N'oubliez pas de déclarer votre amour pour satan, en postant sur bazzart Hope
Ils sont beaux, ils sont frais, ils n'attendent que vous.
N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil aux PVs Hope
on veut plus de boobs :pff:
- la surpopulation de mâles sur le forum
Pensez à privilégier les hippies, les voleurs et les pirates l'équilibre est vertigineux. 2250026331
afin de préserver les âmes sensibles, le forum est déconseillé aux moins de 17 ans
Si aucune fiche est postée après cinq jours, votre compte sera supprimé.
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Dunk Low
Voir le deal
64.99 €

l'équilibre est vertigineux.

 :: ET ILS RIENT :: FICHES V1 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Jeu 10 Sep 2015 - 15:56
Otávio Netuno dos Santos Taleida

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ taleida, famille plus ou moins connue au Brésil comme faisant parti des vingt plus grosse fortune du pays grâce à la production en masse de produit agricole. Appellation aux Origines Contrôlées ♆ Otávio Netuno dos Santos Taleida. C'était mieux avant ♆ trente quatre ans, les années commencent à se faire sentir aux coins de ses yeux. Première Bouffée d'air ♆ né un seize février 1981, dans le quartier riche de sao paulo, l’odeur de la propreté, de la sécurité et du fric plein les narines. Papa et Maman ♆ pleinement brésilien, otávio ne revendique aucune autre origine. Dans mon lit ♆ bien qu’on lui ait appris à ne désirer que le meilleur, otávio sait se contenter de tout, des bras forts comme des peaux douces, mais à un faible bien présent pour les demoiselles en détresse. Degré de solitude ♆ entouré d’un harem de catin, il brise sa solitude dans des parties de jouissances dont il est seul maître. Tromper l'ennui ♆ amoureux des plaisirs et de la chaire humaine, otávio en a fait sa spécialité, contrôler les putes et s’en servir pour son usage personnel, occasionnellement s’en occuper aussi, pas bien difficile le boulot de proxénète. Idolâtrie ♆ (Croyances religieuses) Écrire ici. Tombé dans le trou à rat ♆ huit ans qu’il est coincé là dedans, et ça commence à faire long, assez pour se demander si se tirer une balle ne serait pas moins douloureux que la damnation éternelle. La nouvelle famille ♆ crapule.


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ camille.   Pseudo pas beau ♆  l'équilibre est vertigineux. 3444172994  ange laurent. Nombre d'hivers endurés ♆ dix neuf ans. Pierre précieuse préférée ♆ moi  gnah   Compagnie de voyage ♆ j'ai vu de la lumière alors je suis entrée Mot doux ♆  l'équilibre est vertigineux. 390855946  Degré d'addiction ♆ 6/7. Sésame ouvres-toi ♆ (code du règlement) Écrire ici. Tête de cochon ♆ mathias lauridsen. TYPE DE PERSONNAGE ♆ inventé. Remerciements ♆ image tumblr Mot d'amour en plus ♆ même que moi des fois je vomis.
La révélation, enfin, qu'il n'y a ni commencement ni fin, ni sens ni non-sens, seulement le plaisir, la souffrance, l'usure de l'usure. ▲ SOLLERS
tell me what makes your blood boil and what makes your skin soft.
Otávio, le second fils dos Santos Taleida, le gamin de trop, celui à qui on a donné naissance en sachant qu’il n’aurait pas grand intérêt à faire grandir le nom de son père. C’est son frère, Xander, à qui on a confié cette tâche, reprendre l’entreprise à papa, être son bras droit en attendant. Otávio, lui, on lui a juste demandé de rester discret, de ne pas faire de vague, on a crée l’illusion d’un garçon calme sans se douter qu’il deviendrait la tempête en temps de guerre.
Toujours bien élevé, toujours premier. Les bonnes notes, la course à la réussite, rafler des prix insignifiant puisque déjà gagné par son frère avant.
Le second.
Celui qu’on ne remarque que quand on le désigne. Qui fait le fier mais que l’on laisse dans un coin, parce qu’il n’a pas d’importance, ce n’est qu’une copie, l’original est bien mieux.
C’est dans cette ambiance qu’Otávio a grandi. Sachant qu’il ne serait jamais assez, s’efforçant tout de même à obtenir le minimum de ce que l’on pouvait espérer de lui, Harvard et compagnie, c’est bien joli pour les gens de bas étages qui ne connaissent que la poussière et vivent loin du monde où tout n’est que réussite. Harvard, qu’un titre parmi tous les autres qui ne font qu’égaler la réussite de Xander.
Grandir en sachant que son nom ne rentrerait jamais dans l’histoire, que les générations futures se rappelleront de Xander mais pas de son ombre.
Commencer doucement à réfléchir à un chemin, un autre, aucune importance la direction puis qu’Otávio est celui à qui on ne fait pas attention. Prétendre à un business “oui c’est bien Otávio, mais t’as entendu ce qu’on dit de Xander dans les journaux ?”, allier le plaisir au travail, allier les putes au plaisir, allier le travail aux putes, puis finalement contrôler le plus grand réseau de prostitution du Brésil parce qu’il n’est pas bon uniquement à se faire sucer la queue. Faut bien qu’Harvard serve, qu’importe si c’est juste pour baiser des filles au coeur fragile.


Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Jeu 10 Sep 2015 - 16:09
criança mimada

l'étrange
Ses cheveux toujours propres, sa chemise toujours impeccablement repassée, son sourire, ses lèvres roses, cette étincelle dans ses yeux qui ne disparaît jamais, et qui quand elle vous fixe, vous amène à vous demander ce qu’il fait là, à pourrir en enfer, au côté de toutes ces salauds, ces catins et ces malfrats.
Mais il faut regarder un peu plus près, se forcer, se faire violence, bien regarder. Regarder ces cheveux qui ne sont qu’un indice de ses nuits agités, sa chemise et ses taches de sang sur ses manches retroussées, ses lèvres qui s’étirent en un sourire effrayant, et son regard, celui d’un prédateur guettant la moindre erreur de sa proie.
Il faut regarder plus près, observer, ne pas se laisser avoir, essayer de passer outre cette attraction qu’il exerce, comprendre qu’il n’est qu’un appât, que ce sentiment de douceur qui émane de lui, que cette impression de confiance qu’il donne, que tout ça n’est qu’un leurre.
Il attend simplement que vous approchez, près, très près, un dernier sourire, des mots murmurés, des baisers, des caresses, et vous lui appartiendrait.
Le piège c’est refermé, et vous n’avez rien remarqué.
Votre naïveté vous a mis sur les trottoirs.
(c) applestorm


São Poeira
Sao Poeira, la ville maudite, presque autant que lui.
Il voulait juste dépenser son fric dans quelque chose d’intelligent, comme prendre des vacances, trouver une excuse pour ne pas fêter noël avec sa famille, surtout.
Il ne fêtera plus jamais noël en famille et c’est le seul cadeau que lui a offert ce village maudit.
Arrivé en décembre 2007 par pur hasard, de la randonné, se promener, ce truc que font les touristes habituels, les vrais, de ceux qui n’écoutent pas les guides ni les panneaux de danger. c’est lui de danger (c’est ce qu’il c’est dit), puis y a quoi là-bas ? pourquoi ça à l’air si délabré ?
La curiosité. Une curiosité qu’il a payé cher, lui qui pensait que l’argent pouvait tout acheter, tout arranger, son nom ici n’a aucun impact, son nom ne lui a pas donné les faveurs du diable.
Huit ans qu’il y est coincé. Ce n’est pas si affreux que ça, il a son business, il a ses putes, ses clients, de bonnes vieilles habitudes, mais l’ennuie commence sérieusement à le dévorer, il a besoin de chaire fraîche, il a besoin d’ailleurs..
(c) eylika

Pegámos numa criança mimada, mal-habituada e egoísta... e fizemos dele um homem.
i want to know how your soul tastes before you take your clothes off.
Otávio avait passé le dîner du soir les yeux fixés sur la montre à son poignet, un bijoux supposé le féliciter de l’obtention de son diplôme mais qui sous son regard s'apparentait à des menottes, l’incapacité de s’en aller d’ici, de ce repas, de cette table, les minutes défilés à une lenteur extrême et son poignet lui donné l’impression de peser des tonnes. Otávio n’avait jamais appris à être discret. Pourquoi faire ? Personne ne le remarquait jamais de toute façon. Personne excepté Xander, qui, ce soir encore, avait bien compris que si le dîner semblait être aussi long pour son petit frère se n’était pas seulement à cause du silence habituel de ce genre de repas, mais parce qu’il était attendu quelque part.  
Son père ayant déclaré le dîner terminé, il fut le premier à s’en aller, rejoignant sa chambre, son sanctuaire. Tout était déjà près. L’argent, son nokia 7110 dans la poche arrière de son pantalon de costume, des numéros sur un bout de papier, une adresse sur un post-it. Il n’avait plus qu’à partir en douce..
« Tu vas encore voir tes putes ? » La voix de Xander a raisonné dans l’immense chambre, brisant le silence si brusquement qu’Otávio ne put s’empêcher de sursauter, le visage livide d’avoir été pris la main dans le sac. Mais il ne pouvait se résoudre à perdre la partie, son expression était neutre, les bras croisés dans son dos, il regardait son frère avec ce regard hautain qu’il réservait généralement aux gamins de mauvaises familles qui peuplait les rues de Sao Paulo.
« Je n’ai pas prévu de rendre visite à ta fiancé, non. »
Xander n’a pas sourciller mais ses poings se sont serrer un peu plus fermement autour de son torse.
« Je sais tout. »
Tout. Tout ? Otávio a lâché un rire. Impossible. Il n’était peut-être pas discret, il n’en était pas pour autant idiot. Il était impossible que son frère sache tout. Les putes, d'accord. Son boulot de mac ? Le réseau de prostitution ? Ses alliances avec d'autres trafics tout aussi immoraux ? Impossible « Tu ne sais rien, Xander. »
« Tu payes des prostituées pour te faire sucer, qu’est-ce qu’il y a de plus à savoir ? »
Otávio a haussé les épaules. Si c’était ça le “tout” qu’il savait. Très bien. Il ferait avec. « Je ne paye pas ta copine, ça, il faudrait que tu le saches. »
Xander a intercepté la pique comme un mensonge, une phrase pour l'énerver, comme toujours. Mais il a remarqué la lueur dans les yeux de son frère, le sourire au coin de ses lèvres. Ce n’était pas un mensonge.
Otávio avait anticipé le poing de son frère, il n’avait pas anticipé le vase qu’il a attrapé avant de le lui écraser en plein visage. Encore. Encore. Jusqu'à se briser sur sa pommette.
La douleur était insupportable. La sensation de la porcelaine dans sa peau tout autant, et le sang qu’il sentait couler le long de son cou en abondance, assez pour que son frère hurle à sa mère de venir.
Trop tard.
Dix sept ans, et une cicatrice au visage qu’il portera tout le reste de sa vie, comme conséquence à toutes les vies qu'il a détruite.

[...]

« Quel âge ? » A-t-il craché, le visage tordu par la colère.
« Seize ans.. » A soufflé timidement le jeune homme, un pauvre gamin comme il y en a partout dans les favelas de la ville de Sao Paulo, sans père, avec une mère bonne à jeter dans la fausse commune, des soeurs à nourrir, même pas majeur et déjà persuadé que rentrer dans ce genre de réseau pourrait lui sauver la vie, du moins avoir de quoi se coucher le ventre plein. Otàvio n’avait aucun pitié pour ce genre de gosse.
« Vous allez finir par les prendre au berceau maintenant aussi ? » La colère s'incrustait de plus en plus dans les traies de l’homme, agacé qu’on lui apporte des potentielles catins trop jeunes, trop vieilles, trop fragiles, trop apeurées, toujours.. trop quelque chose. Les bonnes catins se faisaient rares, mais heureusement, la clientèle n’était jamais très regardante sur la qualité, particulièrement pour les mineurs, c’est si dur à trouver des enfants à toucher..
Il a fait signe au garçon de s’en aller, il a disparu à la seconde.
Une minute de solitude pour remettre ses idées en place, tenté d’aborder un visage chaleureux, peut-être même réconfortante. Derrière cette porte, il savait ce qu’il allait trouver : une jeune fille en larme, apeurée, recroquevillée sur un lit, les mains attachées dans le dos, la bouche scotchée et toujours cette terreur dans le regard..
Il a soupiré. Il en avait vu des tas, des centaines, mais le boulot restait toujours aussi atroce, quoi qu’il n’ai jamais eu l'envie d’arrêter. C’était pénible certes, mais il savait très bien pourquoi il le faisait. Déjà, son imagination vagabondait, et il sentit déjà son corps répondre au plaisir à venir..
Il fit ce qu’il faisait toujours avant d’ouvrir la porte ; préparer une seringue, glisser un préservatif dans sa poche, répéter son discours, aborder son visage d’ange, respirer un bon coup, actionner la poignet..


Invité
Revenir en haut Aller en bas
Atílio Lampião
Atílio Lampião
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Jeu 10 Sep 2015 - 20:59
va falloir parler de relation privilèges avec ton grand client gnah
Atílio Lampião
https://foutue-vermine.forumactif.org/t691-atilio-no-guts-no-glory-no-legend-no-story
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Ven 11 Sep 2015 - 16:58
mais quel ange ce vilain. l'équilibre est vertigineux. 3921166857
bienvenue dans la famille, réserve-moi une petite place quelque part même si j'suis pas une jolie pute perv
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Ven 11 Sep 2015 - 19:25
vlad, si le grand client est grand partout, je lui garde une grosse place Cunnilingus

ritchie, je veux bien t'aider à devenir une jolie pute pour briser toutes les barrières qui pourraient nous séparer perv
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
(#) Sam 12 Sep 2015 - 21:02

t'as vite craqué. mais c'est bien.
l'équilibre est vertigineux. 3106393901
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
(#)
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en hautPage 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FOUTUE VERMINE :: ET ILS RIENT :: FICHES V1-
Sauter vers: