutais complètement avant, mais maintenant, t’aimerais bien qu’on arrête de te toucher. Qu’on arrête d’effleurer ta peau constamment. • T’aimais courir. Ça t’aidait à te sentir libre. Quand tu t’es décidé à partir courir. Quand t’as posé tes baskets sur le bitume, d’une allure précipité. Tu t’étais appliqué. T’avais envie de voler. T’avais l’impression de t’envoler, lorsque tu courais. Tu t’es entrainé, comme un demeuré, pendant toutes les récrés. Pour courir plus vite encore pendant les cours de sport. Et puis, t’as tout arrêté. Parce que ça ne servait plus à rien. Parce que tu ne pouvais plus t’en aller.


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(#) Lun 28 Sep 2015 - 19:22
To be rich is to seek, to relive a memory

l'étrange
Le diable s’est bien moqué de toi. T’aimais les caresses. T’aimais les corps étrangers contre le tien. Sauf celui du demeuré, peut-être. Lui et ses coups sur ta peau douce. T’arrives à le rendre fou, à girouetter tout le temps. A osciller entre deux sentiments. Visiblement, ça l’énerve. Ou c’est juste ta gueule qui l’invite à déposer ses poings forts contre ton corps. Des bleus. Des tâches qui virent de toutes les couleurs, dès qu’on te touche. Le contact humain s’étale en arc-en-ciel sur ta peau. La douleur qui s’infiltre dans ton corps comme une aiguille. Tu supportes plus les coups. Tu supportes plus les caresses. Aucune. Et visiblement, l’autre fou, ça l’amuse. Ça l’invite à profiter un peu plus de ton corps douloureux et violacé. Ça l’invite à te menacer un peu plus sans trop se fatiguer. C’est tout le temps. C’est permanant. Ça te donne envie de te rouler en boule quelque part, sous des couvertures. T’as peur de ce que ça pourrait devenir, avec le temps. T’as peur que ça empire. T’as peur qu’un jour, même te lever soit synonyme de souffrance. Peut-être que ce sera moins pire, pourtant. Peut-être que tu pourras t’endurcir et résister à la douleur qui malmène ta chair ? Qui sait ? Peut-être qu’un jour, t’arriveras de nouveau à baiser sans avoir envie de pleurer. Peut-être que c’est une vengeance. Un moyen douloureux de te faire comprendre que tu t’es trop frotté à tout le monde. Un moyen créatif de te faire crever. Un tableau de permanentes ecchymoses, un gamin qui ne supporte plus le contact des autres.
(c) bad.blood


São Poeira
T’as du mal. T’as de la peine à supporter d’être ici. Déjà, parce que y’a l’autre fou qui veille. Il t’a ramené. Il t’a pioché au milieu des rues de la grande ville alors que tu n’étais qu’un gamin égaré. Tu y avais vu une belle opportunité. Tu avais vu l’occasion de te loger sans que ce soit trop compliqué. T’as bien voulu le suivre partout où il t’emmenait. Mouton. T’as suivi le loup sans hésiter, presque avec entrain. Puis il a dérapé. Il devait probablement te supporter aussi peu que tu le supportais. Ou t’en vouloir d’être aussi con. Il a commencé à étaler sur ta peau les ecchymoses. T’as commencé à réfléchir à ton avenir. T’as voulu partir. Alors t’as couru, comme un abruti. T’as profité d’une seconde où son regard était tourné ailleurs, et tu t’es barré en courant. T’as sombré. T’as failli crever, parce que ton organisme n’a pas supporté de s’éloigner. Et ton démon est venu te chercher. Comme si c’était le seul à pouvoir te réconforter. Comme si sans lui, tu n’étais pas capable de subsister. Alors tu te perds dans des conneries. Tu t’égares dans l’espoir de pouvoir goûter une dernière fois à la liberté.
(c) bad.blood

Story of your life, time of solitude and strife. Freedom of an open road, hope and many miles to go. ▲ TUOMAS HOLOPAINEN
I'd be a rat in a cage, I'd be a slave to this place
A quoi tu joues ? Qu’est-ce que tu fous ? « Abe ? » Tu ne réponds pas, confortablement installé dans la salle de bain. Un dernier bain. C’est dommage. C’était plutôt pas trop mal, ici. Entre tes doigts, tu tritures un flacon de shampoing. Cheveux secs. Colorés. Tu fais un peu la moue. Ça irait bien. De toute façon, ce n’est qu’un mot sur un morceau de plastique. C’était toujours autant de la merde à l’intérieur. « Abe, y’a ton pote dans le salon. Celui qui voudrait bien que tu lui rendes sa thune. » Tu lèves les yeux au ciel. Ta gueule. C’est ça, que t’aimerais. Qu’on te laisse tranquille, ne serait-ce que cinq minutes. Et puis c’est pas ton pote. En fait, tu ne sais même pas qui c’est. T’as réussi à l’éviter jusque-là, mais tu n’es pas certain d’y parvenir encore. T’entends ta blonde qui gueule encore ton prénom. « Tu m’fais chier. Vous m’faites chier. » que tu as marmonné, pour toi-même. A tous les coups, elle allait gueuler qu’elle t’avait entendu. Que t’étais mauvais.
Elle est pas dégueulasse, mais qu’est-ce qu’elle est conne.
Et l’autre, qu’est-ce qu’il est con. Le monde aussi. Tu souffles, longuement, et tu tires ton corps de l’eau. La serviette vient se frotter contre ta peau. Caleçon, vieux pantalon. Une chemise qui menaçait de craquer. Ton sac à dos se retrouve sur tes épaules. Des affaires à toi. Le peu que tu possèdes vraiment. Tu ne te faisais pas d’illusions, de toute façon. Tu savais que t’allais devoir te barrer d’ici. Et tu préférais courir en laissant émaner derrière toi des effluves de savon. Tu croyais que tu allais virer fou, dans cette maison. Tu te penches par-dessus la fenêtre. T’observes la rue. C’est presque calme, au fond. Tu souffles, péniblement. Tu as hissé ton corps trop grand, trop fin, et tu t’es laissé tomber de l’autre côté. Ton visage s’est tordu dans une grimace, alors qu’une douce douleur s’est offert le droit de traverser ta cheville. T’es con. C’était peut-être un peu haut. Et puis toi, t’es pas un héros. T’es pas un solide. Tu grognes, un peu, avant de te redresser en boitillant. T’espères que ça va passer. T’y crois sincèrement. C’est pas cassé, c’est pas foulé, c’est juste un manque d’entrainement. T’en es certain.
Un cri derrière toi. Tu te retournes, l’espace d’un instant. Grimace. Tu as élancé tes fines jambes. Tu t’es mis à courir dans les grandes rues. Courir jusqu’à la fin du monde.
Voilà un nouveau monde dont tu avais disparu.
Un nouveau monde pour lequel tu ne tenterais plus rien. Tu redeviens plus rien. Tu n’es plus qu’un nom, un caractère. Un corps nouveau dans un nouveau quartier. Une nouvelle histoire, une nouvelle vie. Un truc qui ressemble à tout le reste. Tu ne t’inventeras jamais président des Etats-Unis. Tu t’efforces de rester cohérant. Tu embellis juste un peu la réalité de temps en temps. C’est quelque chose que semble particulièrement te réussir, ces derniers temps. Sauf lorsque tu t’égares trop fort. Sauf lorsque tu te perds dans les méandres d’un joint. Les restes de la poudre blanche au bout de ton pif. Tu devrais arrêter, parce que c’est pas bien. Parce que ça te fait dire de la merde. Mais parfois, y’a que comme ça que t’es bien. Y’a que comme ça que t’arrives à te supporter comme il faut. Toi, et puis tes sautes d’humeurs.
Un jour, c’est presque noir.
Le lendemain, c’est presque blanc.
Il ne te reste plus que la course. Courir, courir encore et encore. Courir jusqu’au bout de la nuit. Comme si ta vie en dépendait.

La panique au fond de ton cœur. Ton être qui court. Toi qui tente de te barrer d’ici. Tu te sens mal. T’as l’impression de mourir. Tu dois déjà faire preuve de volonté pour partir. Pour essayer de te barrer. Tu as envie de lui échapper. Tu as envie de partir de ce coin maudis, à tout jamais. T’as la tête qui part en vrille. Ton corps n’est plus qu’une horreur dégoulinante. Des larmes. De la sueur. La peur. T’aimerais arrêter de te sentir si mal. T’aimerais pouvoir te sentir bien, libéré, alors que tu tentes de quitter l’antre du demeuré. Il t’a cogné tellement fort que t’as des marques partout sur le corps. C’est ça, n’est-ce pas ? C’est de sa faute si ta peau se décore constamment de traces violacées. Pas vrai ?
Tu sens que ça ne va pas lui faire plaisir. Tu le sais.
T’aimerais courir plus vite encore, pour partir encore plus loin, mais tes jambes faiblissent. Tu t’écrases sur le sol. Douleurs dans tout le corps. A croire que la ville t’a rendu trop fragile. Une goutte de sang sur la route de sable rouge.
T’aimerais avoir au moins la volonté de ramper.
Ou peut-être que tu pourrais crever là. Mais déjà, tu sens ses grands bras qui t’enlacent. Nouvelles douleurs. Son pas s’accélère, ou quelque chose comme ça. Tu te sens crever de douleur. Tu sombres.

Y’a plus rien pour te donner envie. Si tu avais su, tu ne l’aurais jamais suivi. Si tu avais su, tu n’aurais jamais traversé les frontières. Tu penses qu’il a dû te voir arriver, avec ton tee-shirt rouge de sang. Bouffé par des moustiques. Oh, le gamin innocent. Si tu avais su, tu serais resté à baiser à droite à gauche au nord de l’Amérique. Tu aurais dû. Tu aurais pu rester un connard. Un petit abruti des contrées. Mais t’es là. T’es coincé ici, avec l’autre taré. T’es coincé avec lui, dans sa putain de bicoque. Et monsieur ne semble s’occuper de toi que lorsqu’il est ennuyé. Des caresses sur ta peau. Un sourire qui s’efface face au sadisme qu’il semble te témoigner. T’aimerais le buter. T’aimerais cogner sur son corps, de toutes tes forces, pour qu’il s’imagine ne serait-ce qu’une fraction de seconde la douleur que tu ressens à chaque instant. Tu voudrais lui planter des milliers de couteaux dans le corps. Des centaines de lames dans le cœur. Est-ce qu’il comprendrait ? Est-ce qu’il arrêterait ? Est-ce qu’il te chérirait ? Des câlins plutôt que ses poings. Mieux encore. Son corps éloigné de toi plutôt que ses doigts sur ta peau. Ce serait bien. Mais t’espères plus trop. Tu cesses d’y croire presque instantanément lorsque tu croises son regard malade. Tu n’es plus rien lorsque lui et ses copains sont dans le coin. Rien de plus qu’un tableau coloré. L’œuvre d’art des demeurés.


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(#) Mar 29 Sep 2015 - 17:06
j'aime vraiment trop trop (le début de ?) ta fiche et ce que tu as fait de ton d'abe (avec la tête de john pour embellir le tout perv )
bienvenue sur le forum, hâte de te voir rp ! robert
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(#) Mar 29 Sep 2015 - 18:45
J'aime pas faire long, j'avoue. Arrow

Mais j'suis contente que ça te donne envie, déjà ! Merci beaucoup ! run away with me. 3908371480 (puis Sahores, il est diablement sexy, aussi.)
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Atílio Lampião
Atílio Lampião
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Mar 29 Sep 2015 - 22:06
bienvenue à São Poeira
la vie est finie, mais tu survis.


que c'est beau tout ça run away with me. 3921166857 bon je te l'ai déjà dit, mais ta plume quoi run away with me. 1578669634 pauvre petit shinzo abe What a Face pis je t'ai pas forcé, tu étais consentant :pff: en plus c'est génial ici :pff: bon c'est pas tout, mais mon vlad salive partout sur mon clavier là, il a sorti les pinceaux et tout perv

Il y a ce sourire, là, si grand, si laid, sur ses lèvres gercées par les morsures et le sang versé. Il t'observe, là, le torse ouvert, le coeur entre ses mains, maintenant. Plus rien ne t'appartient ; tu es à lui tout entier, maintenant, qu'importe ce que tu choisis de faire. Ses ongles, si abîmés, s'enfoncent dans ton pauvre coeur et y glisse son venin. La malédiction est lancée ; te voilà captivé.

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(#) Mer 30 Sep 2015 - 7:41
Oui oui, c'est ce que tu dis. run away with me. 3921166857 Mais peins pas trop fort quand même, ça fait mal. (et puis merci ! run away with me. 207091314 )
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