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INTEMPORELLES INTEMPÉRIES

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(#) Lun 28 Sep 2015 - 0:23
yael marsen

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ Marsen. Sans origine particulière, Marsen, qui orbite autour de la terre, sans attache. Il n'y a que la gravité pour l'empêcher de sombrer dans le vide. (Ce n'est pas son vrai nom, c'est un nom qu'il a pris pour tout effacer derrière lui. Sans attache, sans ancre avec son passé). Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Yael. Nom féminin, nom pur. Prédestiné à faire le bien, ou du moins à essayer. C'était mieux avant ♆ Vingt-deux ans en vain. Il y a longtemps qu'on ne le surprend plus avec un gâteau et des bougies. Première Bouffée d'air ♆ Vingt-et-un novembre, à Prague, peu longtemps après que la Tchécoslovaquie ait arrêté d'exister. Papa et Maman ♆ Maman est tchèque, et son père aussi probablement, mais ça on le saura jamais vraiment. Dans mon lit ♆ Personne. Il a jamais voulu se trouver dans le même lit qu'autrui, ses hormones elles sont à plat, c'est comme ça. Dans son lit, il n'y a que son corps mince et la fumée des cigarettes suspendue dans les airs.  Degré de solitude ♆ Maximal. Mais il s'en fait pas avec ça. Ça le dérange pas. Il attend patiemment que son tour vienne. Tromper l'ennui ♆ Mécanicien paumé, avec aucune voiture à réparer dans le coin. Il se tient à la station service, une clé à molette huileuse abandonnée dans sa poche. Et le soir, il s'introduit chez les gens, à travers les ondes radios, avec sa voix, avec son émission où il parle, en apparence pour rien dire, mais si on tend l'oreille, on se rend compte que ce gamin en connaît beaucoup. Peut-être trop. Idolâtrie ♆ À peu près chrétien, c'est surtout le côté croyant qui l'intéresse. Pour le reste, il n'est en rien pratiquant, tellement peu qu'à moins de lui demander, impossible de savoir qu'il croit en quoique ce soit. Tombé dans le trou à rat ♆ Ça fait maintenant un peu plus de quatre ans. Quatre ans coincé ici, quatre ans à tenter de se convaincre qu'il lui reste encore beaucoup à vivre, que ce n'est pas vraiment la fin de l'aventure. La nouvelle famille ♆ Salaud.


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Léo.   Pseudo pas beau ♆ Spf, pcq je change toujours de pseudo, même que léo c'est pas mon vrai prénom. Nombre d'hivers endurés ♆ 18 ans. Pierre précieuse préférée ♆ Le diamant (pcq c'est ma pierre de naissance et tout tu vois) ou encore l'alexandrite (pcq c'est beau).  Compagnie de voyage ♆ J'avais repéré la première version, mais je m'étais pas inscrite, par manque de temps. Puis j'ai vu sur bazzart que vous alliez réouvrir, et voilà. Mot doux ♆ C'est beau, tout simplement. Degré d'addiction ♆ Ça dépend de mes études. Je peux passer tous les jours pour sûr, mais je pourrais pas nécessairement poster. Sésame ouvres-toi ♆ Enfermons-nous mélancoliques. Tête de cochon ♆ Timur Simakov. TYPE DE PERSONNAGE ♆ inventé. Remerciements ♆ bannière: felibre; ava: self. Mot d'amour en plus ♆ J'aime pas donner l'impression que j'ai des émotions dsl.
J'aurais traversé pieds nus un champ de braises incandescentes, et j'aurais marché lentement, absorbant la chaleur et la douleur, réduisant en cendres la dualité de l'être humain. c'était le feu qui nous manquait. ici, il faisait froid et sombre, le soleil était trop loin. ▲ N. GROZNI
ivresse de vie
Avant, Yael c'était un rayon de soleil. Il marchait la tête bien haut, parce que sa maman lui a dit que c'était pas bien de marcher la tête baissée. Il regardait les étoiles en face, parce qu'il ne les craignait pas. Il les connaissait bien même, comme des amies, parce qu'il avait plein de livres sur elles dans leur petite maison. Yael, il voyait le bien partout, Yael, il croyait pas vraiment à la méchanceté. On lui disait bien qu'il était naïf. Mais ça, il ne s'en rend compte que maintenant. Maintenant, Yael, il est froid et il est amer. Il a peur de regarder au loin, parce qu'il ne veut pas savoir ce que l'avenir lui réserve. Mais pourtant, il tente désespérément de retrouver l'ancien lui, il prie chaque soir, espérant qu'il n'ait pas oublié l'ancien Yael en République Tchèque, après avoir fait son sac trop hâtivement. Yael, il voudrait se noyer dans un lac de miel, juste pour enlever le goût amer qu'il a sur la langue en permanence. Yael, il essaye tout le temps d'être fort, même si ça fait mal, même si c'est difficile des fois de juste se réveiller. Des fois, c'est difficile de retenir toutes les remarques acerbes qui lui démangent les cordes vocales, des fois il voudrait juste gueuler, tout déverser dans l'air plein de gaz. Mais il peut pas, parce qu'il a fait trop d'efforts, trop d'efforts pour redevenir lui, qu'il voudrait pas les gâcher. Il veut redevenir bon et fiable, parce qu'il en a assez d'être toujours maussade, de s'énerver pour un rien. Yael, il voudrait toucher le soleil et absorber sa chaleur, juste pour redevenir le gosse qu'il était, avec ses rêves et son sourire plus grands que la galaxie.


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(#) Lun 28 Sep 2015 - 0:23
les comptines des libellules

l'étrange
La température de son organisme chute brutalement, comme un corps en hypothermie. Sa peau est glacée au toucher, c'est à peine si on sent son faible souffle glacé qui s'échappe de ses narines. Il ne s'en est pas rendu compte, les premières fois. Pas avant qu'il ne soit réveillé par des cris, pas avant qu'une silhouette penchée au-dessus de lui sursaute lorsque Yael a ouvert les yeux. Sa peau était tellement froide qu'on le croyait mort. Quand ça arrive, Yael ne sent rien. Vraiment rien, que ce soit le froid ou la chaleur. Il pourrait se mettre dix couvertures sur les épaules ou passer ses doigts au-dessus d'une flamme sans rien sentir, mais les brûlures elles, seront présentes et il aura mal une fois la température de son corps remontée. Il avait du mal à comprendre ce qui délenchait son pouvoir, parce que s'il savait une chose, c'est que ce n'était pas volontaire. Si son corps devient aussi froid, c'est un genre de moquerie. Parce qu'avant, Yael, c'était quelqu'un de tellement rêveur et joyeux, et quand sa mère est morte, il a changé. Il est devenu froid. Et depuis qu'il est à São Poeira, lorsqu'il se retrouve en situation inconfortable il devient littéralement glacial, l'empêchant de poursuivre sa quête, de retrouver Yael le soleil.
(c) MORIARTY


São Poeira
Tout a commencé il y a quatre ans. À ce moment-là, Yael était à peine un adulte légal. Mais la vie, ou plutôt la mort, elle s'en fout de l'âge. La mort, elle a emporté sa mère. Et alors, il a emballé quelques affaires rapidement dans un sac à dos, et il est parti. Loin, il n'en pouvait plus de voir les rues de Prague, les rues de New York, les rues où il avait l'habitude de marcher quand elle était encore là. Yael, il est parti. Et une fois là-bas, il a changé de nom. Pas officiellement ou rien. Si on regardait son passeport, c'est le nom de sa mère qui y figure. Yael, il pouvait même plus supporter ça. Il a changé, il était pas capable d'affronter le malheur en pleine figure, parce qu'au fond, il est lâche. Alors il a décidé qu'il ferait le tour de l'Amérique. Mais son voyage fut coupé court lorsqu'il arriva à São Poeira, coincé là. Il aurait voulu repartir, ça c'est sûr. Maintenant, ses pensées l'ont rattrapé, et il n'a nulle part où s'enfuir d'elles. Il doit apprendre à leur faire face, à faire face à la perte, et il n'est pas prêt. São Poeira, c'est l'enfer, mais c'est peut-être le village qui saura panser ses plaies.
(c) MORIARTY

Ah, mais il était magnifique, ce mensonge, il était exquis et surnaturel, il expliquait tout; c'était la pédale forte prolongeant un moment de plus l'accord majestueux de l'existence. ▲ N. GROZNI
les fleurs qu'on a volées
Yael le soleil. Yael qui s'émerveille devant des bicyclettes rouillées, parce qu'elles ont leur charme, mal attachées à un arbre avec une chaîne cassée et leur cadre rongé par l'oxygène. Yael qui trouvait ça tellement joli la peinture qui s'écaille des maisons qui tombent en ruine. Yael qui croyait que la rue était bien plus belle que n'importe quel musée du monde. Yael le soleil, j'en parle à la troisième personne parce que c'est plus moi. Et tous les soirs je prie, je ferme les yeux jusqu'à ce que des taches de couleurs s'impriment à l'intérieur de mes paupières, ma bouche faiblement et j'espère tellement, tellement fort. Des fois je me mors les lèvres et le sang se met à couler sur mon menton et des larmes d'espoir dilué glissent le long de mes joues et moi je continue à prier, parce que c'est tout ce qu'il me reste.

Les ciseaux tranchants qui coupent ma carte d'assurance sociale, deux, trois, quatre morceaux de plastique pitoyables qui s'échouent au sol. Clic clac plus de carte banquaire. Clic clac plus de Novak. J'ai décidé que mon nom de famille maintenant serait Marsen. Novak, c'est trop lourd, c'est trop difficile à regarder, à entendre. Maman, on l'appellait toujours madame Novak. Madame Novak, comme s'il y a avait un monsieur Novak. Mais y'en a pas, c'était mademoiselle Novak et monsieur Personne. Monsieur Nébuleuse. Moi j'ai jamais voulu le croire, que j'avais un père. C'est sûr, c'est ce que la science dit, la génétique et tout ça, mais ça m'a jamais convaincu. Et lorsque maman est partie (elle est morte, mais ça fait trop mal de dire les choses comme ça), il ne me restait plus rien. Un nom de famille qui se raccroche à des souvenirs trop difficiles. Alors moi, Yael, c'est maintenant Yael Marsen, soumis à aucune loi sauf celle de la gravité.

À dix-huit ans j'ai tout lâché. À ce moment-là, j'étais déjà à New York, j'avais reçu une bourse pour étudier dans une université du coin. Toutes les heures que j'avais passé dans la boue et à me faire des ampoules à faire de swing ma batte de baseball avaient finalement abouti. J'aurais pu accomplir mon rêve de gosse (l'un de mes nombreux rêves, que j'ai tous dû abandonner. J'aurais voulu être cosmonaute mais les maths et moi on s'entend pas, et puis ça me ferait trop peur d'être enfermé dans une capsule. J'aurais voulu être président ou athlète olympique. Tous des rêves de gosses clichés, comme pour compenser mon enfance tordue). J'aurais pu devenir joueur de baseball pro, j'y croyais. J'y croyais, mais ça s'est effondré, comme tout le reste. Je pouvais pas continuer à jouer comme si de rien n'était, alors que je n'avais plus personne à qui raconter mes matches dans les moindres détails (maman, de l'autre côté de l'océan, à l'autre bout du fil, qui restait debout à des heures pas possible juste pour revivre ces moments avec moi). C'était une chance, cette bourse. Moi, je me destinais à devenir mécanicien. Je les connais bien les voitures, elles n'ont aucun secret pour moi. Je les fréquente depuis que je suis petit, à la ferraille, au cimetière des voitures pour leur rendre visite. Parce qu'il n'y a jamais personne qui vient déposer des fleurs sur leur carcasse brûlante au zénith. Ma clé à molette, je ne m'en suis jamais séparé, c'est un peu un porte-bonheur.

J'ai rendu mon jersey, j'ai fait honte à l'université et je suis parti, un paquet de clopes dans la poche et un sac de randonnée usagé sur le dos, le même dans lequel j'ai ramené mes choses de République Tchèque. J'ai mis le strict nécessaire dedans et je suis parti, en espérant ne plus revenir. J'aurais pas cru à ce moment-là que les lumières de New York me manqueraient autant que maintenant. J'ai fait du stop, j'ai marché le long des routes américaines désertiques, j'ai franchi la frontière avec mon passeport, avec ce nom de famille qui me serre le ventre, tellement fort.

J'ai vu la beauté brésilienne, mais aussi sa laideur. Ça m'a rendu tellement triste, de voir tant de pauvreté dans un paysage aussi riche. Riche de soleil, riche d'odeurs et d'oiseaux, qui s'emparent de nos soucis pour les emmener haut dans le ciel avec eux. Ça m'a rendu triste et content à la fois.


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(#) Lun 28 Sep 2015 - 0:30
(j'ai suivi tous tes changement d'avatar, excellent choix, timur reste mon préféré d'ailleurs perv )
j'ai hâte de pouvoir entendre yael a la radio, puis d'en savoir un peu plus sur son histoire aussi. bienvenue par ici, tu l'auras compris, je vais surveiller ta fiche pedo
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 0:42
Hello Cunnilingus Cunnilingus
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 1:22
cosme, (omg et dire que j'espérais que personne remarque, c'est raté INTEMPORELLES INTEMPÉRIES 3811824728 bon en même temps j'étais 0 subtile, mais contente que timur te plaise INTEMPORELLES INTEMPÉRIES 207091314 )
merci beaucoup, tu vas voir yael il a des choses à dire perv en tout cas, j'espère que ce que tu vas lire te plairas Hope

blue, bonjour toi robert robert (ce choix d'avatar pedo )
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 1:54

il est beau, lui. perv
tu veux bien devenir mon petit joujou préféré ? pedo tu vas voir, tes hormones avec moi, elles vont se réveiller ouais ouais. INTEMPORELLES INTEMPÉRIES 3403293697

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(#) Lun 28 Sep 2015 - 2:13
n'est-ce pas qu'il est beau perv
rien ne t'empêche d'essayer mais je suis pas responsable des conséquences :pff: (yael il est pas gentil tout le temps niark )
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 2:25
copain de prénom en y robert
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 2:27
t'as vu ça, 3 lettres en commun sur 4 dans nos prénoms, ça peut pas être une coïncidence perv perv
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 2:37
moi j'dis qu'on devra en parler sérieusement autour d'une tasse de thé et de cigarettes perv perv
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 2:46
j'dis que je suis d'accord, même que je peux fournir les clopes fume
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 3:10
bon je vais pas encore te dire que t'es beau, on sait jamais que tu prennes la grosse tête.
mais j'attends sagement dans mon coin d'en lire plus sur parce que je suis attirée par ce que j'ai lu et que j'en ai besoin de plus. tu me donnes la main et je demande le bras, moi, je suis comme ça.
bienvenue dans notre enfer psychédélique niark
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 3:35
la grosse tête? :pff: pff c'trop pas mon genre perv
en tout cas je suis vraiment, vraiment contente que ça te plaise, et j'espère que la suite va te plaire tout autant Hope merci beaucoup, moi je l'aime bien votre enfer psychédélique (en plus je rédige ma fiche en ce moment dehors, sur le balcon en regardant l'éclipse de lune. niark glauque à souhait)
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 4:28
super alors, en plus avec l'éclipse de lune, ça fera de l'ambiance super romantique.
(il fait trop froid chez moi pour la regarder, et en plus elle est cachée derrière des conifères trop hauts, mais j'regarde x-files à la place, donc ça me console un petit peu...) (je raconte ma vie, i'm out)
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(#) Lun 28 Sep 2015 - 4:38
j'm bien raconter ma vie aussi et puis au point où j'en suis j'ai déjà explosé la limite de flood acceptable sur une fiche, autant y aller à fond perv c'est dommage par contre, de mon côté avec un manteau j'étais juste bien (je dis ça mais j'ai fini par rentrer quand même... Arrow ) et on voyait plutôt pas mal (l'avantage d'habiter au deuxième étage j'imagine. x-files though!! faut vrm que je m'y mette, i want to believe).
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