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I am basically a sad and horny piece of trash

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(#) Mer 2 Sep 2015 - 22:56
ritchie bulger

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ A Sao on ne connaît pas les noms de famille. On n'en a plus rien à faire, les papiers d'identité n'existent plus depuis trop longtemps. Pourtant, il subsiste encore parfois un Bulger égaré entre deux mots. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Ritchie, tout le monde connaît ce prénom mais personne n'ose en parler à voix haute. C'était mieux avant ♆ trente-sept qu'il partage sa vie à l'Autre, son frère, son pilier, son pire poison et sa plus belle addiction. Première Bouffée d'air ♆ l'ancienne vie n'existe plus, elle est trop lointaine, si éphémère, sans importance. Ritchie n'y pense plus, n'y accorde plus la moindre attention. Papa et Maman ♆ Quelques traces de russie, beaucoup d'amérique et un peu d'Espagne à ce qu'il paraît. Cocktail explosif d'origines foireuses, l'arbre a perdu ses feuilles. Il ne reste plus qu'un tronc poisseux, bouffé jusqu'à la moelle. Dans mon lit ♆ trop brusque pour les femmes, on ne le voit plus qu'aux bras des hommes. Ritchie ne s'en cache même plus à embrasser Bélial comme on se serre la main, à brûler les étapes pour plus vite le déshabiller. Sans oublier son reflet qu'il n'a cesse de bouffer du regard.  Degré de solitude ♆ la bête s'est laissée embarquer dans un trio foireux au côté du diable. La solitude, ce tendre poison, il ne la connaît plus, la déteste, serait capable de tout pour la tuer. On pourrait aisément les comparer au Cerbère, tous les trois, trop collés, trop serrés, trop pervertis. Bouffés par leurs démons. Tromper l'ennui ♆ Bras droit de Bélial, envoûté par les messes noires et les sacrifices, dépendants des orgies et de son corps transpirant. C'est ça, la triste vie de Ritchie, son passe-temps favoris.  Tombé dans le trou à rat ♆ dix ans qu'on a vu apparaître les jumeaux comme par l'opération du saint esprit. Idolâtrie ♆ tout ce qui sent le soufre. La nouvelle famille ♆ crapule.


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Amandine   Pseudo pas beau ♆ CARCOSA Nombre d'hivers endurés ♆ 20. Pierre précieuse préférée ♆ ta mère.  Compagnie de voyage ♆ l'autre vioc. Mot doux ♆ je m'aime bien. Degré d'addiction ♆ de temps en temps Sésame ouvres-toi ♆ lol. Tête de cochon ♆ Tom Hardy. TYPE DE PERSONNAGE ♆ ma tête. Remerciements ♆ BABINE Mot d'amour en plus ♆ salut.
Jouir. Encore et encore. Faire l'amour ou violer, mais jouir. Toujours avec la même intensité.▲ CHATTAM
apnée noire
Heureusement qu'il était là, Bélial, pour ramasser un type comme Ritchie. C'est pire qu'aller à la SPA et adopter un chien, on saura jamais s'il pétera un câble un de ces jours, s'il bouffera pas notre gosse parce qu'il est de mauvais poils. Parce que Ritchie c'est ça : quatre vingt six kilos de violence imprévisible et de démences endormies. Y a des jours où tout se passe bien, où son cerveau est pas trop en état de fonctionner mais il y a aussi ces moments où des chaines suffiraient pas à l'arrêter. Un rien peut le mettre dans un état pas possible : le bruit du vent, la caresse du soleil, la voix d'une femme, le miaulement d'un chat, le grincement d'un lit. Tout le froisse, l'énerve, l'emmerde, le déséquilibre. On peut jamais vraiment déterminer les sentiments de Ritchie, ils changent avec les saisons ou une connerie du genre, seul lui le sait. Ce n'est pas parce qu'il te sourit qu'il ne finira pas par te sauter à la gorge. Ritchie, cet enragé, cette bombe humaine. Il ne peut même plus cacher son profond déséquilibre, c'est ancré sur les traits de son visage, qu'il est fou allié. Il n'a cesse de faire des tics dégueulasses avec sa gueule cassée.

On le connaît ce rire trop intense, celui qu'il utilise lorsqu'il a atteint le point de non-retour. Certains disent que Ritchie ne recommencera plus de telles conneries (comme celles de tuer, de violer, de défoncer, de dépasser toutes les limites) tant que Bélial sera vivant mais d'autres le redoutent et attendent seulement le moment où il craquera. Le jour où les limites posées se dissiperont et que l'ignoble mettra à nouveau un pied dans sa folie propre. A Sao, on n'attend que ça : une seule excuse pour l'abattre. Tout le monde le traque, à la recherche de la moindre erreur qui lui serait fatale.

Ritchie cette erreur de la nature, ce chromosome foireux, ce chien enragé, ce bâtard des rues, ce trou noir qui se délecte de la vie des autres.
Personne ne cherchera à comprendre la source de ses atrocités.
Personne ne sera là pour le sauver, lui, le cabot qui te bouffe le mollet sans raison. Tout le monde pense à l'euthanasie mais aucun ne parvient jamais à l'attraper. C'est qu'il a pas de collier, ce connard.
Et encore moins de muselière.

Mais Ritchie, c'est pas seulement une folie qui s'égare. La bête passe le plus clair de son temps aux bras de son reflet, Jax. Les corps s'enchaînent, se donnent des coups, s'aiment. Ils se détruisent à s'aimer avec une telle intensité. Ca les crève, à tous les deux, de partager les mêmes sentiments, les mêmes douleurs, les mêmes tristesses. Tout les relie. Jax et Ritchie ne sont pas simplement jumeaux, ce sont des siamois de l'âme. Leurs caresses n'existent pas pour provoquer la terre entière, non, ils aimeraient, parfois, pouvoir se séparer et s'oublier mais c'est impossible. Vivre loin de l'autre c'est devenir une coquille vide. Et Dieu sait que Ritchie peut devenir le plus redoutable des tarés lorsque son frère laisse trop de distance autour de lui. Il a déjà essayé de le tuer pour tenter de faire taire sa souffrance mentale mais c'était encore pire. Ritchie se souvient encore de la violence qu'engendrait la douleur. De la tristesse qui emprisonnait son coeur.

Alors, Ritchie, tu vas nous dire ce qu'on va bien pouvoir faire de toi ?


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(#) Mer 2 Sep 2015 - 22:56
asphyxie érotique

l'étrange
Il arrêtait pas de rejeter son pauvre frère à lui cracher à la gueule des 'tu peux pas comprendre', 'tu ressentiras jamais ce que je ressens'. Ritchie aurait pu tuer son frère pour ne pas être dans sa tête, ça le tuait, cette distance qui les séparait. Ce second corps qui faisait qu'ils n'étaient pas qu'un mais deux. Puis il y a eu Sao et ses cadeaux empoisonnés. Ca a commencé doucement, lorsque Ritchie s'énervait pour un rien contre le chien de la voisine. Jax s'est foutu à gueuler aussi. Au fur et à mesure les sentiments sont devenus de plus en plus flagrant et le souhait s'est réalisé. Ritchie et Jax ne sont pas seulement des jumeaux, ce sont aussi la même âme, la même souffrance, les mêmes colères, les mêmes fantasmes. Si l'un ressent de la haine, l'autre la ressentira aussi. Ils sont effroyablement reliés par une force que personne ne peut voir ou ressentir ; c'est à eux, leur monde, leur folie. Ça les rapproche tellement qu'ils ne peuvent plus s'empêcher de dépasser les limites. Ça se fout sur la gueule, ça se gueule dessus, ça baise pour doubler les orgasmes, ça s'aime et ça s'empoisonne. Le jour où l'un s'éteindra, l'autre aussi : c'est le prix à payer lorsqu'on fusionne.
(c) BABINE


São Poeira
C'est Jax qui les a ramenés ici. Il en avait entendu parler par le pote d'un pote d'une pote. Le genre d'histoire foireuse qui n'avait aucune garantie. Peut-être que Sao n'était qu'une illusion de drogués, il n'en savait rien. Une chose est sûre, lorsqu'ils ont foutu un pied sur ce sable dégueulasse, aucun des deux n'a tenté de fuir. C'était comme revivre, trouver une nouvelle oxygène où Ritchie pourrait vivre sans être enfermé à longueur de temps. Jax n'en pouvait plus des visites à répétition, des histoires sans fin, des dossiers médicaux qui s'entassent sur le bord de la table sans jamais rien n'y changer. Ils auraient fini par l'user jusqu'à la moelle. Tout le monde le voulait mort, même son propre psy, parce que trop dangereux et instable. Ici, ce n'est peut-être pas le paradis mais au moins Ritchie peut vivre sans avoir la bave au bord des lèvres. Shooté jusqu'à l'os.
(c) BABINE

La secte est un ventre. Elle est une mère. Le gourou est un père. Si un individu entre dans une secte, c’est qu’il a un problème soit avec l’un, soit avec l’autre. Soit avec les deux. La secte lui offre une famille de remplacement. ▲ LA NUIT DU VERSEAU
requiem à l'innocence massacrée

Elle était belle avec ses grands yeux verts toujours rivés vers le vide, comme si elle avait perdu quelque chose. Son père ou peut-être sa mère, ou alors les deux ? J'en sais rien. Elle s'appelait Rose et tout ce que nous trouvions à faire durant nos longues journées, c'était se tenir la main. Le vent effleurait ses longs cheveux bruns alors que je lui souriais. Parfois, il lui arrivait de me répondre mais ça sonnait toujours faux, comme si quelque chose s'était cassé en elle. J'avais l'impression qu'elle était la seule à pouvoir comprendre ce que je pouvais ressentir. Y avait pas de jugement, pas de haine, pas de violence. Je la regardais et elle jetait ses pupilles ailleurs. Je l'ai secoué quelques fois pour l'obliger à me répondre, à me donner une phrase qui en valait la peine, qui m'aurait prouvé qu'elle en avait quelque chose à faire de notre existence foireuse. Un jour je lui ai parlé de mon frère. De ce grand type qui me ressemble comme deux gouttes d'eau. J'ai eu l'impression qu'elle serrait ma main entre ses doigts mais c'était juste une illusion. Seulement mon coeur qui se serrait sous l'émotion.
Alors, je lui ai dit, comme ça, d'une voix détachée (elle était certainement avec lui, une connerie du genre que même Dieu expliquerait pas) :
- Tu sais, mon frère vient plus me voir. Je crois qu'il en a eu marre de moi. Je sais pas, on dit que ça se termine toujours comme ça avec les tarés, on finit toujours par s'en lasser. Tarés, ce sont les flics qui m'appellent comme ça. Toi aussi ils te donnent un adorable surnom ?
Rose ne disait rien. Pourtant, je pouvais sentir son âme devenir de plus en plus proche de la mienne. J'ai baissé mes mots, empêchant mes poumons de les hurler pour ne pas faire s'envoler les oiseaux au fond du jardin. Rose les aimait ces foutus oiseaux même si moi, je passais mon temps à vouloir les tuer au lance pierres.
- En sortant de là, je risque de le tuer. Certainement en l'étranglant de mes propres mains pour le sentir suffoquer. Tu vois ce que je veux dire, Rose ? T'as déjà du ressentir ça toi aussi. Tout le monde a envie de tuer quelqu'un au moins une fois dans sa vie.
Je lui en voulais tellement que ça me brûlait de l'intérieur, je pouvais sentir toute ma haine remonter le long de mon corps tel un serpent. C'était douloureux, pire que le venin d'un crapaud que j'avais voulu manger vivant lorsque j'étais gamin. J'ai cru que j'allais crever ce jour là mais c'était seulement parce que je ne connaissais pas la fureur de l'absence. La frustration que je pouvais accumuler alors que Jax vivait ailleurs, sans savoir s'il pensait ou non à moi. S'il lui arrivait de culpabiliser pour tout ce que notre père m'avait fait. S'il avait eu envie de me venger ou non. Si tout cela lui était égal, au final. S'il avait lâché prisé. S'il m'aimait encore.
Jax vivait pendant que j'étais enfermé comme un lion en cage dans ce jardin de repos foireux où des papillons en papier agonisait au sol, vestiges des activités du mercredi après-midi. Entre médocs et thérapies destinées à tous mes troubles j'avais presque oublié de penser à mon père. A sa barbe râpeuse contre ma peau, à la violence de ses doigts sur mon corps et au goût indescriptible de sa semence dans ma bouche. J'en avais parlé des centaines de fois pour mon processus de transformation. Tu sais, celui qui te pousse à redevenir quelqu'un de bien et équilibré et non pas un petit con qui casse des bagnoles pour le plaisir. J'étais un concentré de violence et ce qu'ils ne comprenaient pas, c'était tout. Absolument tout. Parler de mon père n'effacerait jamais les années de romance salasses qui nous unissaient. C'était trop tard. Je n'étais plus à sauver, plus à aimer. Même mon frère me l'avait prouvé en m'abandonnant au milieu de ces magiciens de la tête (ceux qui pensent mieux de te connaître que toi-même). Ils me bourraient de calmants, tentaient vainement de m'engrosser de normalité mais ne pourrait plus jamais m'arracher à mes ténèbres. Je m'y étais perdu.
Et ça, Rose le savait, c'est pour ça qu'elle ne parlait pas.

[...]

- Rose ? tu m'entends ? est-ce que m'aimes au moins ?
Je lui ai donné une claque pour l'obliger à me répondre mais ça n'a pas marché. Pourtant, je pouvais voir des larmes couler sur ses joues alors que je les buvais à même sa peau. Ma bouche se perdait contre elle, presque tendre tandis que mon corps l'écrasait brusquement. J'étais nu, entré par effraction dans sa chambre au milieu de la nuit. Elle gémissait, peut-être de plaisir, à sentir mon sexe s'enfoncer en elle, impétueux. Et pendant que je libérais ma semence en elle, je me suis demandé si elle avait la même sensation que moi lorsque mon père me faisait la même chose. Je me souviens de cette nuit où il m'avait demandé d'enfoncer mon poing en lui. J'avais la sensation que son corps tout entier aurait pu aspirer le mien, fragile et délicat.
- Dis-
Une main s'est brusquement accrochée à mon bras, puis une autre, jusqu'à m'arracher de mon unique amour. J'avais l'impression que mon âme était en train de se déchirer en deux. Après mon frère, c'était au tour de Rose de quitter ma vie. Ses pétales étaient encore collés à mes phalanges  crasseuses. Je leur ai supplié, à tous, alors qu'ils la recouvraient de sa couverture en coton. Je pouvais voir mon sperme couler majestueusement entre ses jambes, témoin de mon amour.
- Non, non, laissez-moi avec Rose. Laissez-nous merde-
C'était trop tard, une piqûre dans les veines, une énième. Ces foutues seringues qui me rendaient incapable de parler correctement au quotidien. Je m'exprimais comme un gamin, je ressentais comme un gamin, je voyais comme un gamin.
Cinq ans, c'est l'âge que toutes les merdes injectées me donnaient. Tout le monde s'en foutait, plus personne n'était là pour se soucier réellement de mon état. M'endormir, m'assommer, c'est tout ce qui comptait. La seule chose que j'ai pu entendre avant de sombrer dans mon sommeil post-orgasme, c'est la voix d'une infirmière, elle hurlait.
- Il a violé Rose ! Ce fils de putain s'est attaqué à Rose, il faut le foutre en taule.
Rose c'était le petit rayon de l'hôpital psychiatrique. Elle était atteinte du syndrome d'enfermement, j'ai jamais vraiment compris en quoi ça consistait mais les autres l'appelaient le légume. Elle pouvait pas bouger, pas parler, rien. Mais elle était consciente, à ce qu'il paraît.

Et moi, je l'avais violé. Par frustration et haine pour mon frère.

renaissance

Je l'ai regardé, comme si Dieu me l'avait envoyé. Il était là, lui, le frère indigne. Celui pour qui j'avais programmé la mort dans les moindres détails. Pourtant, une fois que son regard s'est lové au fond du mien, j'étais incapable de me défendre. Avant de me retrouver face à lui, je me disais que ce serait simple, de tout lui balancer à la gueule, mes mots et mes coups, que ça prendrait forcément forme à un moment ou un autre mais je m'étais trompé. J'avais l'impression d'être enfermé dans un bocal, incapable de sortir le moindre mot. Je manquais d'oxygène, je suffoquais à l'idée de le savoir si proche de moi. J'étais muet face à la colère qui me contaminait. J'aurais voulu me taire à tout jamais si nous n'étions pas tombés dans ce trou à rats.
Si nos âmes n'avaient pas fusionnées.
Si j'avais pu fuir.
Si j'avais pu le détester correctement.
Si.
Et puis je sais pas, est-ce qu'on peut en venir à détester son frère ? Je veux dire, passer au dessus des liens du sang et d'une force surnaturelle qui unie tous les frères et soeurs de la terre ? Je sais pas, les questions me brûlent les neurones mais personne n'en a la réponse.
Mais Jax, espèce de sale con, maintenant que tu es là, pense à ne plus repartir.


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Bélial Chateminoy
SATAN M'HABITE
Bélial Chateminoy
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 326
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : DIEU DEPP.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : LES ANNÉES S'AJOUTENT ET DISPARAISSENT. LE TEMPS NE FAIT PLUS EFFET SUR SES TRAITS. TANTÔT ENFANT AUX MAINS BALADEUSES, ADULTE AUX SOURIRES CRASSES ET VIEILLARD AUX MOTS AIGRIS.
♆ ÉGARÉ : DANS L'ANTRE DE SATAN.
♆ ENNUI TROMPÉ : GOUROU SATANISTE. CHIEUR, FARCEUR, EN MISSION POUR LUCIFER POUR FAIRE DE VOTRE VIE, UN ENFER.

(#) Mer 2 Sep 2015 - 23:07
tu serais si beau tout en blanc I am basically a sad and horny piece of trash 3921166857 j'ai plusieurs moyens pour y arriver I am basically a sad and horny piece of trash 3921166857
Bélial Chateminoy
https://foutue-vermine.forumactif.org/t686-belial-on-est-le-diable-on-ne-le-devient-point
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(#) Jeu 3 Sep 2015 - 20:54
laisse-moi un peu de couleurs quand même :pff:
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Invité
Anonymous
(#) Sam 26 Sep 2015 - 0:36


bienvenue à São Poeira
la vie est finie, mais tu survis.


mon frérot d'amour que j'aime à la folie. I am basically a sad and horny piece of trash 3444172994 bien sûr que non, je ne te laisserai pas. je ne t'abandonnerai pas. t'es mon bro quoi. entre nous c'est à la vie à la mort yeah. I am basically a sad and horny piece of trash 3875464531  I am basically a sad and horny piece of trash 3908371480 (même si tu penses que je t'aime pas, bah c'faux. t'es con de le penser. :pff:)

sinon, que dire de cette fiche ? bah j'ai joui. trois orgasmes ou peut-être quatre, je me souviens plus. mais j'ai joui. et c'était bon. niark  I am basically a sad and horny piece of trash 2308493427
allez maintenant que t'es validée, la gueuse, file poster ta fiche de liens, file poster notre premier rp que je te viole avec amour et passion.

je t'aime, à la folie à la déraison. see you in hell. oh wait, we're already there. I am basically a sad and horny piece of trash 3403293697


Il y a ce sourire, là, si grand, si laid, sur ses lèvres gercées par les morsures et le sang versé. Il t'observe, là, le torse ouvert, le cœur entre ses mains, maintenant. Plus rien ne t'appartient  ; tu es à lui tout entier, maintenant, qu'importe ce que tu choisis de faire. Ses ongles, si abîmés, s'enfoncent dans ton pauvre cœur et y glisse son venin. La malédiction est lancée ; te voilà captivé.

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