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les cœurs se meurent. les rires agonisent.

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(#) Mar 23 Sep 2014 - 22:40
sid demaur

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ demaur, sifflant dans l'air glacé tel un chant sinistre. demaur, des morts. patronymes aux appellations tragiques. comme les corps démantibulés, écorchés, recouvert de liquide humain aux couleurs de rouges somptueux. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ sid. trop doucereux pour ces envies de meurtres salissant, trop calme pour ces envies atomique aux dégâts multiples. sid, trois lettres chancelantes sans significations aucune. sid, dans un murmure de déphasé. C'était mieux avant ♆ vingt années oubliées, mises en pièces par les circonstances désastreuses qui construisent la vie écorchée que tu trimbale sur tes frêles épaules de garçon perdu. Première Bouffée d'air ♆ 24 octobre, suède. Papa et Maman ♆ suédois. Dans mon lit ♆ sur ton corps de poupée de porcelaine brisée, les mains égratignées des hommes, les mains doucereuses des femmes. ton lit défait n'attends qu'un nouveau corps, qu'un nouvel être à aimer l'instant d'une nuit, à détruire le jour d'après. Degré de solitude ♆ seul, inlassablement seul. aujourd'hui, hier, demain, toujours seul dans tes draps froissés, dans ta tête embrumée. seul, les bras troués. Tromper l'ennui ♆ fabriquant d'armes blanches. Tombé dans le trou à rat ♆ les nombres, les jours et les nuits défilent, s’amoncellent tel la poussière recouvrant le parquet tâché de sang. tu ne les comptent plus, mais cela doit bien faire cinq ans, cinq années perdues, déchirées, maudites.   La nouvelle famille ♆ parasite.

   

au-delà des dunes
Joli prénom ♆ nie   Pseudo pas beau ♆ .storyteller Nombre d'hivers endurés ♆ dix-neuf ans Pierre précieuse préférée ♆ rubis  Compagnie de voyage ♆ bazzart Mot doux ♆ c'est magique, ce concept original, sorti de nul part.  Degré d'addiction ♆ 4j/7 Sésame ouvres-toi ♆ OK PAR ABEL Tête de cochon ♆ jacob robert price Remerciements ♆ tumblr et .reed Mot d'amour en plus ♆ ce serais possible de réserver l'avatar s'il vous plait? Merci d'avance.
Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. ▲ BAUDELAIRE
lucid
Sid. Le garçon perdu à la tête embrumée, aux rêves lucides perdus dans le sombre étoilé d'une nuit craquelée. C'est une tige de nicotine pendant au bord des lèvres, noircissant de cette tortueuse teinte charbon les poumons autrefois colorés d'une jolie teinte couché de soleil, c'est les paupières clauses dans l'attente tortueuse d'un baisé volé. Sid. Comme le tic tac d'une horloge déréglée, comme le compte à rebours oppressant d'une bombe fixée sur le torse frêle et dénudé d'un garçon égaré, à bout de souffle, d'un garçon un peu comme lui, un peu effacé. Sid, un tout, un rien. Une âme écorchée vive, la lame qui s'enfonce dans la chair, le sang qui coule doucereusement, qui s'étend sur le carrelage jusqu'à former cet amas rouge et informe de liquide humain au goût métallique. Sid, une contradiction, l'insensé doucereux. Sid, c'est doux, c'est langoureux, c'est la caresse du vent sur la peau. Sid, c'est les ruines, c'est les épines qui s'agrippent à la rose, qui pique le doigt, qui fait perler le sang rougeoyant. Sid, si souvent entendu, si souvent répété qu'il n'en devient qu'un son, qu'une note dans une symphonie.

Le vent se déchaîne, avale ses cris tortueux dans la nuit. La silhouette perdue dans la tempête, les prunelles pendues, suspendue dans le vide, les genoux enfoncés dans la roche, en sang. Ses doigts osseux s'accrochent à la pierre à défaut de pouvoir s'accrocher à autre chose, au temps qui s'envole trop rapidement, aux vagues qui repoussent les corps sur la rive, au vent qui étourdi. Les fantômes du passé défilent, dansent dans le lointain, dans l'air tortueux, soufflant leur fourbes murmures au creux de son oreille glacée, au garçon à bout de souffle perdu dans le vent brumeux de la tempête. Une enfance perdue, le temps qui s'effrite lentement, qui s'envole dans le vent, dans les astres. Des rires d'enfants, l'innocence dans ces prunelles verdâtres. Les goûtes d'eau de ciel tombent, dégringolent sur le garçon écorché, échoué dans la tempête. Trempent son visage aux pâles couleur, engloutis son corps dans une étreinte glaciale. Le temps qui tombe, qui déchire l'âme en deux, en trois puis en quatre, le moment où tout chavire, où tout bascule. Ô douce enfance, évanouie dans les chants doucereux, tortueux des vagues qui enveloppent de leurs bras glacés les corps des naufragés.


   

   
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(#) Mar 23 Sep 2014 - 22:40
le murmure de ta vie

l'étrange
Le coeur. Cet organe si fort et pourtant si fragile à la fois, si doucereux et si tortueux à la fois. Le garçon au visage effacé n'a jamais compris comment le coeur pouvait battre normalement après avoir été écorché, brisé par l'être aimé. Douleurs silencieuses, sentiments étouffés. C'est sans doute au creux de ses bras caressants que tout à commencé, que la malédiction a pris forme. Il s'est joué de lui, de ses sentiments vacillants. Sid a pleuré. Sid a hurlé. Sid s'est enfuit avec les éclats de coeur brisé au creux de sa cage thoracique, les bras troués d'extase liquide. Sid il ne comprend toujours pas comment un coeur peut se recoller suite à tant de douleur, de souffrance informe. La première fois où il l'a ressentit, cette malédiction, ce pouvoir du diable, le garçon perdu est tombé, les mains sur le coeur. L'organe se craquelle, s'écroule lentement au gré de ces sentiments, sentiments qui se perdent, s'effacent lentement. Incapacité à ressentir.
(c) MORIARTY


São Poeira
Le blond meurtris s'est échappé, s'est enfuit les bras troués par ses aiguilles doucereuses qui font oubliée. Destination inconnue, n'importe où plutôt qu'ici, plutôt qu'avec l'être aimé, homme qui l'a trahis, brisé, écorché vif. Ses hurlement déchirant la nuit il est apparu dans cette ville désolée, maudite. Sans savoir qu'il mettait un pied dans la tombe. Cinq ans qu'il s'est enfermé dans sa prison infernale, cinq ans coincé avec l'être qui craquelle son coeur, crise cardiaque instantanée à la vue de ses deux prunelles trop claires, trop douces pour la douleur tortueuse infligée. Ô pauvre blond torturé, tentatives de fuites désespérés, chacune plus douloureuses. Il n'aime pas cet endroit poussiéreux où la peur de l'inconnu fait rage, où la brume hante sa tête étourdie. Il ère parmi les maudits tel un damné, créant ses armes précieuse pour sa propre défense et celle des autres. Parfois, ont peut l'entendre hurler à la mort, à la lune, au ciel et au constellation sa peine renfermée, oubliée pour protéger son coeur fragilisé.
   
(c) MORIARTY

Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. ▲ BAUDELAIRE
remords posthume
Tu as déchiré la nuit, le ciel de tes cris, bafoué la Terre de ton âme trop sombre, ô enfant impur. De la mort tu es né, elle t'a marquée au fer, de son haleine putride. Ton paternel ne t'as jamais regardé, ne t'as jamais parlé, c'était trop dur, trop souffrant pour lui de te voir te tenir là où elle s'est tenue, avec ses yeux aux teintes de milles et une forêts. Il n'a jamais parlé d'elle, n'a jamais mentionné son prénom. Toi, tu restais là, l'âme en peine alors qu'il s’enfonçait dans la haine, dans la mort à son tour. Enfant meurtrier, un peu meurtris aussi, peut-être. Quand tu as atteint l'âge adulte, quand il n'en avait plus rien à faire de ta pauvre et pathétique personne, il s'en est allé, il est parti la rejoindre dans le céleste, la femme que tu as tuée, celle que tu aurais dû appeler maman, qui aurait dû te border chaque nuit après une histoire féerique. Peut-être que tu aurais été différent alors, peut-être aurais-tu eu une meilleur histoire, un peu plus jolie, poétique, un peu moins tragique, sanglante.

Des hématomes sur ton corps trop frêle, cachés, camouflés avec soin méticuleux. Des bleutés, des rougeoyants, des violacés et parfois même des verdâtres. Certains se couvrent de sang doucereux, ô douce et tortueuse libération de ta souffrance qui perle sur ta peau trop pâle à coup de scalpe, rappel douloureux de tout ce que tu as perdu. Un coup pour lui, un hématome en guise de souvenir de son parfum, de son regard trop bleu, trop céleste pour l'homme impur que tu es devenu. Une coupure pour toi, pour ce que tu es sans lui, pour ce que tu n'es pas sans ses bras autours de toi. Ô tourments incessants qui enveloppent l'être, l'âme, qui la déchire en deux. Elle t'étouffe, te brise, t'essouffle, la vie. Elle te court après, tu la fuis. Tu la repousse, parce que sans elle, sans la lucidité exécrable, tout n'est qu'illusion doucereuse, mensonges de ton être déphasé. Tu l'as vue une fois, la beauté, celle qui emplie l'estomac de papillons aussi doucereux que les nuages dansant dans le ciel bleuté. Tu l'as retrouvée au fond de ses prunelles, au fond de son cœur d'écailles.

Tu vacille entre illusions et lucidité, laissant le souffle de la mort s'infiltrer dans tes poumons aux sombres teintes alors que tu inspire la fumée de cette tige de cannabis constamment coincée entre tes lèvres rosées. Tu la sens brûler ta gorge nouée, brûler tes poumons embrumés par la fumée de nicotine mêlée à celle du poison volatile. Tu t'accroche à tes aiguilles tortueuses aux mensonges contradictoires à défaut de pouvoir t'accrocher à ses doigts, aux vagues qui s'échouent contre la rive, qui se brise avec nos sentiments, avec l'amour, qui ne dure jamais assez longtemps.

Tu ne sais pas ce que tu fais la plus part du temps, Sid. Tu ère ici et là-bas comme un mort, comme un sans âme, un fantôme à la recherche d'une étincelle de vie refusée à ton être maudit. Tu ne comprends toujours pas pourquoi tu la recherche, cette étincelle doucereuse, tu sais qu'elle t'a quittée, ton étoile. Elle a filée dans le firmament pour rejoindre les astres dansantes. Regarde-toi, Sid. Regarde ton corps un peu, abîmé, toujours un peu plus chaque jours. Par là les hématomes, ici, les coupures. Tu continue de donner les coups fatals, mais il ne reviendra pas, ton prince ténébreux, il s'est envolé depuis un moment maintenant, depuis que tu as trébuché dans les enfers. Ô sombre destinée que de toujours se torturer l'âme. Autrefois, tu rêvais aux saisons mélangées, à la pureté doucereuse, à tout ce qui est beau en ce monde de déphasé. Mais tu as tout brûlé, tout détruit à coups sanglants de scalpel, avec tes poings sur ton propre corps, avec tes cris, ô hurlement tortueux déchirant la nuit, qui fend la lune en deux.
   

   
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(#) Mer 24 Sep 2014 - 3:19
bienvenue par ici mon chat Hope déjà j'adore le prénom, sid c'est l'un de mes prénoms favoris les cœurs se meurent. les rires agonisent. 207091314 j'ai hâte de voir ce que tu comptes faire avec ce petit dans tous les cas, l'emploi est fabuleux perv et puis, le code est bon les cœurs se meurent. les rires agonisent. 2308493427
bon courage pour la suite, j'attends de lire ça les cœurs se meurent. les rires agonisent. 1844646662
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(#) Mer 24 Sep 2014 - 11:31
bienvenue à toi ! bonne chance pour ta fiche :)
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(#) Mer 24 Sep 2014 - 16:49
Bienvenue parmi nous jeune homme les cœurs se meurent. les rires agonisent. 3901476981 , puisse les dieux être suffisamment clément pour t'inspirer une jolie histoire (tordue et tout hein :huhu: )
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(#) Jeu 25 Sep 2014 - 0:09
Bienvenue et bon courage pour ta fiche les cœurs se meurent. les rires agonisent. 3932567137
Je ne connaissais pas jacob robert price, je l'ai googlé et il me fait penser un peu à luke newberry. En plus je vois que ton perso fabrique des armes blanches, le mien est tueur à gages alors je dis qu'entre blonds aux visages de bébés qui ont un boulot à contre emploi avec leurs tronches il nous faudra un lien What a Face je parle trop désolée les cœurs se meurent. les rires agonisent. 1578669634
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(#) Jeu 25 Sep 2014 - 0:14
Tout d'abord, merci pour l'accueil trop adorable. les cœurs se meurent. les rires agonisent. 207091314
Marbàn, toi, je t'aime. En plus d'être un de mes personnages préféré de ITF, je vais être heureuse d'avoir un lien avec ton fabuleux personnage ! les cœurs se meurent. les rires agonisent. 1578669634
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(#) Sam 4 Oct 2014 - 16:20
temps écoulé

le sang a giclé
Larmes de sang, là, qui dégoulinent le long de ses traits. N'entends-tu pas ses cris d'agonie, les âmes qui se voient alors meurtris ? Il fait l'enfant, le pauvre Satan, de ne pas toucher ton âme, de ne pas s'amuser avec toi. Il te voit, là, au travers de la foule, t'éloignant doucement, t'effaçant presque tendrement, et il ne l'accepte pas. Connais-tu seulement la sentence, pour rendre le démon aussi triste, aussi humain ? Dix larmes de sang ont déjà été versés, si tu n'es pas là d'ici quatre nouvelles larmes, il sortira les crocs, il sortira le fouet, et ton âme, brusquement, sera détruite à néant. Ce que Satan n'a pas, n'existe pas.


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(#) Sam 4 Oct 2014 - 16:57
Pardon, j'ai été absente quelque temps suite à une blessure à la cheville, j'aimerais donc savoir s'il serait possible d'avoir un délai? Hope
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(#) Sam 4 Oct 2014 - 17:13
Oui bien évidemment. Jusqu'au 11 ça te semble bien ? Hope
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(#) Sam 4 Oct 2014 - 17:22
C'est parfait, merci Hope
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O Diabo
O Diabo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 281
♆ PSEUDO : SATAN
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : OMNISCIENCE
♆ ÉGARÉ : DANS TES CAUCHEMARS
♆ ENNUI TROMPÉ : DÉGUSTATION DES ÂMES

(#) Lun 6 Oct 2014 - 1:53
parfait alors les cœurs se meurent. les rires agonisent. 207091314 n'hésites surtout pas en cas de questions ou quoique ce soit !
O Diabo
https://foutue-vermine.forumactif.org
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(#) Mer 15 Oct 2014 - 19:23
des nouvelles ? je supprime tout demain, sinon Hope
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(#) Mer 15 Oct 2014 - 22:41
J'ai bientôt terminé Hope
J'essaie de tout compléter d'ici demain soir. Pardon pour l'attente. les cœurs se meurent. les rires agonisent. 4108949622
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(#) Mer 15 Oct 2014 - 23:56
d'accord ö courage pour le reste les cœurs se meurent. les rires agonisent. 207091314
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