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Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen

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Allen Von Trier
Allen Von Trier
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 12
♆ PSEUDO : BlackMadness
♆ AVATAR : Evan Peters
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : Analgésie. Il respire l'élan vital de ses saignements tremblants sans sentir pour autant. Anesthésié, paralysé, immunisé à toute cette scarification, à cette douleur à la con.
♆ ÉGARÉ : Bouche de l'enfer. Bonheur précaire. Appartement de misère. Errance sur cette terre. Galère et calvaire.
♆ ENNUI TROMPÉ : Vendeur de bonheur. Il offre aux plus offrants un moyen de fuir cette vie martyr. Juste se libérer des banalités avec quelques cachets, quelques pilules pour se délivrer de cette morosité.

(#) Ven 3 Mar 2017 - 0:27
Allen Von Trier
Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance !
CHARLES BAUDELAIRE ▲
L'ÂME ÉGARÉE
Héritage Infortuné ♆ Von Trier. Nom danois en référence à cet homme bourgeois. Chien de l’enfer, mari de calvaire. Il tient cette identité de ce bâtard amoureux de volupté. De ce paternel envieux de cette drogue charnelle. Des défis de l’hardcore, de la collision des corps, de l’appel des torts. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Allen, l’enfant empli de haine, le gamin sans haleine. Merveille de pêchés, vice de l’humanité. Il a la gueule d’un ange et l’âme d’une pute. Allen, consonance à l’harmonie et pourtant un si joli mélange de mépris. C'était mieux avant ♆ Vingt huit années d’errance dans sa médisance. Vingt huit années d’ignorance face à sa propre intolérance. Vingt huit années de convalescence pour ne devenir qu’une démence. Première Bouffée d'air ♆ Un huit décembre dans la brise glaciale de New York. Papa et Maman ♆ Mélange de saveurs, origine de cet horreur. Son sang semble acidulé à cet enfoiré, condamnée à vivre avec ses deux nationalités opposées. Fruit d’un mariage défait entre un danois et une américaine, enfant non prémédité et pourtant désiré. Dans mon lit ♆ Que des insipides, que des succubes bancales aux bouches infernales. Que des fantasmes dérisoires, des coups d’un soir. Des poupées sur lesquelles graver des sourires ensanglantées.  Degré de solitude ♆ Orphelin vaurien. Gamin loin de ses repères lointains. Seul et paumé dans un enfer bien trop carnassier qui finira par le dévorer.  Tromper l'ennui ♆ Vendeur de bonheur. Il offre aux plus offrants un moyen de fuir cette vie martyr. Juste se libérer des banalités avec quelques cachets, quelques pilules pour se délivrer de cette morosité. Fanatisme déclaré ♆ Que croire dans ce monde dérisoire? Que choisir dans cette existence martyr? Supplier un Dieu pour effacer des pêchés bien ancrés? Se perdre dans les caresses d’allégresses des princesses qui suintent la détresse? Vivre en fantasmant d’une absolution, d’une libération? Le gamin il ne croit pas en cette facilité, en ces croyances bien trop aisées. Il est déjà condamné à perpétuité. la Vraie Famille ♆ Il n’y a rien sur lequel il peut reposer ses mains. Que cet abris malsain, vide de souvenirs sereins, de ce foyer délabré, que le silence et ses nuisances. Vaurien qui se maintient sur cet équilibre souverain, qui se renferme, qui se terre loin de la vérité et de ses préjugés. Il est barré, insuffisant, convalescent, béant. Attendant la sentence à sa folie, à son mépris, à son déni. Il veut voir le monde bruler avant de se consumer.Tombé dans le trou à rat ♆ Assez longtemps pour y appartenir vraiment. La nouvelle famille ♆ Les crapules, les assoiffés, les détraqués.
L'ANGE DÉCHU
ENFANT DE SATAN, ENFANT AUX REVES SANGLANTS. Yeux bouffis, rougis par les insomnies, les traits sont noircis, le sourire aiguisé sous les constellations idolâtrées. Rêveur aux effluves d’horreur, il se perd dans la splendeur des astres de candeur. L’esprit libre, le souffle livide, le coeur perfide… Il s’égare dans la pureté sauvage de cette nature sans luxure. Petite ordure construit à l’usure. Il a des airs de paradis sous cette gueule d’ange déchu, de pauvre mec perdu. Apparence trompeuse, vérité dangereuse. Il est moisi cette folie, consumé et consommé par des désirs vermeilles, merveilles désireuses de loger sur les bouches rebelles des sourires déments, béants. Pauvre insuffisant qui veut voir le monde autrement. Autrement que cet univers glaçant , d’une froideur emplie de laideur. Il veut se nourrir ce martyr. Se nourrir de l’ampleur des martyrs. Se nourrir des rires en délires. Intolérant qui veut simplement façonner la vie à son image, bancal, infernal, malade. Pourri, obscurci, démuni. Car ce petit il est enivré d’utopie, de rêves idylliques, de fantasmes sadiques. Taré aux échos ensanglantés, à la pathologie de timbré. Tout ce qu’il veut n’est qu’une condamnation à perpétuité, une personne sur laquelle il pourra se venger pour évacuer ce virus qui se répand dans son sang. Maladie mentale, trouble létale. Delirium qu’on l’appelle cette malédiction. Syndrome de confusion, syndrome de sa lamentation. Prouesse de sa détresse. Il est souffrant ce dérangeant, atteint jusqu’à la moelle d’une hérésie mortelle. Diagnostic? Insuffisant. Convalescent. Déviant. Il vit dans un monde parallèle, fait d’illusions aléatoires, de nuits sans espoir et de violence noire. Et il est coupable. Coupable de son hérésie, victime de ses envies. Il a tenté l’orphelin de trouver quelqu’un pour supporter le poids de cette folie. Mais il la détruit bien avant de pouvoir en profiter, bien avant de sentir son palpitant s’agripper de battements. Il n’est que néant, qu’un errant qui ne ressent pas vraiment de sentiment. Froid et glacial. Mort avant d’être vivant.
LE DÉMON EXPIÉ
RESSENTIR, DECOUVRIR LES ODES DE LA SOUFFRANCE ENCORE UNE FOIS, UNE DERNIERE FOIS AVANT LE TREPAS. Peau déchirée, chair lacérée. Il n’a rien ressenti la première fois lorsqu’un pauvre gars a tenté de lui offrir la joie du sang, l’effervescence de douleur jusqu’à la rancoeur. Il est resté à regarder son bras suintant de ce liquide précieux, comme un pauvre envieux. Le corps paralysé, l’esprit galvanisé par ce sentiment de quiétude, par cette sensation de lassitude. Il est resté éteint face à l’outrage vermeille de ce solennel. Juste absent, juste néant. Anesthésié par la beauté de la tache poisseuse, éveillé par l’enjeu de ce silence de déchirement, de cette famine dangereuse. Sentiment déviant de se sentir tout puissant pendant un instant. Drogue acidulée qui semblait bien trop sucrée sur son palais. Il a devié, il a vogué jusqu’à son antre délabrée pour se saigner, pour se découper avec une lenteur de vigueur, s’arrachant la chair pour une expérience précaire, pour ressentir l’hystérie de la souffrance démunie. Et il a recommencé encore et encore. Insatiable de toucher, affamé de giclée ensanglantée… Mais son corps est resté inerte sous les marques faites, sa carcasse n’étant que plus que l’épave de cette démence de violence. Qu’une fresque pillée par une destruction galvanisée, par la laideur de son atrocité. Pas un battement de palpitant, pas un gémissement, pas un hurlement, seul cette mélodie macabre, ce rire d’infâme. Requiem d’un fou loin d’être à bout.  
LES GRIFFES DU DIABLE
Trou à rat. Ville d’éclat. Il était destiné à se retrouver là ce pauvre fracas. Sale vermine qui rampe depuis sa naissance pour une sentence. Malsain aux désirs souverains. Cet enfer n’est pas son calvaire mais bien son repère. Un paradis violacé d’hématomes errants, de carcasses lapidées de sentiments. Lieu de vice, survie de supplice. Il est entouré le taré d’âmes à torturer, de misérables indésirables. La pourriture de ce monde, l’usure de cette société d’ordures. Les rejetés, les crevés, les bons à jeter. Tout cet amas de dégâts. Ici il peut se faire une place de roi, il peut sévir sans devenir martyr. Il peut conquérir, fleurir les esprits vagabonds pour mieux les détruire. Terrain de jeu aux divers enjeux. Echiquier géant de dérangeant. Il est dans son élément grâce à sa maman ce béant. Mère abusée par les torts d’un homme assoiffé de corps en désaccords. Elle a fuit les pêchés de ce mari démuni sous les silhouettes divines en pensant trouver une libération dans cet abandon. Mais le seul abandon a été celui de sa carcasse lasse sous les blessures tenaces de l’alcool agace.  
AU DELÀ DES DUNES
Joli prénom ♆ Fanny.   Pseudo pas beau ♆ Black Madness. Nombre d'hivers endurés ♆ 21 assez rudes. Pierre précieuse préférée ♆ Émeraude.  Compagnie de voyage ♆ Une certaine brune assez collante qui m'a eu à l'usure. Mot doux ♆ Beh franchement, il est juste orgasmique des feux d'artifices dans les yeux.  Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 3932567137 Degré d'addiction ♆ 5/7j. Tête de cochon ♆ Evan Piggy Peters. Remerciements ♆  tumblr, avatars de SCHYZOPHRENIC Mot d'amour en plus ♆ Vous aurez le droit de me fouetter pour ma connerie  russe .
Mes poings ne se serrent que pour serrer l'enfer

Requiem morbide, musique dissonante retenue entre les murs béants… La carcasse se prélasse, se délasse sous les notes d’audaces. Le visage éteint, les paupières fermées sous la mélodie foireuse, sous l’harmonie dangereuse. Le corps s’agite, le corps crépite d’une joie mélancolique. Bonheur éphémère dans cet instant de lucidité, de rationalité et pourtant les bras sont ensanglantées, crucifiées par les stigmates si sacrées. Ange du diable, orphelin de Satan, qui attend patiemment le dernier des jugements. Il danse sous les flots ardents de cette ritournelle de dentelle. Aspiré par l’intensité des notes délabrées, recouvert par les souvenirs de ses années… Temps d’antan, mémoires de convalescent. Histoire d’un enfant dérangeant, apogée de violence et de démence.



HEMATOME D'INNOCENCE

T’étais jeune gamin avec tes traits sereins, avec ton sourire en coin. T’étais ignorant, innocent, bienveillant, t’avais ce quelque chose d’attachant. Ce truc assez détonnant chez les enfants. Cette horreur de naïveté, cette laideur de lâcheté. Cette pensée épurée par la légèreté, par l’opportunité de te graver une vie dans ce monde insensé. T’étais mignon Allen mais qu’est ce que t’étais con. De croire en cet espoir dérisoire. Cet éclat noir qui t’approcherait juste trop près des déboires.

Allen, le miracle non désiré, l’enfant prématuré. Allen, le gamin qui était censé recoller les pots cassés de ces amants déchirés, de ce foyer délabré par les pêchés d’un père carnassier. Paternel insolent, arrogant qui préférait aux sourires aimants de sa femme, les courbes malléables des poupées de charmes, des putes et de leurs vacarmes. Il était innocent cet enfant, qu’un gamin ignorant de tous les retranchements de ce monde sanglant. Batard aux rêves crevards. Si jeune et si croyant. Si jeune et si blasant. Gosse empli d’espoir, il s’éleva dans le silence des secrets, dans les mensonges bien ficelés, protégé de l’obscurité par cette femme paumée. Mère qui était prête à tout sacrifier pour son enfant, mère qui passait son temps à l’occuper, mère qui refusait la vérité, mère qui buvait parfois pour oublier l’absence de ce mari idolâtré. Elle était dévouée, elle était passionnée, elle était un modèle si parfait sous les apparences faussées. Et Allen il l’aimait, il l’aimait au point de lui vendre un rêve émerveillé, il l’aimait au point de lui cacher la réalité. Enfant bien trop vite engrené dans cet enfer d’imperfections, de condamnation. Il fut le premier à découvrir la lâcheté de l’humain dans ces besoins malsains. Lorsqu’un soir noir, il se retrouva sous les yeux emplis de désir de cet homme, père martyr qui sous ses mouvements haletants, lâchait des gémissements ahurissants, pillant la chair de ses vas et viens d’enfer. Carcasses entrelacées, poupée dénudée, violence des corps sous la mélodie de l’hardcore. Il hurlait cet animal, se rassasiant de ce désir bestial, de se savoir si infernal, si désirable. Et la beauté elle s’étouffait sous les cris de cette folie. Subissant les coups de cet abruti qui se nourrissait de la facilité de la volupté pour quelques billets. Et ça continuait encore et encore sous les yeux écarquillés de ce môme paumé par cette atrocité, les images s’ancrant, se dépaysant dans cet esprit béant. Traumatisme grandiloquent, absurdité qui le dégoûta du plaisir de la chair, des saveurs de ce calvaire. Luxure d’usure, divertissement des ordures qui vendent leurs âmes en pâture. Puis la réalité. Puis la réalisation. La conclusion à toute cette agitation, à toute cette confrontation. « Promets moi que tu lui diras pas. » Secret vicieux, dangereux. « Promets le à papa. » Mais papa t’es pas là toi ? Mais papa pourquoi je ferais ça? Le gamin il a essayé de la garder cette vérité, de cacher l’horreur de la laideur pour un peu de candeur. Pour contempler à chaque journée ce rictus guilleret sur les lèvres mauves de cette mère fière. Mais la culpabilité était carnassière, la honte ouvrière. Comment défendre un étranger face à un être tant aimé? Comment pouvoir mentir à une telle poupée? Il lui a tout révélé le gosse ne pouvant contenir ce poids sur ses épaules frêles, et il a finit avec cette tache bleutée. Marque violacée qui rongeait ses traits, noircissant l’innocence de la jeunesse. Hématome de constellation sur sa chair en putréfaction. Oeil au beurre noir, signe du désespoir d’un père crevard. Et l’affront d’une mère pour la protection d’un bâtard, la vulgarité des mots lourds de sens pour ce taulard. « Touche le encore une fois et crois moi tu perds tout ce que t’as. »



PLAIE INSIGNIFIANTE

Enfant errant entre les visages souriants, entre les rires médisants. Solitaire au coeur de fer. Retrait imposé, différence proclamée… Toujours sur le côté à scruter les mômes agités. Ce gamin il se maintenait dans un équilibre défait, coincé par la peur et l’anxiété, il se détachait de ce monde guilleret pour se ressourcer, pour s’affamer de cette curiosité envers les visages étrangers, envers les carcasses désincarnées. Petit ange qui essayait de comprendre cet univers délabré, de dessiner les engrenages de ce piège imparfait. Il était insatiable de connaissances envers cette nature arrogante, envers cette société qui le dépassait. Pion d’échiquier tremblant, ignorant. Il essayait de s’intégrer dans cette cour de recrée, juste s’adapter à cette nouvelle opportunité. Mais il était déjà trop déconnecté, bercé dans cette divergence contrastée. Elève discret mais si mauvais. Incapable de se concentrer sur les cours imposés, il se ressourçait dans l’art des mots, se murant dans un silence pour s’abandonner entre les pages des livres abîmés. Préférant à la réalité les histoires imaginées, les récits sur l’humanité.



CASSURE PRECAIRE

Les années se sont faufilées sous le sablier carnassier. Les repères se sont fracassés sous les déménagements insensés, sous la fuite perpétuelle d’une famille qui essayait de retrouver le bonheur d’antan, la symphonie de cette joie merveille. Souvenir ancré dans le crâne d’une femme aimante qui cherche son amour désespérément, qui tente encore de pardonner son amant de ces aventures malsaines et accablantes. Elle fuit, elle git, elle se meurtrit pour un peu de poésie. Pour un rêve si joli, si pourri. Mais ce coup, il a pas suivi. L’amant dérangeant, le père blessant. Il s’est barré ne laissant que deux errants dans un merdier dément. Il les a abandonné dans cette ville de pêchés, dans ce Brésil profond, préférant à la stabilité les bordels malfamés. Il s’est écarté, ne laissant que ce goût amer, saveur acide sur le palais. Mais Allen il n’avait plus rien de cet enfant, il était bien trop différent, il avait bien grandi maintenant du haut de ses vingts ans. Et il suffisait à cette femme qui ne méritait qu’une parenthèse dorée. Alors ils se sont entraidés le reste de ce foyer, cherchant à se sauver de la précarité. Mais la réalité pesait et la vérité les engouffrerait tout entier. Ils étaient piégés dans un manège affamé, luttant pour une vie damnée. Allen n’étant qu’une difformité, un malade, une victime d’un trouble perfide. Il devait être soigner, suivre un traitement particulier. Etre interner pour se conformer à cette société mais sans frais? Il n’était pas un miraculé mais bien un damné. Un condamné à perpétuité avec des images troublantes dans la tête. Et  sa mère ne pouvait le supporter, de le voir peu à peu se dérégler sous l’intensité de ses crises passagères, de ses paniques de colère. Elle l’aimait au point de sacrifier un peu plus de ce foyer, le laisser s’échappé à son tour loin de cette douce torture. Mais l’ordure elle refusait l’usure de cette meurtrissure, s’interdisant l’abandon envers cette femme qui avait tout donné pour l’élever. Envers cette femme qui se détruisait lentement sans mots, subissant les assauts de ce manque infernal, létal. Alors il est resté il a continué de s’acharner pour l’aider. Mais la misère s’est accentuée et l’anxiété s’est installée dans les pensées de cette maternelle de dentelle. Elle devait le pousser, l’obliger à se soigner, à simplement se sauver de tout ça , de ce dégât. Elle était la mère il était le fils. Alors elle a levé la voix, se faisant effroi, mais le maladroit il ne croyait pas, il ne voulait pas. Alors elle leva autre chose que sa voix. Récréant ce schéma malsain, serein d’une violence bien trop ancrée dans cette réalité. Et tout changea, tout se fracassa. La confiance, l’attachement. Tout n’était plus que poussière meurtrière, qu’une barrière démentielle. Une trahison de plus. Un frêle abandon. Un refus d’agitation. Il se fractura et elle creva. Mort misérable à cause d’une infection dérisoire. Elle était enterrée et lui il était paumé face à un monde qu’il méprisait. Mais dans son désespoir, il trouva la liberté, la liberté d’être ce qu’il refusait, ce qu'il retenait depuis tant d'années.



MERVEILLE D’ECCHYMOSES  

Solitude lasse, crasse. Banalités de férocité. Le temps s’écoulait mais rien ne changeait. Ni cette routine livide, ni l’ennui de cette vie vide.  Allen il n’était plus qu’un indifférent, qu’un homme sans sentiments. Une carcasse de néant. Errant lentement sur une terre insipide, sans saveurs, sans apesanteur. Il gagnait sa vie lamentablement, offrant aux plus offrants de la douleur en cachets, de la dépendance en sachets. Se résolvant à donner ce qu’il ne peut toucher. Cette souffrance physique de manque, de besoin, de désir. Pauvre martyr qui s’habitue peu à peu à cette lassitude, à cette quiétude. Il cherchait encore une pauvre âme à damner pour se raccrocher à la réalité. Une proie toute dessinée sur laquelle il pouvait poser ses crocs lacérés. Lui le gamin trop différent, le convalescent qui veut voir le monde autrement. Il veut figer le temps, l’éparpiller pour se figer dans l’instantanée. Juste trouver un moyen de s’échapper des banalités.  Et son échappatoire elle s’est faite désirer puis déchirer. Petit ange déchu, qui s’était retrouvée perdue dans la rue. Elle avait toute de cette poupée malléable, les traits innocents, le sourire vibrant. Elle était jolie mais la beauté n’était qu’une définition abstraite. Car le fou ne cherchait pas à s’attendrir sur les courbes félines son but ne s’attardant pas sur la faiblesse de l’harmonie des corps en accords. Non ce qu’il voulait était bien trop différent des désirs solennels, des envies passionnelles. Alors il s’est rapproché le danger, il a tenté de trouver cette âme opposée qu’il figerait dans la froideur de sa démence. Il l’a cherché, il l’a trouvé. Il l’a manipulé, il l’a blessé. Le manège était simple : pas d’attachement, juste du déchirement. Un seul sentiment. Un seul putain de sentiment pour ressentir autre chose que cet ennui envers autrui. Il l’a séduit, il l’a démuni. Commençant par la séduire pour lui vendre cette image faussée d’un rêve idolâtré, puis implanter les idées, l’obscurité dans ses pensées. Elle s’est laissée amadouer la poupée. Il le voyait parfois dans ces ambres d’encre cette illusion de folie. Ce semblant de paradis. Mais elle est vite partie avec l’espoir qu’il s’était fait car la poupée elle était sentimentale, elle était vénale. Elle le voulait pour se l’accaparer, pour se noyer dans la splendeur des sentiments tandis qu’il n’était que néant. Elle était lassante, désobéissante. Elle jouait comme si elle détenait les pions de cet échiquier. Mais le marionnettiste aimait bien trop tenir les fils de cette poupée, qui les a coupé avant qu’elle puisse croire en une possibilité. Il a déposé une lame émoussée sur sa nuque immaculée pour faire couler le sang puissant. Versant la pureté pour un peu d’atrocité. Et ce qu’il a ressenti était navrant. Cette excitation semblable à du plaisir brut, au paroxysme de luxure. Elle saignait, elle gisait dans cette marée rougeâtre et l’infame il s’est retourné sans se soucier, sans se douter qu’elle survivrait. Qu’elle vivrait sans pouvoir bénéficier d’une vraie existence. Paralysée, amorphe, morte.



ORDURE D'ECORCHURES  

La musique se stoppe soudainement, violemment, simplement. Retour à la réalité, coupure de ses mémoires aiguisées. Seul le bruit de son sang résonne dans le silence ambiant. Gouttes qui s’écoulent, qui s’éclatent sur le plancher brûlant. Paumes irritées, besoin de se scarifier, le gamin il regarde ses mains avec cette fascination de lamentation. Refusant le sommeil, s’interdisant les cauchemars de Morphée et sa culpabilité. Remords qui le tordent encore depuis cette fameuse soirée, où il a abandonné sa pureté pour une fresque ensanglantée. Allen, il se perd, il s’éviscère, il se fait un peu plus misère. Taré si humain. Monstre qui refuse les sentiments, qui se vend comme un insensible mais qui se réduit à ce principe. Il l’attrape la lame à proximité pour un peu plus se marquer, se maintenir éveillé. Et il se saigne, il s’arrache la chair, tordant le tranchant dans la plaie sublime pour ressentir quelque chose, un semblant de ressentiment. Mais il retombe dans ce vide viscéral, dans cette prison abyssale. Tandis que son esprit le détruit lentement, lui offrant la vision de son abomination. Jolie poupée qui se tient bien droite, la peau poisseuse, le sourire cristallin, malsain. Elle a les courbes peintes cette succube, dessinée par les effluves rougeâtres de son désastre. Victime morbide de sa folie létale. Elle le regarde de son ambre humide, les babines retroussées. Dans cette utopie au milieu de la réalité. Et elle se moque de lui, elle le juge de son hérésie. Mais ce n’est pas réel. « Tu n’es pas réel. » Comme toi Allen.

Tu es mort depuis bien longtemps, faisant semblant de vivre pour ne devenir que martyr.

Allen Von Trier
https://foutue-vermine.forumactif.org/t805-mes-bras-ne-se-levent-plus-que-pour-porter-le-poids-de-ta-chair-allen
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Lyra Moscovitch
Lyra Moscovitch
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 66
♆ PSEUDO : mnémosyne
♆ AVATAR : holland roden
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : elle, c'est le vice, le pêché pur. elle exacerbe vos envies qui finissent par tourner en obsession pendant quelques heures. sa présence étourdissante peu dévergondée la plus prude des femmes.
♆ ÉGARÉ : pandemonium
♆ ENNUI TROMPÉ : elle, elle a son bar où l'enseigne en néron rose grésille. elle possède le bar des vices, de l'addiction. alors que ses nymphes divertissent les joueurs, les jeux et l'alcool réduisent à néant toutes résistances. rapidement, ceux qui mettent les pieds dans son bar se retrouve sans le sou avec un pêché à assouvir.

(#) Ven 3 Mar 2017 - 1:53
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen Giphy
robert T'es beau toi Cunnilingus J'ai un peu de bonté à offrir si tu veux gnah pedo J'ai hâte de voir ta fiche et surtout la malédiction que tu vas choisir :pff: Bref, bienvenuuue Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 382894249
Lyra Moscovitch
https://foutue-vermine.forumactif.org/t741-monsters-stuck-in-your-head-lyra-m#9617
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Bélial Chateminoy
SATAN M'HABITE
Bélial Chateminoy
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 326
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : DIEU DEPP.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : LES ANNÉES S'AJOUTENT ET DISPARAISSENT. LE TEMPS NE FAIT PLUS EFFET SUR SES TRAITS. TANTÔT ENFANT AUX MAINS BALADEUSES, ADULTE AUX SOURIRES CRASSES ET VIEILLARD AUX MOTS AIGRIS.
♆ ÉGARÉ : DANS L'ANTRE DE SATAN.
♆ ENNUI TROMPÉ : GOUROU SATANISTE. CHIEUR, FARCEUR, EN MISSION POUR LUCIFER POUR FAIRE DE VOTRE VIE, UN ENFER.

(#) Ven 3 Mar 2017 - 7:43
t'es bien beau toi robert
par contre t'es très vilain à pas avoir rempli les infos comme c'est précisé en gros en gras et rouge dans le règlement de la fiche et tout :tss: du coup je dois déplacer ta fiche dans les refusées en attendant que ce soit fait Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2250026331 n'hésite pas à reposter derrière moi pour prévenir que c'est fait ange t'auras un vrai bienvenue et tout aussi perv
Bélial Chateminoy
https://foutue-vermine.forumactif.org/t686-belial-on-est-le-diable-on-ne-le-devient-point
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Allen Von Trier
Allen Von Trier
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 12
♆ PSEUDO : BlackMadness
♆ AVATAR : Evan Peters
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : Analgésie. Il respire l'élan vital de ses saignements tremblants sans sentir pour autant. Anesthésié, paralysé, immunisé à toute cette scarification, à cette douleur à la con.
♆ ÉGARÉ : Bouche de l'enfer. Bonheur précaire. Appartement de misère. Errance sur cette terre. Galère et calvaire.
♆ ENNUI TROMPÉ : Vendeur de bonheur. Il offre aux plus offrants un moyen de fuir cette vie martyr. Juste se libérer des banalités avec quelques cachets, quelques pilules pour se délivrer de cette morosité.

(#) Jeu 9 Mar 2017 - 0:49
Lyra jolie <
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen So-Do-You-Want-More-Ryan-Gosling_zps22d4af1c
et toi t'es quoi tu crois ? Cunnilingus oh oui offre moi de ta bonté Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1531248509 fous pas la pression russe ça devrait arriver bientôt gnah merci ma belle Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1252987005 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1252987005

Bélial < Fucking Johnny, j'avoue t'as un peu beaucoup niqué mes ovaires Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1844646662
ouais c'est mon côté thug Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 851752883 mais bon c'est rattrapé pardon je referais plus promis Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2250026331
et je veux ce vrai bienvenue Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1059889729 maïté
Allen Von Trier
https://foutue-vermine.forumactif.org/t805-mes-bras-ne-se-levent-plus-que-pour-porter-le-poids-de-ta-chair-allen
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Hannibal Fulvo
SKULLCRUSHER
Hannibal Fulvo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 213
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : MICHAEL FASSBENDER.
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE MAUVAIS
♆ PERDITION : JAUGE DE COLÈRE. PLUS CELLE-CI MONTE EN LUI, PLUS SES DOIGTS VIRENT UN PAR UN AU ROUGE ET SI JAMAIS TOUS SE REMPLISSENT, CHOSE PLUTÔT RARE, DE FINES FLAMMES APPARAISSENT SUR CES DERNIERS.
♆ ÉGARÉ : EN PLEIN PILLAGE, AU FIGHT CLUB, LE POING ÉCRASÉ CONTRE TON FACIÈS.
♆ ENNUI TROMPÉ : ÉCUMEUR DES MERS, BRAS DROIT CORROMPU DU CHEF DIOGO, FORBAN AUX ENVIES MUTINES QUI SE DESSINENT DOUCEMENT MAIS CERTAINEMENT.

(#) Jeu 9 Mar 2017 - 1:13
Coucou toi Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1844646662
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 5vtl

Le meilleur des kickeurs gnah gnah bienvenue (officiellement) russe
(et c'est bien on en sait enfin plus, mais on en veut encore enfin je redéplace ta fiche au bon endroit hein :pff: )
Hannibal Fulvo
https://foutue-vermine.forumactif.org/t706-no-mercy-on-your-soul-hannibal
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Ninõ Rastro
Ninõ Rastro
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 40
♆ PSEUDO : pipelette
♆ AVATAR : Felix Bujo
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE MAUVAIS
♆ PERDITION : Semance rajeunissante, potion de jouvence collante et repoussante.
♆ ÉGARÉ : Le bordel pour maison, on le promène de temps à autre comme un chien qui a besoin d'air pur.
♆ ENNUI TROMPÉ : Catin du village, chouchou de Felipe.

(#) Jeu 9 Mar 2017 - 10:33
Toi, je t'aime bien. En lisant ce que tu écris, ça me parle. robert
Et Evan Peters. Diantre. Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1578669634
Bienvenue parmi nous, hâte d'en lire plus, et je viendrai très certainement quémander un RP après ta validation. siffle
Ninõ Rastro
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Basile Knife
Basile Knife
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 16
♆ PSEUDO : khat
♆ AVATAR : tim schuhmacher
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE NEUTRE
♆ PERDITION : sursaut bestial involontaire, envie de foutre, envie de meurtre, enfuis-toi vite avant qu'il ne te voit
(#) Jeu 9 Mar 2017 - 21:35
j'avais très envie de juste dire tg et de me casser, mais j'ai des compliments à faire, les voici :
- tu es très beau
- tu t'appelles Von Trier et si c'est une référence à Lars laisse moi t'embrasser
- tu vends de la drogue alors on va êtes potes
- j'en veux p l u s
- Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1531248509 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 936325813 maïté

bienvenue bg Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 3921166857
Basile Knife
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Invité
Invité
Anonymous
(#) Jeu 9 Mar 2017 - 23:40
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen Tumblr_nrlit7cSz21rlpicfo1_400

Ça valait la peine d'attendre que ça se remplisse tout ça Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1606765011 On veut la suite Hope
Invité
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Misae Sylvester
Misae Sylvester
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 57
♆ PSEUDO : la p'tite mouette.
♆ AVATAR : matt smith.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : sécrétion de paillettes. sueur brillante. pouvoir inutil offert par le diable pour mieux briller sous la lumière, littéralement parlant.
♆ ÉGARÉ : le long de la rive. profiter de l'élément aquatique pour mieux être en communion avec la nature, cette beauté vivante.
♆ ENNUI TROMPÉ : mannequin. exposer son corps meurtri afin d'afficher des vêtements hors de prix. être une poupée pour ses agences, plus rien pour la ville. déception avenir.

(#) Sam 11 Mar 2017 - 1:28
ah que coucou ! *^*
je plussoie, c'est déjà extra ce que tu nous proposes là !
... et on a envie d'en savoir plus ! niark bienvenue et
good luck pour ta fiche ! :han:
Misae Sylvester
https://foutue-vermine.forumactif.org/t826-misae-font-danser-notre-race-humaine-sur-la-descente-a-reculons-uc#10499
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Andrej Breznik
DRUNK DREAMER
Andrej Breznik
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 143
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : TRAVIS FIMMEL.
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE NEUTRE
♆ PERDITION : ABSORPTION IMPRÉVISIBLE ET INCONTRÔLABLE DE VOS SOUVENIRS PAR UN SIMPLE TOUCHER, UN CONTACT PHYSIQUE. PLUS VOUS ÊTES PROCHE (FAMILIER) DE LUI, PLUS LES RESSENTIS SONT INTENSES.
♆ ÉGARÉ : IVRE MORT DANS LE CANIVEAU.
♆ ENNUI TROMPÉ : AUPARAVANT ASSISTANT-MÉDECIN LÉGISTE, IL A VU PAS MAL D'HORREURS DURANT SON ANCIEN JOB. SA PERTE DE MÉMOIRE L'A AU MOINS SOULAGÉ DE CE POIDS POUR L'INSTANT. DÉSORMAIS IL MANDE, SE LAISSE EMBARQUER DANS DES SITUATIONS TORDUES POUR AVOIR SON ALCOOL OU SA DROGUE.

(#) Lun 13 Mar 2017 - 11:02
TEMPS ÉCOULÉ
Larmes de sang, là, qui dégoulinent le long de ses traits. N'entends-tu pas ses cris d'agonie, les âmes qui se voient alors meurtris ? Il fait l'enfant, le pauvre Satan, de ne pas toucher ton âme, de ne pas s'amuser avec toi. Il te voit, là, au travers de la foule, t'éloignant doucement, t'effaçant presque tendrement, et il ne l'accepte pas. Connais-tu seulement la sentence, pour rendre le démon aussi triste, aussi humain ? Dix larmes de sang ont déjà été versés, si tu n'es pas là d'ici quatre nouvelles larmes, il sortira les crocs, il sortira le fouet, et ton âme, brusquement, sera détruite à néant. Ce que Satan n'a pas, n'existe pas.

Demande un délai si tu ne veux pas finir dans l'estomac du Diable niark  
Andrej Breznik
https://foutue-vermine.forumactif.org/t697-another-stranger-me-andrej
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Allen Von Trier
Allen Von Trier
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 12
♆ PSEUDO : BlackMadness
♆ AVATAR : Evan Peters
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : Analgésie. Il respire l'élan vital de ses saignements tremblants sans sentir pour autant. Anesthésié, paralysé, immunisé à toute cette scarification, à cette douleur à la con.
♆ ÉGARÉ : Bouche de l'enfer. Bonheur précaire. Appartement de misère. Errance sur cette terre. Galère et calvaire.
♆ ENNUI TROMPÉ : Vendeur de bonheur. Il offre aux plus offrants un moyen de fuir cette vie martyr. Juste se libérer des banalités avec quelques cachets, quelques pilules pour se délivrer de cette morosité.

(#) Lun 13 Mar 2017 - 22:39
Hannibal < Kuku intense
Alors Fassby c'est une chose et Aaron Paul aussi tu cherches à ce que je te donne mon corps en 5 sec toi 69
merci merci Cool danke Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2640497359
(ça devrait arriver ce soir normalement Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 567651391 )

Ninõ < Oh comment t'es beau Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1059889729
Oh tant mieux j'espère que ca te parlera toujours à la fin Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1844646662
Ahah je suis jolie hein Cunnilingus
Merci je te réserve une place bien au chaud alors Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 374264823

Basile < TG pardon c'était trop tentant jotem coeur ange
ahah merci oui c'est bien une référence à cet homme parfait Cunnilingus , je vais t'en donner toute la nuit /pan/ je me bouge de finir tout ça. Merci t'es trop chou Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1531248509

Divine <
Cunnilingus Cunnilingus Cunnilingus Cunnilingus
Ca arrive promis ange Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1252987005

Misae < et bonjour vous :chou:
merci beaucoup et j'espère que le reste plaira Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2640497359

Andrej < Pardon vilain Doby j'essaye de la boucler ce soir si j'y arrive avec les cernes que je me trimballe mais au cas où je demande un petit délai si c'est possible Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2834593855
Allen Von Trier
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Hannibal Fulvo
SKULLCRUSHER
Hannibal Fulvo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 213
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : MICHAEL FASSBENDER.
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE MAUVAIS
♆ PERDITION : JAUGE DE COLÈRE. PLUS CELLE-CI MONTE EN LUI, PLUS SES DOIGTS VIRENT UN PAR UN AU ROUGE ET SI JAMAIS TOUS SE REMPLISSENT, CHOSE PLUTÔT RARE, DE FINES FLAMMES APPARAISSENT SUR CES DERNIERS.
♆ ÉGARÉ : EN PLEIN PILLAGE, AU FIGHT CLUB, LE POING ÉCRASÉ CONTRE TON FACIÈS.
♆ ENNUI TROMPÉ : ÉCUMEUR DES MERS, BRAS DROIT CORROMPU DU CHEF DIOGO, FORBAN AUX ENVIES MUTINES QUI SE DESSINENT DOUCEMENT MAIS CERTAINEMENT.

(#) Lun 13 Mar 2017 - 22:51
Je pensais que ton corps m'appartenait déjà gnah Arrow
T'en fais pas vilain Doby je t'ajoute un délai jusqu'à vendredi, ça t'ira ?  Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 2250026331 Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1844646662
Hannibal Fulvo
https://foutue-vermine.forumactif.org/t706-no-mercy-on-your-soul-hannibal
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Allen Von Trier
Allen Von Trier
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 12
♆ PSEUDO : BlackMadness
♆ AVATAR : Evan Peters
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : Analgésie. Il respire l'élan vital de ses saignements tremblants sans sentir pour autant. Anesthésié, paralysé, immunisé à toute cette scarification, à cette douleur à la con.
♆ ÉGARÉ : Bouche de l'enfer. Bonheur précaire. Appartement de misère. Errance sur cette terre. Galère et calvaire.
♆ ENNUI TROMPÉ : Vendeur de bonheur. Il offre aux plus offrants un moyen de fuir cette vie martyr. Juste se libérer des banalités avec quelques cachets, quelques pilules pour se délivrer de cette morosité.

(#) Lun 13 Mar 2017 - 23:32
Oh comment tu t'enflammes toi j'aime ça Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 1059889729 mais pas encore va falloir faire d'effort hein :tss: je suis une femme qui se laisse désirer /pan/

AH oui ça ira très bien merci beaucoup Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 936325813
Allen Von Trier
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Hannibal Fulvo
SKULLCRUSHER
Hannibal Fulvo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 213
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : MICHAEL FASSBENDER.
♆ ALIGNEMENT MORAL : NEUTRE MAUVAIS
♆ PERDITION : JAUGE DE COLÈRE. PLUS CELLE-CI MONTE EN LUI, PLUS SES DOIGTS VIRENT UN PAR UN AU ROUGE ET SI JAMAIS TOUS SE REMPLISSENT, CHOSE PLUTÔT RARE, DE FINES FLAMMES APPARAISSENT SUR CES DERNIERS.
♆ ÉGARÉ : EN PLEIN PILLAGE, AU FIGHT CLUB, LE POING ÉCRASÉ CONTRE TON FACIÈS.
♆ ENNUI TROMPÉ : ÉCUMEUR DES MERS, BRAS DROIT CORROMPU DU CHEF DIOGO, FORBAN AUX ENVIES MUTINES QUI SE DESSINENT DOUCEMENT MAIS CERTAINEMENT.

(#) Mar 14 Mar 2017 - 0:18
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen Qjjm
Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 3921166857

Parfait achab
Hannibal Fulvo
https://foutue-vermine.forumactif.org/t706-no-mercy-on-your-soul-hannibal
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Bélial Chateminoy
SATAN M'HABITE
Bélial Chateminoy
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 326
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : DIEU DEPP.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : LES ANNÉES S'AJOUTENT ET DISPARAISSENT. LE TEMPS NE FAIT PLUS EFFET SUR SES TRAITS. TANTÔT ENFANT AUX MAINS BALADEUSES, ADULTE AUX SOURIRES CRASSES ET VIEILLARD AUX MOTS AIGRIS.
♆ ÉGARÉ : DANS L'ANTRE DE SATAN.
♆ ENNUI TROMPÉ : GOUROU SATANISTE. CHIEUR, FARCEUR, EN MISSION POUR LUCIFER POUR FAIRE DE VOTRE VIE, UN ENFER.

(#) Mar 14 Mar 2017 - 7:51
Y'A DEUX B À DOBBY BANDE DE FAKE FANS Mes bras ne se lèvent plus que pour porter le poids de ta chair ; Allen 3541780052
VOUS AVEZ PAS LU LES LIVRES OU QUOI ? :tss:
Bélial Chateminoy
https://foutue-vermine.forumactif.org/t686-belial-on-est-le-diable-on-ne-le-devient-point
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