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OBSESSION MORBIDE

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Anonymous
(#) Jeu 24 Juil 2014 - 0:45
Luther Crane

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ Crane, le nom de mon paternel, assez répandu de là d'où je viens Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Luther, merci à maman d'avoir été une protestante dévouée C'était mieux avant ♆ 38ans et presque toutes mes dents Première Bouffée d'air ♆ naissance au domicile des Crane, un 24 juillet au fin fond du Texas Papa et Maman ♆ étaient de fiers américains comme le veut la tradition texane d'ailleurs, ayant oublié tous deux que leur ancêtres venaient d'ici, des tribus assimilés et d'ailleurs, de ces colons et émigrés Dans mon lit ♆ il y a de tout, et surtout des femmes, jamais je n'ai conçu l'idée obscur de me faire des garçons, faut dire que vu mon éducation cette option est tout simplement impossible. Degré de solitude ♆ enfant de salaud, je me complet dans la solitude réprouvant les liens sacrés, ne cherchant nullement à fonder quoi que ce soit Tromper l'ennui ♆ shérif auto-proclamé de la cité maudite, il a repris ses anciennes habitudes, véritable justicier sans foi ni loi qui applique sa propre vision de la justice, persuadé qu'ici ce sont les limbes, il n'hésite pas à condamner à mort d'une balle entre les deux yeux tous les nuisibles ne recevant pas grâce à ses yeux ♆ une éternité ou presque, ça fait quelques années déjà que traîne mes guêtres ici La nouvelle famille ♆ salaud


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Mystérion!   Pseudo pas beau ♆ Eden Memories Nombre d'hivers endurés ♆ on ne demande pas ce genre de choses à une dame voyons! (autre façon de dire que je suis une vioc) Pierre précieuse préférée ♆ Je t'en pose des questions!  Compagnie de voyage ♆ par une proposition totalement indécente que j'ai acceptée. Mot doux ♆ que je vous aime déjà, petits monstres, et que votre enfer m'a l'air bien charmant Degré d'addiction ♆ question épineuse, j'ai une vie bien occupée mais je passe un minimum de 5 fois par semaine (sauf si je suis enlevée par les extraterrestre mais dans ce cas là…) Sésame ouvres-toi ♆ Enfermons-nous mélancoliques LC. Tête de cochon ♆ c'est toi le cochon, comment tu parle de Clint, j'vais le dire à Sergio, tu vas voir ce que tu vas prendre! Naméo. Et c'est Eastwood, Clint Eastwood, déjà. Remerciements ♆ bannière de ??? sur tumblr, avatars de bibi Mot d'amour en plus ♆ j'vous aime putain!
Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir.▲ BAUDELAIRE
Mortel ennui
Gros dur, crapule aux airs de prince charmant, le ricain dans sa grande splendeur, l'immortelle image à jamais figée, monstre de patriotisme érigé en une statue à son nom, grandeur et décadence en un seul et bref instant, immuable tragédie de l'être trop parfait pour ne pas chuter, bel ange au coeur rempli de ténèbres incandescentes. Il vous fixe de son oeil dur, il vous sculpte de ses mains rugueuse, il vous flagelle de son silence. Etre muet, arraché à un monde visqueux et battant, être amoral, ne comprenant guère sa place alors la votre? Il observe. Il cherche. Au crépuscule on hurlait son nom et il y avait de la joie dans l'air, mais au soir, c'est l'apocalypse, et les ténèbres se répandent. Vas-t'en. On le lui a trop souvent dit et répété. Dans ses veines coule ce poison. Il aura raison de son être décharné à un moment, mais cet instant là n'est pas encore arrivé. Parfois il a l'air d'avoir vécu trop vieux, trop longtemps. Ayant bu la coupe pleine à de trop nombreuses reprises il en a vomis tripes et boyaux, chialer toute la nuit, et maudis ses ancêtres. Pour autant, de trace du trame, il n'y en a nulle trace. Tout ce qui se dévoile à votre vue c'est un type plein d'audace, une crapule infernale dotée d'un charisme à en faire rager les hirondelles, un de cas bâtards qui a su prendre chaque claque dans la gueule pour une expérience, et surtout, vous sentez que ce type là pue les emmerdes à des kilomètres à la ronde. Il manie trop bien les armes à feu, qu'il possède d'ailleurs en grand nombre, il mâche son tabac comme un vieux de la vieille, et surtout il inspire la peur, comme s'il avait déjà été en enfer et qu'il en était revenu.


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Anonymous
(#) Jeu 24 Juil 2014 - 0:49
il était une fois dans l'sud

l'étrange
Va savoir comment, sans doute à cause de cette fichue mine, mais depuis qu'il traine ses guêtres par ici, le blondinet a développé comme une espèce de maladie vénéneuse, un truc pas cool, bien que ça a l'air moins vicieux qu'une bonne vieille syphilis mais allez savoir qu'est-ce que ça donnera dans une dizaine d'année, hein? J'vous l'demande! Ce qui lui arrive au blondin c'est que il crève, souvent, de manière très grotesque la plupart du temps, du style je viens de maîtriser un gros lourdeau qui tentait de détrousser une vieille (pas charmante la vieille, plutôt dégueulasse mais c'est pas une raison) et hop, je me retrouve face à face avec un crotal qui bien entendu me becte comme si j'étais une tartine pleine de confiture sous un nid de guêpe. Vous voyez le topo? Il crève donc, d'une manière stupide et inattendue, et se réveille gentiment le lendemain dans son lit. Enfin gentiment, ça reste à voir, puisqu'il se souvient de la douleur, de la stupidité de son décès, mais que personne d'autre n'en a le souvenir. Eh ouais ma gueule, il meurt à répétition et personne ne se souvient jamais de rien. Inutile de dire qu'il est passé au début par des phases ridicules à observer chaque tombe dans le cimetière local s'imaginant être un fantôme, avant de comprendre les ressort de cette fameuse capacité pas franchement folichonne folichonne. Bien sûr, il l'ignore, mais il existerait un moyen de mettre fin à cette malédiction qui l'use prématurément, mais cela voudrait dire par une mort définitive, octroyée par de l'or provenant de la mine, fondu en une balle qu'on lui enverrait dans le coeur, et pas ailleurs sinon ça fera juste un mal de chien. Ce qui serait pas très très gentil.
(c) EDEN MEMORIES


São Poeira
Abandonné dans le désert, laissé pour mort, le corps bourré de stupéfiants en tout genre, desséché et amaigri, l'ange de la mort l'a enveloppé, avalé puis vomis sur les terres maudites de São Poeira. Ses excès passé ont passablement rongé son corps, s'il n'en a plus trop l'air, ce type là ressemblait à un cadavre ambulant quand on l'a débarqué ici, la peau sur les os, le visage creusé, la peau grise, l'air malade, vomissant tripes et boyaux à chaque fois qu'il avalait un truc un peu trop gros pour son maigre estomac. Après sa première résurection, il a rampé jusqu'à cette vieille ferme à la lisière du village, et comptait y crever à petit feu. Il lui aura fallu un bon nombre de suicide raté pour comprendre. Même quand il a essayé de fiche le camp d'ici, de se barrer de ce trou perdu, la mort est venue le prendre et l'a recraché, dans son lit, comme si de rien n'était. Cette fois là, il a cru entendre le diable rire au creux de ses oreilles. D'ailleurs a bien y regarder, personne ne fout le camp. Pourtant il y avait toutes les raisons de vouloir décamper d'ici. Pourquoi rester dans ce trou à rat où rien d'autre qu'une mort lente ne vous attend? Pourtant les gens restent, et finissent par crevé. P'être bin qu'il y a vraiment une malédiction. Crane a finit par y croire. Le diable habite vraiment les lieux. Et si vous avez le malheur d'y atterrir c'est sans doute parce que le diable à ses raisons.
(c) EDEN MEMORIES

Le genre humain ? Une vaste association de canailles ... J'aime à voir l'humanité et tout ce qu'elle respecte ravalé, bafoué, honni, sifflé. ▲ FLAUBERT
déjection putride
Crane est de ces mauvaises plantes qui résistent à tout et qui reviennent encore et encore bien qu'on ai maintes fois arracher leur racine du sol. Il a la peau dure, forgée par la violence d'un père alcoolique, militaire passant son temps à radoter après que sa cervelle ai prit un sérieux coup dans l'aile suite à un gazage intempestif en zone de guerre au moyen orient. Laconique et silencieux il a adopté la même posture indolente que sa mère, femme au foyer qui avait apprit au fil du temps à esquiver les coups, et parfois même à les rendre. Maman Crane était une vieille peau, pas une jolie fille naïve et innocente, plutôt une fille du fin fond du Texas élevée à la dure. Elle transmit tout cela à son fiston. Le seul et l'unique qui ai survécu. L'autre fils s'est payé un tas de dette ce qui a finit par le tuer. Les gens ne plaisantent jamais avec le pognon. Ca aussi Crane l'a apprit à la dure. Il a depuis prit l'habitude de vivre sans. L'argent ça vous pourris de l'intérieur, ça vous consume, ça vous détruit. Autant s'en passer. C'est une dépendance plus vicieuse que celle de la drogue. Ne désirant guère rester là pour reprendre la vieille ferme de l'oncle Charlie, ce qui était un avenir plutôt glorieux dans le trou terreux où il a grandit, il a suivit de peu la voie paternelle et s'est engagé dans la police. Comme tout bon cowboy, c'était le poste de mareshall qui l'intéressait, essentiellement du fait de la relative liberté qu'ils ont, indépendant de la police, cette espèce de grande famille véreuse à souhait. Son ambition était guidé par le désir de fuir le plus loin possible son paternel qui au mieux l'agaçait au pire lui donnait des envies de meurtres plutôt sadique. Si dans sa cambrousse il passait pour relativement normal, il en fut autrement ailleurs. On l'estima certes talentueux mais borderline, certes ambitieux mais dangereux, pas fichu de respecter le règlement à la lettre il manquait de foutre en l'air des enquêtes par ses méthodes peu orthodoxe, on l'appelait le justicier parce qu'il se comportait comme tel et non comme un flic. Et le fougueux jeune homme, avec les années, l'expérience, fût abîmé, usé, lui aussi, et finit par devenir comme pas mal de ses confrères, corrompu. C'était sa propre justice qu'il appliquait. Bien sûr il conservait un idéal, une certaine morale, ce qui le poussa à croire qu'il pouvait lutter contre les cartels implantés sur son territoire. Le combat fut rude. Peut-être qu'il n'était pas de taille, peut-être qu'il n'était pas assez bon, peut-être trop corrompu, sa hiérarchie l'abandonna. Kidnappé, torturé, séquestré, il fut drogué jusqu'à l'overdose ou presque, jusqu'à devenir un vrai déchet, puis abandonné. Ironiquement ce fut ici, en ces terres désolées et maudites qu'on le laissa pour mort. Desséché, rempli de drogue, il pensait mourir ici. Il n'en fut rien. Dieu lui avait réservé une dernière surprise, à moins que ça ne soit le diable. Au lieu de mourir, il revient à la vie, peut-être est-il mort en chemin, cela reste discutable, la première fois il cru en une hallucination. La seconde fois, il dû se convaincre qu'il y avait truanderie. Non seulement il était impossible de quitter l'endroit mais de mourir, une autre manière de partir au fond. Ce n'est qu'après avoir vu la ville sombrer aux mains des gangs, la justice délaissée, abandonnée et violée sur la place publique, qu'il décide de reprendre du service. Crane n'est sans doute pas le meilleur espoir que l'on puisse avoir mais pour un endroit comme celui, les gens s'en contentent. Mieux vaut un justicier que rien du tout. Il a accroché cette étoile à son veston et le voilà shérif. Autoproclamé et non élu, mais qu'importe, l'important est le flingue à sa ceinture, et cette étonnante manière de vaincre encore et toujours la mort. Bizarrement, personne ne s'en souvient jamais, quand il crève, cela lui aurait pourtant été utile... L'ange de la mort le recrache à chaque fois. Alors il s'occupe, lutte contre les gangs et les criminels de tout poil, tente de redonner un peu d'espoir aux faibles. Ses démons sont pourtant toujours tapis, même pas dans l'obscurité. La nuit, le jour, les données s'effacent, les hallucinations reprennent le dessus, paraît-il qu'on ne redescend jamais totalement d'un trip, et celui qu'il a vécu durant son enfermement dans les cartel a duré une éternité. Parfois des visions chassent la réalité, chevauchent son esprit, l'enfièvre, et puis disparaissent, comme si elles n'avaient jamais existé.


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