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YOU SAY GOD, I SAY SATAN (PIUS)

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Felipe Da Silva
BEAST OF LUST
Felipe Da Silva
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 262
♆ PSEUDO : NAGRON.
♆ AVATAR : PEDRO PASCAL.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE NEUTRE
♆ PERDITION : LE NOMBRE D'INDIVIDUS AVEC QUI VOUS AVEZ COUCHÉ TOUT AU LONG DE VOTRE VIE S'AFFICHE SUR VOTRE MAIN ET SEULES SES PUPILLES LE VOIENT.
♆ ÉGARÉ : AU BORDEL, ENTRE TES CUISSES, PROCHE DE LA DEMEURE DU DIABLE.
♆ ENNUI TROMPÉ : GÉRANT DU BORDEL DE SÃO POEIRA, PROSTITUÉ QUI DÉCIDE AVEC QUI IL ÉCARTERA LES JAMBES OU QUI LES ÉCARTERA POUR LUI, BRAS MUSCLÉ QUI DÉFEND SON TERRITOIRE ET SES PROTÉGÉ(E)S.

(#) Jeu 9 Mar 2017 - 12:47
FELIPE & PIUS
Devil's got a cut, like a slit in a cattles calf, dollar sign snakes, I'm all in the damned. Godless, fearless of the flood or the blood of the coming spring. Something is shedding its scales crying from the heat of the light.
So weak was my hope, so cold the world around, so strong the calls
TW : VIOL, ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR.
Sombre époque, sombre temps. Les obscurs songes qui circulent constamment au sein de l'esprit et qui se nourrissent d'amertume passée alors que le cœur était persuadé de l'avoir surmontée. Mais tout comme la brûlure encrée à jamais dans sa cuisse gauche, elle ne disparaît pas, elle est seulement dissimulée et réapparaît à la manière d'un couteau dans le dos. Le cerveau est traître, il ne peut s'en empêcher. Il est forcé, comme à chaque fois durant l'anniversaire de la mort de sa mère, de brasser les diverses couches d’excréments empilées dans un coin reclus. Felipe n'a aucun besoin de calendrier, sa carcasse est parfaitement en accord avec son cerveau et constamment, le jour j, sa cuisse le lance. Rappel désagréable qui l'amène à être moins présent au bordel le temps d'une journée. C'est à l'aube qu'il s'envole hors de sa tanière, tandis que la plupart sont à peine éveillés, en direction de l'ancienne demeure de sa génitrice. Un mélange de regrets et de haine accapare tout son être. Un mélange de regrets du temps où cette dernière était encore fidèle à elle-même, puis la haine, lorsque Dieu a comblé sa couche à la place d'un mari emporté bien trop tôt par la maladie. Dieu qui n'a eu de cesse d'empoisonner son âme au point de la rendre méconnaissable aux yeux de Felipe. Dieu qu'il exècre autant que les individus le suivant aveuglement, faute de mémoires bien trop vivaces, faute d'un code de conduite qu'il juge saugrenu.

Nez à nez avec la cabane, les pas se stoppent, les pensées s'envolent, pour la plupart irritantes et dessinant ainsi une grimace sur son faciès. Toujours cette impression de déjà-vu, d'être retourné dans son corps d'adolescent quelques minutes avant qu'il ne découvre le corps pendu de sa mère. Pourtant, il reste immobile, les mains glissées dans les poches de son pantalon, à fixer bêtement le pallier. La seconde d'après, son regard est attiré plus haut. La lumière s'échappant de l'une des fenêtres l'interpelle et ainsi, il se retrouve plus dans le rôle de mateur que de simple passant. Observant l'une des deux personnes habitant désormais ici, l'un étant un religieux de nombreuses fois aperçu de loin. Le dégoût s'imprime immédiatement sur son visage. Pourtant, d'un autre côté, ce que ses pupilles discernent à travers les vitres réveillent en lui quelques instincts. Le désir profond de souiller un enfant de Dieu, probablement de la pire façon, étant pour sa part un enfant de Satan depuis maintes années. Bambin blasphématoire qui a renié la tentative désespérée de sa mère de l'embrigader, qui s'est tourné vers son unique entité digne d'être vénérée. Malheureusement, le gérant ne compte pas faire de vieux os planté ici comme un clou, se préparant à tourner les talons. Ce n'est que l'instant d'après, lorsque le catholique se dévoile en terrain neutre, probablement impatient de se rendre dans son antre bénie, que la bête contrecarre immédiatement ses plans. Il patiente quelques instants puis le plaque soudainement contre la cabane suivante. « Alors, pressé de rejoindre ton église ? » Loin d'une vulgaire provocation, d'une futile remarque désobligeante en guise d'amusement, c'est plus une haine viscérale qui ressort. Un chamboulement concernant le gérant qui en arrive rarement à un tel état sans bonnes raisons derrière. « Je suis sûr que derrière tes croyances, tu écartes les cuisses sans problème. » Sa main dérape, en synergie avec ses dires, proche d'une zone sensible tandis que l'autre s'assure qu'il ne s'échappe pas. Peu importe les tentatives imaginées, sa carrure est censée décourager.
(c) AMIANTE
Felipe Da Silva
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