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(divine) tout s'arrange, sauf la difficulté d'être.

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Invité
Invité
Anonymous
(#) Jeu 29 Déc 2016 - 14:59
Divine Damour
Les filles c'est comme ça, même si elles sont plutôt moches, même si elles sont plutôt connes, chaque fois qu'elles font quelque chose de chouette on tombe à moitié amoureux d'elles.  
J.D SALINGER▲
L'ÂME ÉGARÉE
Héritage Infortuné ♆ N’y avait-il pas quelque chose avant les exclamations de sa voix roulante à se perdre dans des incantations françaises qu’elle ne comprends même pas, c’est la question que quelques fous du village osent encore se poser quand tous ont compris que derrière son pseudonyme mensonger, dame Damour si elle ne l’a pas renié a peut-être bien tout simplement oublié les quelques lettres qui ornaient ses papiers pour former un nom de famille qu’elle n’a plus utilisé depuis plusieurs années. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Celui-ci a été mieux choisi par la belle, Divine égocentrique, merveilleuse plante qui s’imagine la plus belle avec ses robes de sacs poubelles et ses cheveux de plastique qu’elle passe des heures à brosser pour les rendre plus soyeux. Malheureux celui qui chercherait à gratter sous le vernis à ongle qui ne semble jamais s’écailler, l’affront que cela représente aux yeux de Divine n’en pourrait être effacé, ici il n’y a plus que les talons hauts pour écraser les vermines qui essayent de se dresser pour elle, rien d’autre qu’un sourire carnassier dans lequel elle a finit par se perdre pour ne pas finir esclave. C'était mieux avant ♆ Il n’y a pas d’assemblage de chiffres qui pourrait se marier avec la grande Divine pour lui faire justice, émanation fantasmée par un petit garçon frileux de vivre l’alter ego n’a qu’une dizaine d’années quand le corps qu’elle habite a été marqué par trente et un bleus par les affres de la vie, quelque part entre son cortex illuminé et ses synapses défectueux elle pourrait avoir des milliers d’années car Divine sait tout, Divine sait mieux. Première Bouffée d'air ♆ Il n’y a pas dans les tissus mémoriels de Divine de la place pour des souvenirs d’enfants, de la nostalgie pour une vie passée autrement qu’avec une perruque sur la tête, alors les rares fois où on lui demande, Divine continue de s’enfoncer dans les mensonges qui la rendent vivante, et Divine pourrait raconter sa naissance sans en omettre un détail, dans une cave de Chicago où la musique faisait trembler les murs et les gosses défoncés, c’est le 18 juillet 2002 que Divine a commencé à vivre par intermittence avant de prendre totalement contrôle du corps à sa disposition une fois arrivée à São. Papa et Maman ♆ Si Divine a commencé à balbutier à Chicago elle aime à penser qu’elle serait française alors qu’elle n’en parle pas un mot, pourtant de sa personnalité construite de toute pièce elle aime à se délecter de vin rouge et de parler de Paris comme un lointain souvenir qu’elle regrette, quand on s’attache aux mots qui sortent de sa bouche de son mauvais accent on ne peut que deviner les consonances de l’Illinois, comme si malgré tous ses efforts la mascarade ne pouvait pas être parfaite. Dans mon lit ♆ De ses draps il n’y a que la transpiration des hommes pour les souiller, leurs corps d’apollons aux muscles saillants pour venir laisser leurs formes dans le creux du matelas fatigué. Dire de Divine qu’elle est hétérosexuelle serait mensonger, elle ne pourrait se résoudre à être attirée par les quelques loques qui pourrissent dans les rues de São, non, Divine aime ceux qui rentrent dans sa définition d’un homme, un torse ferme sur lequel poser sa tête, des bras musclés pour la maintenir fermement contre l’oreiller, assez de testostérone à l’odeur insupportable pour la faire vomir. Elle ne déteste pas les femmes, et nombreux sont les ignorants qui, en la regardant avec dégoût, s’imaginent des manières qu’elle fait que les femmes la dégoutterait, elle n’a pour ses semblables que de la méfiance, car si les hommes qu’elle capture dans son filet n’ont pas assez de sang dans le corps pour la regarder et l’écouter en même temps, elle sait bien que les femmes ne sont pas à se laisser berner par la nudité et les promesses creuses. Ou alors ne valent-elles pas la peine que Divine leur porte de l’attention.   Degré de solitude ♆ Si tous savent que la chambre de Divine a ses réguliers, chacun sait que la belle n’est accompagnée que pour les quelques nuits où elle le désire, seule pour régner, jamais elle ne pourrait partager la couronne qu’elle garde jalousement au fond de ses coffres. Tromper l'ennui ♆ Des journées de violence de São Divine ne fait rien, à peine sort-elle se promener pour se montrer quand lui en prend l’envie, mais de la nuit elle est la reine, réchauffée par les quelques projecteurs de la scène du théâtre qu’elle a construit de ses mains avant d’en trouver d’autres pour finir d’amasser les briques, elle n’oublie jamais de veiller sur les coulisses pour en entendre chaque discussion, y voir chaque geste. Elle se plaît à se faire appeler Directrice du théâtre mais elle n’en reste pas moins que la matriarche de la troupe, véritable cheffe de clan que personne n’a réussi à renverser pour l’instant.  Fanatisme déclaré ♆ Il n’y a qu’elle-même qui en vaillent vraiment la peine. la Vraie Famille ♆ Certains en rigolent comme si les quelques paillettes encore sur la scène rendaient la troupe du teatro boal moins imposante que les autres clans de la ville, assoiffés de sang et de richesse. Et il est vrai que sous les ailes de Divine ne sont couvés que des oisillons qui sans doute n’auraient pas survécu sans elle, vicieux mais trop faible pour s’en sortir seul. Pourtant, sous estimer Divine n’est pas chose à faire ici, sa lime à ongles ne pouvant qu’acérer les griffes de celles et ceux qu’elle considère comme ses enfants, et elle a encore assez de poudre à leur lancer dans les yeux pour qu’ils en viennent à mourir pour elle pour un soufflet. Tombé dans le trou à rat ♆ Des jours qu’elle a arrêté de compter Divine sait pourtant bien qu’elle est arrivée ici il y a six ans, voiture tombée en panne dans les sables, à suivre un petit démon jusqu’au village damné quand elle aurait dû briller sur les scènes dansantes de toute la côte du Brésil pendant des mois. La nouvelle famille ♆ Si la concurrence est rude à São la belle Divine n’est pourtant pas en reste, son sourire injecté d’on ne sait quoi trop mielleux pour être sincère, sa main tendue vers les petits êtres fragiles pour leur donner de quoi s’abriter des démons qui les guettent n’est que le plus doux mensonge de São, pourtant Divine reine des salopes ne desserre jamais les griffes desquelles elle enserre ses proies, tue le corps et l’esprit de ses enfants au nom des applaudissements, les échanges contre d’autres pour ne jamais laisser ceux qui viennent se perdre dans l’enceinte de son théâtre. Salope qui dispose les autres pour ne jamais trop donner de sa personne, salope couronnée sur une montagne de corps trop épuisés pour la détrôner, trop effrayés d’être plus maltraités ailleurs pour ne pas supporter encore les quelques insultes dont elle a le secret.
L'ANGE DÉCHU
De l’idée qu’elle se fait d’elle même il n’y a pas d’égal à Divine si ce n’est le reflet constamment retravaillé que le miroir peut lui renvoyer. Rien de naturel dans ce personnage maniéré aux yeux allumés d’artifices mais rares sont ceux qui rechigneraient à ne pas succomber aux maléfices qu’elle leur lance. Divine n’est pas la seule à revendiquer le droit à la couronne de São et pourtant si elle venait à se distancer de la course que le prince lui tendrait lui-même la main pour la hisser sur le trône, de ses hanches sculptées dans la mousse, de chaque pamphlet qui constitue son âme, il n’y a rien de sincère dans cette femme – pas même le mensonge qu’elle cache entre ses jambes, on en viendrait à douter de la véracité des larmes chaudes qui viennent parfois creuser ses joues quand, une fois les lumières de la scène éteintes, elle se retrouve seul dans la pénombre, inconsolable des bêlements qui l’entourent. Il n’y a aucune sincérité dans le personnage magnifique qu’est Divine, et sans doute hors des murs du village damné n’aurait-elle des saveurs que de trop, excentricité trop sucré pour être avalé sans vomir, trop pailleté pour ne pas brûler les rétines, trop, trop, Divine est à l’image des briques qui l’ont recueilli, sur le point de s’effondrer mais maintenues en un seul morceau des causes d’une magie inconnue. Peut-être bien que de cette coquille vide il n’y a qu’une envoyée du diable puisque derrière le fond de teint et les faux cils l’être originel en est mort, ayant perdu la bataille contre la grande Divine et sa rage de vivre en tuant les autres.
LE DÉMON EXPIÉ
Il n’y a eu des premières brumes inhalées par la belle hâtivement apprêtée aucune émanation à son esprit, comme si des premiers jours au village elle n’avait été qu’une touriste effrayée par les attractions offertes des résidents sans réellement succomber à la malédiction. Des délices et de la misère, ce n’est qu’en essayant de regagner le désert par lequel elle était arrivée que la magnifique Divine pensa halluciner de la chaleur, quand, privée peu à peu du gaz exquis du diable, s’en sont les hallucinations qui sont venues la sauver de la déshydratation et des naufrages. Quelques chèvres échappées de leurs bergers, irrémédiablement attirées par elle qui de leurs bêlements pouvait maintenant comprendre un langage cohérent. Le diable, manquant d’aspiration ou peut-être désirant communiquer avec elle de messages anodins envoyés par les caprins, sans qu’il ne fasse ressurgir du fond de sa glotte des bêlements infâmes, lui a donné la capacité de les comprendre autant que de leur parler, en atteste leurs conversations parfois longues qu’elle essaye désespérément d’écourter. Chacune ont leurs personnalités mais aucune n’est supportable, mais pour chacun d’elle Divine est devenue cette porte vers le monde des hommes, porte guindée aux gonds cassés qui refuse de se faire réparer, et, incapable de faire fuir les quelques capricieuses caprines même après en avoir égorgée une, Divine  et ses rêves de gloire n’ont que mis à disposition ces premiers éléments d’une famille qui ne ferait que grandir. Sans doute mentirait-elle d’avancer que cette chose qui lui permet de communiquer avec les quelques chèvres de São lui pèse encore comme une malédiction, et de la poésie des bêlements si elle venait à en être privée se jetterait-elle du haut de la scène dans quelques paillettes éclatantes – mais s'en relèverait avant que les larmes n’aient pu faire couler son maquillage.
LES GRIFFES DU DIABLE
Elle a d’abord trouvé dans la pauvreté et la misère du village le charme de l’exotisme, habituée aux villes américaines dont la hauteur des grattes-ciels semblait proportionnelle aux clochards et autres déchets, des souvenirs fabriqués qu’elle garde de la ville parisienne aussi les grands boulevards n’avaient été construit que pour accueillir ceux expulsés des bonnes sphères pour dormir à la belle étoile – dans l’esprit étriqué de Divine il n’y a que dans les pays ensoleillés où les pauvres dorment encore dans la poussière quand des royaumes qui l’ont fait grandir les fous ont encore assez d’esprit pour aller se reposer sur le goudron. Si maintenant les charmes du village ont disparu en même temps qu’elle a découvert tous ses secrets, elle se surprends à ne pas le détester, à s’y complaire même, échouée dans des rues que de ses mains gantées elle a aidé à remodeler, São est devenue à son image où ne se rend-elle pas compte qu’elle s’est adaptée au reflet que le village lui a renvoyé d’elle-même. Grande et décadente, riche et tellement pauvre, une once de désespoir dans le rire cristallin des bruits urbains qui se répercute dans les caves de la mine, Divine et les tentacules des hommes influents en son être est comme une pieuvre géante s’emparant de l’épave laissée vivotante qu’est São pour l’enfoncer un peu plus loin dans les abysses.
AU DELÀ DES DUNES
Joli prénom ♆ C'est pas joli.   Pseudo pas beau ♆ l'acronyme poétique, vntlmsc. Nombre d'hivers endurés ♆ J'ai arrêté de compter après deux, ça devenait trop dur. Pierre précieuse préférée ♆ J'aime pas les cailloux. Compagnie de voyage ♆ Par la porte d'entrée. Mot doux ♆ C'est chauffé. Degré d'addiction ♆ Quotidienne. Tête de cochon ♆ Alaska Thunderfuck 5000 Remerciements ♆ Bannière trouvée sur tumblr, les avatars sont de fae, merci à elle. Mot d'amour en plus ♆ Brûlez tout.
Where's the revolution
You've been pissed on for too long, your rights abused, your views refused, they manipulate and threaten with terror as a weapon, scare you till you're stupefied, wear you down until you're on their side. (x) De la grandeur on ne devrait rien retenir, et Divine elle-même s’est déjà sacrifiée à l’autel de l’oubli pour que des frissons qu’elle procure de son vivant ne reste qu’une tombe qu’on oubliera de venir rendre carmine de fleurs à épine et différentes gerbes à l’odeur insupportable qui lui donne envie de vomir. Rien à son esprit ne se rappelle des temps de sa vie à l’extérieur de São, des larmes l’homme qu’elle a pu être sans oser le rester de peur de se faire écraser autant là-bas qu’ici, Divine comme une rougeur n’ayant fait que de progresser sur sa peau jusqu’à la faire peler pour révéler son véritable visage, il ne reste de lui qu’une négation sur laquelle Divine crache sans se retenir, en vient à égorger les quelques malheureux qui viendraient lui rappeler son souvenir, oserait demander des détails sur cet être frêle et acerbe mort dans la bataille pour la survie, et chacune de ces remembrances infortunes et dégoûtantes, elle les tue avant d’en être assez affectée pour en pleurer, les étouffe d’un oreiller comme si elles étaient ses propres enfants, avec difficulté, avec réluctance mais persuadée que cela n’est que pour laisser apaiser le visage de ce petit ange qu’on aurait trop pris plaisir à torturer ici, un acte affreux pour achever une pensée magnifique. De sa vie Divine ne peut raconter que São, son arrivée chaotique où, effrayée comme une enfant, elle s’est contentée de se cacher avant de ressurgir des ténèbres de la rue pour en conquérir la saleté, incapable de retirer cette perruque blonde intimidante devenue son armure. De construire la théâtre n’a été qu’une parade parmi les autres, une volonté de briller sans se faire écraser des alphas, une pirouette de leur faire croire que ce n’était là qu’un simple divertissement pour les nuits froides et tous ont cru à son sourire angélique qu’il n’y aurait aucune étincelle incendiaire de ce brasier qu’elle a construit brindille par brindille avant d’y mettre le feu pour en faire un phare mensonger, regardant les bateaux s’échouer contre les rochers de ses mensonges vers l’horizon, mais aujourd’hui c’est chacun de ses pas qui brûlent le village quand, écrasant la vermine elle se bat avec les rats pour éradiquer leurs rejetons du nid, s’acoquine avec certains pour survivre un peu plus longtemps, fausse madone prête à affamer ses fidèles pour le bien de son église qui n’adore qu’elle-même.
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Bélial Chateminoy
SATAN M'HABITE
Bélial Chateminoy
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 326
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : DIEU DEPP.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : LES ANNÉES S'AJOUTENT ET DISPARAISSENT. LE TEMPS NE FAIT PLUS EFFET SUR SES TRAITS. TANTÔT ENFANT AUX MAINS BALADEUSES, ADULTE AUX SOURIRES CRASSES ET VIEILLARD AUX MOTS AIGRIS.
♆ ÉGARÉ : DANS L'ANTRE DE SATAN.
♆ ENNUI TROMPÉ : GOUROU SATANISTE. CHIEUR, FARCEUR, EN MISSION POUR LUCIFER POUR FAIRE DE VOTRE VIE, UN ENFER.

(#) Jeu 26 Jan 2017 - 1:56
maïté maïté maïté
accepte tu cette offrande en ta gloire, ô beauté de mes rêves gnah
Bélial Chateminoy
https://foutue-vermine.forumactif.org/t686-belial-on-est-le-diable-on-ne-le-devient-point
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Anonymous
(#) Jeu 26 Jan 2017 - 1:59
(divine) tout s'arrange, sauf la difficulté d'être. Tumblr_og4ohb9xci1rosb88o1_500
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