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O Diabo
O Diabo
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 281
♆ PSEUDO : SATAN
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE MAUVAIS
♆ PERDITION : OMNISCIENCE
♆ ÉGARÉ : DANS TES CAUCHEMARS
♆ ENNUI TROMPÉ : DÉGUSTATION DES ÂMES

(#) Sam 5 Nov 2016 - 14:07
Iris Ansel
Maintenant il te faut être cruel. Tu dois avoir la force d'être sans pitié. Tu dois te sentir assez libre pour ne pas ressentir en esclave. Tu devrais être capable d'abandonner ton art, le fruit de ton travail, tu devrais être capable de t'abandonner. Trempe ta plume dans mon sang, il n'y a que de l'encre dans mes veines.
ALIZÉ MEURISSE ▲
L'ÂME ERRANTE
Héritage Infortuné ♆ Ansel, petit bout de paradis un peu tâché, troublé par sa propre folie. On l'associait autrefois à cette famille aux mille couleurs, leurs bras troués dégueulaient des paillettes. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Iris, la douce fleur, messagère des dieux, porteuse de bonnes nouvelles. Iris, la nouvelle déesse, dont la grâce s'est envolée, dont les ailes se sont brûlées. Il lui reste quand même ses cheveux, vestige d'un arc-en-ciel perdu, détruit par les ténèbres. C'était mieux avant ♆ Vingt-trois ans qu'elle crache ses brouillons de mots à qui veut bien l'entendre. Première Bouffée d'air ♆ C'est dans un cliché total qu'on l'a vu naître à San Francisco dans un van aussi coloré que les pensées de ses parents. Papa et Maman ♆ Américain farfelu incapable de tenir en place, il a traversé les pays jusqu'à tomber sur une femme aux cheveux d'or. Elle était belle, à courir dans un champs d'herbe au Népal. Le cannabis rendait son teint encore plus lumineux. Dans mon lit ♆ Iris, elle est trop forte et caractérielle pour les hommes. Ça fait souvent des étincelles quand elle tente de les mettre dans ses draps. Au final, elle n'aime pas, non, les muscles contre sa peau et les barbes mal rasées. Alors, doucement, ses doigts s'aventurent contre les peaux douces de ces demoiselles en détresse.  Degré de solitude ♆ Perdue dans son monde, elle en a oublié ce que pouvait bien être l'amour. Tromper l'ennui ♆ Regardez la, cette sorcière, assise à sa table en bois prête à s'effondrer. Ses doigts squelettiques attrapent ceux des naïfs. La voilà qui défie les lignes du temps. Les mots quittent sa bouche, dessinent votre futur en échange de quelques billets. La boule de cristal n'est même pas au rendez-vous, ceux qui la connaissent savent comme sa voyance est aussi délabrée que ses pensées. Malédiction ♆ Des visions de l'avenir lui sont données, souvent fausses et dénuées de sens. Tombé dans le trou à rat ♆ Plus d'un an qu'elle s'y est perdue, à la recherche du paradis. C'est l'enfer qui lui est tombé dessus, finalement, mais Iris s’accommode de tout. La nouvelle famille ♆ déchet en fumée entre ses lèvres, déchet dans les veines.
NELA COELHO
C'est l'abeille, autour de la fleur. L'araignée, qui observe le papillon capturé. Lueur, attirant papillon de nuit. C'est Iris et Nela, tout bonnement, simplement. Les images qui dansent, là, subitement, dans la tête d'Iris, lorsqu'elle tombe sur les traits délicats de la cuisinière. Les gémissements qui résonnent dans sa tête, les caresses charnelles qui l'éveillent. Étoiles, là, au fond de ses prunelles. Il a fallu peu de temps avant qu'elle ne pose ses coudes sur le comptoir, le corps tendu par en avant, pour lui conter ses visions obscènes. Qu'elle l'observe, là, avec cette lueur au creux de ses prunelles, la langue passant sur les lèvres. Rouges, sur les joues de Nela ; elle a essayé de détourner les yeux, de s'éloigner de quelques pas, ne pas s'y attarder. Mais Iris, elle est acharnée. Toujours là, dès le premier instant, se glissant doucement pour lui susurrer les dernières visions obtenues. Il y a caresse, là, contre son bras, doigts dans les cheveux, regards houleux. Elle essaie de ne pas voir, la douce Nela, d'ignorer, mais Iris est acharnée. Chat et souris, en train de jouer.
ALVARO MORALES
Elle a encore une fois manqué de fermer sa grande gueule, Iris. Dans ses visions emmêlées, le pouvoir d'Alvaro a fait surface. Les rires se sont échappés de ses lèvres trop rouges. Les moqueries sont devenues si fortes que les regards se sont tournés vers eux. La toxico, elle aurait dû baisser la tête et faire mine de rien, elle aurait du arrêter de suite, lorsque le brun lui a ordonné. Entêtée, elle n'a pu s'empêcher de continuer, toujours plus piquant, toujours plus haut. Alvaro, le cracheur de barbe à papa. L'enfant des sables, il a vu la colère naître, face à ces paroles, à ce rose constamment incrusté sur sa tignasse. Rose, comme il déteste tant, rose, comme la fin de sa vie. Rose vif, rose haine. Ça n'a rien de beau, à ses yeux, rien de joyeux, non plus. Dévoré par la rancœur, son corps vengeur suit les pas de la moqueuse. Dans son imagination la plus profonde, Alvaro égorgerait bien Iris, comme ça, à mains nues, pour qu'elle cesse d'en savoir plus sur lui. Il la tuerait bien, de sang-froid, sans sourciller pour mettre fin à cette rage grondant au fond de son être. Il y pense, à chaque fois que son regard rencontre le sien, trop moqueur et lumineux. Iris, elle s'est mise dans une situation qu'elle pense contrôler, dont elle ne se doute même pas de l'ampleur. Mais un jour, pourtant, la colère enterrée finira par revenir à la surface et lui éclater à la figure. Ce jour là, le rose tournera au rouge.
SANTANA PAZ
Elle n’avait que sa seringue comme seule compagnie, l’héroïne dans le sang pour oublier la solitude dans cette immensité de sable et de poussière. Abandonnée de tous, brebis égarée, le cœur meurtri d’avoir perdu un peu d’amour, à se soigner comme elle peut, pansements de poudre dans le nez. Ce n’était que du plaisir sauvage, soupirs charnels emmêlés. Instants volés dans la nature, à peine dissimulées par des feuillages, parfois au premier recoin qu’elles trouvent, des centaines d’endroits incongrus, pourtant jamais au creux des draps. Elles ne se cachent pas vraiment, elles oublient trop souvent les alentours dans la passion de leurs ébats, beaucoup les ont déjà surprises et mêmes observées. La folle dingue et l’abrutie pleins d’idées de paix. Elles se sont vite trouvées, peu après qu’Iris soit arrivée. Santana a les couleurs de ses parents, les beaux discours entre les lèvres, le rêve doux qu’elle aime vendre. Les murmures qui s’échangent après les ébats, l’agenda qui se dessine entre les lèvres de la belle. Rejoins-nous. Une nouvelle famille, comme avant, avant que son monde ne s’écaille, avant les ravages de la belle héroïne. La tentation qu’elle offre au-delà des cuisses, des promesses d’infini, de plaisir et de bonheur. Santana veut aider Iris à retrouver la raison, guérir les trous dans ses bras, le bleu sur ses veines, pour dessiner un sourire en fumée dans ses lèvres. Et parfois, Iris voudrait lui dire oui, elle se voit suivre le chemin de ses parents, elle se voit perdue dans leurs rangs, comme elle se perd dans son corps. Mais trop souvent, l’héroïne remporte la bataille et la raison peine à garder espoir qu’elle pourra un jour gagner la guerre. Pour dire oui à Santana, il faudrait qu’elle dise non à sa poussière d’enfer, à son sucre doré, à son monde bleu presque transparent. Et Iris n’en a pas encore la force.
FLEUR D'ECSTASY
Iris, elle plonge tête baissée, dans ce grand océan merdique. Les vagues se rencontrent, forment des tourbillons de colère, la soulèvent vers le ciel. Le sourire naît sur ses lèvres, sale de provocation. Bras levés au ciel, on l'entend crier à la vie. Elle nous brûle les tympans, la rose, à hurler comme une folle furieuse. Sa démence, elle est écrite sur son front, en gros, en gras, en souligné, en rouge. Rouge, comme le sang qui coule de ses veines lapidées par l'héroïne. On lui a répété des milliers de fois, durant son périple. « Toi, t'es qu'une putain de droguée. » et même ça, ça la faisait pas réagir. Les seringues tout autour d'elle lui font penser à ses parents. Ses parents : cent vingt kilos de bonheur écorché. Soixante dix, pour le père, dont le corps se perdait dans la foule déchaînée des rues de San Francisco. Pancarte entre les mains, il partait au combat, pour un oui et pour un non : une côte brisée, dans la bataille, par une armée de flics aux nerfs bousillés. Cinquante kilos, pour la mère, plus jolie, plus pacifiste, plus heureuse, plus amoureuse. Elle étendait le linge, seins nus, à proximité du van et partait cueillir des fleurs dans les champs d'à côté. Iris, l'enfant du monde hippie. Victime des clichés colorés. Elle a même pas su attendre la majorité pour fuir cette vie un peu trop niaise pour son caractère explosif. Cette joie, c'était beaucoup trop. Parce que la folle, elle voulait pas, non, vivre et mourir au même endroit. Il lui fallait plus, bien plus, une éternité de choses à découvrir. Mais l'éternité, c'était pas encore suffisant pour elle. Sac à dos presque vide, on l'a vu quitter ses parents au petit matin, sans un au revoir. Sans un mot. Jusqu'ici, l'océan de ses pensées était plutôt calme. On aurait pu le confondre à un étang. C'est sur la route que la première vague s'est manifestée, violente, aussi dévastatrice qu'un tsunami. Cette vague appelée drogue, qui entre dans votre vie pour ne plus jamais en sortir. Elle a pas eu le temps de sourire, Iris, ses démons avaient déjà quitté le sable, au fond d'l'océan. Ils commençaient à nager, en elle. Dans son cœur. Dans ses reins. Dans ses veines. Dans ses pieds. Dans son vagin. Dans ses yeux.
Partout.
La fleur aux pétales fragiles a continué son chemin, le pouce levé, les cuisses ouvertes, le corps oublié. Les squats sont devenus son nouveau chez elle. Ça puait la haine et la mort mais elle se sentait vivre, là, au milieu de toute cette merde. Pendant ses trips, elle répétait tout bas, en riant, que la crasse lui ressemblait. Échouée dans un recoin sombre, baignant dans sa pisse, riait une femme, bien plus forte et jolie qu'Iris (la seconde vague, en réalité. Le déclencheur de tout). Sous ses traits durs, ses grands yeux verts auraient pu envoûter un chat. Même un aveugle, n'importe quoi, c'était trop intense, trop dégueulasse. Injuste. Ils vous transperçaient, comme des balles. On peut l'dire facilement, qu'ils ont foutu la fleur cokée à terre. Cette petite conne d'Iris s'est laissée prendre l'âme par une folie bien plus forte que la sienne encore. La folie Olga, trop vicieuse pour se rendre compte qu'elle vous attaque. Suffit de se perdre entre ses reins une fois pour en finir contaminé. Iris, atteinte du virus n'a su se décrocher du corps de la jolie. Les rails de coke se sont multipliés, en même temps que les routes à prendre. Aucune des deux n'a vu le temps passer, encore moins avec les neurones grillés par l'héroïne et toutes ses copines terminant par la même syllabe. Elle murmurait le nom d'un Paradis, la jolie Olga. Cette assassine. Elle disait, comme ça, de sa voix détruite par la cigarette que ce petit bout de terre perdue en plein brésil survivrait à la fin des temps. Ils ont été une petite dizaine à croire à son récit. Bien sûr, sur l'chemin, certains sont morts dans les toilettes, une aiguille dans les veines. D'autres ont préféré la prostitution à l'espoir. Au final, elles n'étaient plus qu'un trio. Un trio manipulé par leur propre folie, noyée depuis bien longtemps d'une vague déchirante. Et une fois au paradis. La créatrice s'en est retrouvée morte, l'âme incapable de supporter le gaz des parasites. Adieu Olga. La troisième a tenté de fuir et Iris s'est retrouvée seule, là, sous ce soleil détestable. Sa peau brûlée a pleuré, de nombreux jours, jusqu'à ce que son pouvoir ne lui dessine un futur à la hauteur de sa puissance. Iris, des billets entre les doigts, de la coke au bord des narines et une seringue dans la poche. Ça lui a suffit, à la tarée, pour ne pas tenter de fuir. Un mois qu'elle traîne sa carcasse au milieu de nulle part. Un mois, oui, qu'elle aime s'y creuser une tombe. Un mois, juste assez pour que le monde la haïsse, elle et ses airs moqueurs. Elle et sa façon de savoir mieux que les autres.
Son océan ? Ce n'est plus que tempête sur tempête.
O Diabo
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