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Haïr, c'est assassiner sans relâche

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(#) Sam 25 Jan 2014 - 21:17
Luão Andrade

âme égarée
Héritage Infortuné ♆ Ce nom putride, porteur de souvenirs acides, tu l'as passé sous silence. Tu es le fils de cet homme dont le nom rêverait d'être oublié. Son nouveau nom t'as pénétré, comme une lame dans la chair molle. Andrade. C'est court Andrade, et c'est plutôt inutile. Comme si t'avais besoin de t'affabler d'un nom te rappelant sans cesse d'où tu viens, de qui te vient cet héritage empoisonné qu'est la vie. Appellation aux Origines Contrôlées ♆  « Lobo ! » S'égorgent, crient, beuglent, vocifèrent, braillent, s'égosillent les voix gueulantes, erraillées, tranchantes, violentes. Car tu n'es que ça entre leurs lèvres ; un mot court, sec, qu'on a vite prononcé et qui ne nous fait pas penser à grand chose d'intéressant. En fin de compte ce surnom te correspond assez. Même s'il est horripilant, méchant, et gênant, on finit par s'y attacher. Ainsi ton vrai prénom tend à se faire oublier. Luão, un prénom pourtant si chantant. Mais tellement difficile à prononcer l'esprit embrumé de tes nombreux écarts à la moralité. Car ta pénitence te colle à la peau, comme l'aura l'aurait fait pour un saint, et tu la sens, juste là sur ton épaule, elle et son odeur fétide, lorsque s'étirent les ombres et que murmure le glas. C'était mieux avant ♆ Le temps, le temps lourd, pesant, celui qui plie ton échine à chaque inspiration, péniblement ; lui qui trace des sillons sur ta peau, durcit ton âme en jubilant. Le temps, celui qui te mènera bien assez tôt à l'abattoir. Vingt-deux années que t'as pas mérité, c'est bien trop pour un bâtard.  Première Bouffée d'air ♆ Une journée d'automne un peu trop monotone. Il devait pleuvoir ce jour là, comment ne pas pleurer quand nait un malfrat ? Papa et Maman ♆ T'étais pas un enfant voulu. Maman est tombée pour papa, comme ils tomberont pour toi. Tu es l'enfant malvenu, accueilli par dépit. Dans mon lit ♆ Tant que c'est vivant, et un peu humain, tu t'en fous. Te perdre entre des seins ou dans une chute de reins, le résultat est le même. Tu fais pas de réelle distinction, t'es comme ça toi, pas d'opinion. Tu les domine tous, sans souci de définition. Tu les veux tous, tu les abaisses à toi. Tu les aimes le temps d'une nuit, puis leur craches dessus ; abandonnés, le coeur à l'air libre, sanguinolant et dévoré par ton égo monstrueux, jonchant sur un sol sali par les folies de la nuit. Tu les abandonnes ainsi, souillés par l'impur, une grande cicatrice à l'ombre. Degré de solitude ♆ A prendre. Le coeur, entre autres. Tromper l'ennui ♆ Fouineur, voleur, revendeur, bricoleur, traficant. T'as pas d'emploi fixe, tu erres là où tu peux servir, t'acceptes tout ce qui est rémunéré, sans peur aucune de salir tes mains déjà incrustées par la crasse. Tombé dans le trou à rat ♆ Depuis toujours. La nouvelle famille ♆ Crapule.

♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆
Panem nostrum quotidianum da nobis hodie, et dimitte nobis debita nostra sicut et nos dimittimus debitoribus nostris, et ne nos inducas in tentationem sed libera nos a malo.

Je vous conchie, mon père. Vous, et tous les autres. Je vous conchie tous. Tous autant que vous êtes.
Et je vous baise aussi. Tous. Enfin, pas les moches. Je vous baise, et j'essuie ma queue dans vos cheveux. Puis j'vous laisserait comme ça là, à terre, comme on m'a toujours fait. Souillé, et le cul à l'air.
Puis un jour, quand ça me prendra, j'viendrait vous voir pour vous cracher à la gueule, et vous rappeler à quel point je vous ai détruit. J'me délecterai de votre impuissance. Moi, ça me fait bander.


au-delà des dunes
Joli prénom ♆ Julie   Pseudo pas beau ♆ gainsboro Nombre d'hivers endurés ♆ 18 ans Pierre précieuse préférée ♆ Emeraude  Compagnie de voyage ♆ Perfide Albion Mot doux ♆ je tombe sous le charme Degré d'addiction ♆ Je passe presque tous les jours Sésame ouvres-toi ♆ OK PAR CLEB Tête de cochon ♆ Lou Gaillot Remerciements ♆ bannière de eyesofasongbird sur tumblr, avatars de Enden Memories. Mot d'amour en plus ♆  Haïr, c'est assassiner sans relâche 1531248509  
Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange, l'Enfant déshérité s'enivre de soleil, et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil. ▲ BAUDELAIRE
unforecasted fury
La violence ouvre bien des portes. Tes muscles bandés et gorgés de sang poussent ton poing à s'écraser contre des côtes. Tu sens un léger craquement suivi d'une délicate complainte, sonnant presque faux à ton oreille. Tu lis un désir de répit sur le visage de ta victime. Répit que tu ne lui accorderas pas, jamais. Sans relâche, ta brutalité s'abbat sur ta proie, qui croule sous ton poids. Et pourtant son visage s'adoucit et tente d'apaiser la rage qui gronde dans ta gorge. Car au fond, elle a de la peine pour toi. Petit être torturé, qui se défend du monde comme il le peut en serrant les poings, montrant les crocs. Comme un enfant appeuré, ou un vieux qui ment.
Tu la sens ? Ecoute, écoute-moi tu veux ?
Ferme les yeux. Tu la sens ?
Cette peur qui ronge ton coeur.
Est-ce que tu l'entends ?
Celle qui gueule à tes oreilles.

T'as jamais été comme ça Luão. Jamais. T'étais pas vraiment violent avant. Mais tout t'échappe, et part en fumée aussi simplement que si ça en avait été. Ta vie te file entre les doigts, ton destin ne t'appartient plus, comme celui de tous ceux qui t'entourent. Alors fleurissent les ecchymoses à même la peau, entre des pleurs et des cris ; c'est joli une ecchymose, et ça pousse même en hiver. Tu venges ton esprit pervers à travers le malheur d'autrui. Tu caches tes plaies à vif en blessant ceux qui se soumettent. Et ce mal, cette douleur qui brûle tes entrailles jour et nuit, à t'en dévorer les os. N'est-ce pas le prix à payer pour tant d'infâmies ?
En ton esprit endolori grandit un espoir secret de redemption, de pardon. Pourtant tu sais que la confession n'arrange rien, et que toutes ces prières que tu as toujours entendues sont vaines ; l'enfer est déjà présent. Il est ici, tout près, et te retiens à ses côtés, tu porte en son sein, comme il porte tous les autres.
Enfant seul, abandonné de tous les pères, même du plus grand, tu te réfugies dans les bras de ceux qui t'accueillent, et négocies la chaleur de ceux qui te sont fermés ; tu recherches un peu de calme au milieu de l'ouragan, ce calme hypocrite et malsain mais tellement reposant. Tu te noies dans une chaleur humaine souvent traitresse, te perds dans la petite mort, aujourd'hui seule emprise sur la réalité. Tu aurais tellement aimé ne pas en être arrivé là, à quémander le pardon en pêchant continuellement.


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(#) Sam 25 Jan 2014 - 21:17
endoctriné

l'étrange
Crépite la chair et suinte la peau. Liquide cramoisi tâchant le sale, douleur poignante presque déchue. Les yeux posés sur la plaie, tu l'observe se refermer sur elle même, se cacher du monde pour dire je n'ai jamais existé. Les larmes de sang glissent à reculons, les tissus se ressèrent. La chair te brûle un instant, puis plus rien. Seule demeure le souvenir, et une petite cicatrice à peine perceptible, comme effacée par les ans. Mais en ton toi profond le mal demeure. Une plaie en moins pour une nouvelle rouverte à l'intérieur. Chaque pas en avant te rapproche plus encore de l'échéance. La douleur persiste, comme une lointaine sensation, comme une voix qui murmure, ou un grondement sourd. Impossible de la faire taire quand elle hurle à tes oreilles, à t'en réveiller la nuit. Quémander la paix n'aboutira jamais. Ton seul répit demeure dans tes rêves, aussi cupides soient-ils. Oubliés, les rêves de vieillesse et de repos. La fin est proche, et la santé intarissable bientôt sera terrassée. Cette peur te colle au ventre. Bien que tu n'aies jamais manifesté le rêve de mourir vieux, tu prenais même un malin plaisir à t'encrasser les poumons, t'encrasser les méninges à tourner sous ces produits douteux, dont tu connais même pas la composition. Toutes ces drogues qui te font trembler, exhulter, toutes ces choses qui ôtent des marches à l'escalier, tout ça n'est qu'un subterfuge, parce que la seule chose qui raccourcit ton chemin, c'est toi.
(c) eden memories


São Poeira
Ferme les yeux. Ressens cet étau qui oppresse ton coeur, et se ressère peu à peu. Sao Poeira. Cette ville qui t'avale mais ne te recrache pas. Jamais. Et quand bien même tu te débattrais, ses crocs se sont déjà refermés sur ta personne, t'entourant de barrières infranchissables, hormi dans la mort. Tu l'aimais bien avant, cette ville. Quand tu avais le choix, de partir ou de rester, de faire comme tu le souhaitais. Mais c'est quand on perd quelque chose que l'on se rend compte que l'on y tenait. A présent ta liberté n'est que fictive. Tu as l'impression de faire ce que tu veux, le sentiment de faire un choix, mais il n'en est rien. Tu es un prisonnier de plus, prisonnier d'une ville sous le joug du diable. Tu voues à présent à Sao Poeira une haine certaine. Tu y mettrais bien le feu, si tu avais de quoi survivre après tes délires de pyromanie. Alors tu fais comme les autres. Tu conchies la ville mais ne le dis pas. Parce que même si tu la hais, elle te fait vivre, ou plutôt survivre. Et si cela ne te plaisait pas, tu ne serais, crois-moi, depuis longtemps plus là. 
(c) eden memories

Laissez-le vivre ainsi sans lui faire de mal ! Laissez-le s'en aller ; c'est un rêveur qui passe, c'est une âme angélique ouverte sur l'espace, qui porte en elle un ciel auroral. ▲ NELLIGAN

fúria herdada
perdoai-nos as nossas ofensas
« Gabriel ? » Pas de réponse. Tu voyais ses yeux s'ouvrir, le corps de ton géniteur affalé dans le canapé, comme chaque soir. Secoué de tremblements, puis de convulsions étranges, tu le regarde droit dans le blanc des yeux qui roulent sous leurs paupières. Le vieux est en train de vomir. Et comme un con, il allait crever, étouffé dans un mélange de substances illicites, d'alcool et de bouffe pré-digérée. Tes petites prunelles noires se posent alors sur tes bras frêles aux multiples tâches violacées. Seront-ils assez forts pour pousser ton père et le mettre sur le flanc, et lui permettre de respirer ? Sûrement pas. Tes mains sales tremblent imperceptiblement. Mais tu restes planté là, assis sur la table basse, les yeux dans le vide en serrant tes genoux sous ton menton. Gabriel essaie de tousser, et cette vision d'horreur te fait frémir ; mais tu ne bouges pas. Pour rien au monde tu ne raterais l'ultime jugement du monstre que fut ton père. Tu ne sais pas à quel point la mort est lente. Elle prend son temps, et lève sa faux péniblement. Te vois planer un instant la sentence de ton père au dessus de sa silhouette, et tu sais qu'il ne sera pas gracié. Sa bouche entrouverte avale ses sursauts et son regard inquisiteur semble te maudire. Et pourtant, tu sais qu’il n’est pas là. En tout cas, il n’est plus là. Ses yeux se couvrent soudainement d’un voile opaque, les soubresauts cessent enfin.
Je ne sais combien de temps tu restas assis à le regarder. Tu fixait désespérément le tableau mortuaire de celui qui fut ton paternel, à vouloir l’imprimer dans tes souvenirs pour la transposer au monde. Tu te souviens de chaque détail, de la bave qui coulait le long de son menton mal rasé, des trou dans son coude, des cadavres de verres éclatés au sol, des seringues sur la table, jusqu’aux derniers rais du soleil qui s’échouent sur ses ongles encrassés par les pierres terreuses des mines. Des larmes vinrent enfin perler sur tes joues rougies par la chaleur du soir. Des larmes sincères, et pourtant Dieu sait qu’elles ne sont pas pour ton père.

assim como nós perdoamos a quem nos tem ofendido

Ton poing minuscule s’abat sur la lourde porte gainée.  Trois coups. Pour le Père, le Fils, et le Saint Esprit. Ou alors parce que tout le monde frappe trois fois. T’étais jamais allé dans une église, en fait tu ne savais même pas que cette entrée n’en était pas une, du moins pas pour toi.  Tu l’as remarqué en voyant une autre porte beaucoup plus petite sur ta droite, et par où passaient les visiteurs. Tu rentrais alors timidement dans la bâtisse sombre et froide, accompagné de ton sac si petit que c’en était ridicule, et pourtant il contenait toute ton existence. Un petit homme vêtu de noir s’approchait de toi à petits pas pressés, un vieux bouquin délabré sous le coude. « Luão, que fais-tu ici ? » Tu baissais alors la tête. Gabriel est mort. Il le savait déjà. Mais il ne savait pas que t’avais nul part où aller, et la rue t'étais de moins en moins clémente, au fil des nuits. Tu levais tes yeux emplis de larmes et fixais le curé. « pardon, tio. »
Devant ta mine ravagée, tes cheveux pleins de poussière et tes vêtements crasseux, le curé ne posa pas de questions. Il t'offrit un repas chaud, et un petit lit d'appoint dans sa chambre. Le matelas n'était vraiment pas épais, mais c'est plus que ce à quoi tu avais eu droit ces derniers jours. Même si les draps grattaient et sentaient la vieille mort, ils étaient la promesse d'un bon déjeuner au réveil.

♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆
Prier. Prier. Prier. Encore prier. Toujours prier. Prier pour tout, et prier pour rien. Prier pour n'importe quoi chaque jour. Et travailler, travailler. Cultiver. Nettoyer. Cuissiner, étudier, récurer, et encore prier. On sous-estime souvent le travail du clergé. Et à vrai dire, ça te cassait les couilles. Voila sept ans que tu trimais pour gagner ton pain, et garder ton lit. Ta conduite, bien que facilement blâmable, se devait d'être irréprochable. Et chaque bénédicité, chaque Notre Père, était un fardeau encore plus lourd dans ton coeur. Tu ne croyais pas en dieu, pas plus qu'en touts ces dogmes fondamentaux que l'on te forçait à respecter. La sueur qui perlait ton front était légitime dans le sens ou travailler pour manger et pour un loyer c'était correct. Mais tu ne travaillerait pas pour une entité en laquelle, au fond, tu ne crois pas. Tu ne vouerais pas ta vie à l'église comme ils l'ont tous fait ici, tu ne deviendras pas comme eux.
Ton poignet essuie ta tempe. Une petite voix en colère t'arrache à tes pensées. « Luão. viens ici tout de suite ! » Et merde. « j'en ai assez de toi et tes petits camarades. assez, tu entends ?! j'ai remboursé tout l'étalage de Fábia, et tu travailleras deux fois plus jusqu'à me rendre cet argent ! » Si seulement tio savait tout ce que je sais... Car c'était bien le plus correct de tes écarts. Voler des fruits à une marchande. « et avant que j'oublie, j'espère que tu comptais te confesser, et va te préparer pour la messe ! »

não nos deixeis cair em tentação,

L'air lourd de la petite chambre était perturbé par des respirations brutales. La chaleur se faisait étouffante, le vent semblait éviter la petite fenêtre entrouverte. Elle haletait faiblement, tu te délectais de chaque respiration. Sa peau douce glissait contre la tienne, tes mains parcouraient son corps avant de disparaître dans ses cheveux. Et quand ta bouche vint rejoindre la sienne, ses jambes s'enroulèrent autour de toi comme pour te garder prisonnier. Et dans une ultime vague de plaisir, les yeux se ferment et les corps échouent sur les draps, savourant les dernières bribes de l'amour. Son long bras s'étendit pour caresser la pierre sombre et froide des murs, cherchant un peu de fraicheur. « finalement, c'est excitant une église... t'imagines si on nous trouve ici ? » Son rire cristallin s'éleva dans la pièce en raisonnant faiblement. Tes lèvres s'étirèrent pour dévoiler tes dents, et tu déposais un baiser dans le cou de la jeune femme. « je me demande qui du pêché ou de ton corps est le plus excitant. » Tes mâchoires se referment amoureusement sur sa nuque, lui arrachant un sourire. Tes paupières se referment sur le monde, et dans un bâillement, tu avalas l'instant.

♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆ ♆♆♆♆♆♆
Quelqu'un agrippe ton bras et te pousse en tentant de te réveiller. Tes sourcils se froncent et tu laisses s'échapper un grondement de mécontentement. « laisse-moi dormir... » Un sursaut et tu comprends enfin ce qu'il se passe. Tio jetais tes affaires pas la fenêtre en jurant en latin, sans doute. Tu tentais vainement de masquer ta nudité à l'aide d'un drap, tout retenant le bras de ton oncle. « ça suffit. je ne peux cautionner cela plus longtemps. tu t'en vas. » Son calme et sa froideur te figèrent. A trop faire le con, ce que l'on croyait à soi nous file entre les doigts. Et tout ce que tu detestais dans cette église te manquait, soudainement. Avant même d'avoir quitté la pièce. Puis les yeux de tio se posèrent sur les cristaux, étalés sur ta table de nuit. Il tourna les talons sans un mot, et disparut dans l'embrasure de la porte.
( u.c. )

 

 
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(#) Sam 25 Jan 2014 - 21:39
Bienvenue !

Très bon choix de scénario (si ma mémoire ne me fait pas défaut, j'avais hésiter à le prendre avant de faire ma petite Olivia What a Face ) J'aime les petits, comme les grands loup  Haïr, c'est assassiner sans relâche 567651391 Haïr, c'est assassiner sans relâche 936325813  *sort en courant*

En tout cas, bonne chance pour ta fichette ! J'espère que tu te plairas bien ici  :han: 
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(#) Sam 25 Jan 2014 - 21:43
merci et bienvenue mon loup, je suis fan du début, j'aime comment tu le prends, comment il tourne.  Haïr, c'est assassiner sans relâche 3444172994 
du coup, j'ai hâte de lire la suite. Haïr, c'est assassiner sans relâche 207091314
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(#) Sam 25 Jan 2014 - 21:48
Oh, perfide comme compagnie de vol, hein ? Haïr, c'est assassiner sans relâche 3921166857
bienvenue ici, j'valide ton code, c'parfait Haïr, c'est assassiner sans relâche 207091314 et puis le début est franchement sublime. tu fais d'une merveille quelque chose qui brille encore plus Haïr, c'est assassiner sans relâche 1578669634
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(#) Sam 25 Jan 2014 - 23:22
Merci beaucoup tout le monde Haïr, c'est assassiner sans relâche 207091314
Olivia > faudrait que j'aille lire ta fiche alors, si t'es dans le même genre What a Face
Doll > merci, j'espère que la suite te plaira tout autant Haïr, c'est assassiner sans relâche 884465944 
Cleb (omgcenomilenjette) > en fait j'ai pas fait gaffe, mais je viens de bazzart à la base, j'ai fait un tour sur le compte d'une amie, je suis passée de site en site, et j'ai vu FV sur PA alors que j'y suis pas, j'avais pas vu la pub chez bazzart. En bref je suis pas sur perfide, mais j'y réfléchis What a Face
Je vous fais tous des bébés  Haïr, c'est assassiner sans relâche 3106393901 et contente que ça vous plaise, ya vraiment des plumes superbes ici  Haïr, c'est assassiner sans relâche 2834593855
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(#) Dim 26 Jan 2014 - 1:13
oh ce scénario, pis oh cette tête, je l'adore.

en tout cas moi aussi j'adore le début.
bienvenue.  Haïr, c'est assassiner sans relâche 207091314 
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Atílio Lampião
Atílio Lampião
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Dim 26 Jan 2014 - 13:51
oh bon dieu que j'aime le début Haïr, c'est assassiner sans relâche 1578669634
j'dis pas non pour avoir la suite plus vite What a Face
pis ouais t'es pas moche non plus Haïr, c'est assassiner sans relâche 3921166857
bienvenue donc et super choix de scénario aussi perv
Atílio Lampião
https://foutue-vermine.forumactif.org/t691-atilio-no-guts-no-glory-no-legend-no-story
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(#) Dim 26 Jan 2014 - 16:34
Merci beaucoup ça fait vraiment plaisir Haïr, c'est assassiner sans relâche 207091314
J'ai pas mal avancé :han:
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(#) Dim 26 Jan 2014 - 16:35
Le début.  :han: Super choix de scenarii en tout cas. perv

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !  Haïr, c'est assassiner sans relâche 2834593855 
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Anonymous
(#) Dim 26 Jan 2014 - 16:40
Merci Haïr, c'est assassiner sans relâche 1606765011
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Anonymous
(#) Lun 27 Jan 2014 - 18:44
c'que t'as écrit pour le moment est génial, puis l'avatar est carrément bandant. perv
bienvenue ! Haïr, c'est assassiner sans relâche 1844646662
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Atílio Lampião
Atílio Lampião
♆ MALÉDICTIONS LANCÉES : 464
♆ PSEUDO : AMIANTE.
♆ AVATAR : CILLIAN MURPHY.
♆ ALIGNEMENT MORAL : CHAOTIQUE BON
♆ PERDITION : FABRICATION DE SOUVENIRS.
♆ ENNUI TROMPÉ : FIGURE PATERNELLE DES ENFANTS VOLEURS. SAINT PATRON DES ORPHELINS. LES BONNES INTENTIONS SE SONT ÉRODÉES AVEC LA POUSSIÈRE. IL LEUR A TOUT APPRIS, LES DOIGTS MAGIQUES POUR DÉTROUSSER SANS SE FAIRE ATTRAPER, LA SOLIDARITÉ DANS LE BUTIN QU’ILS PARTAGENT ET MÊME LES VICES AU CREUX DES DRAPS.

(#) Mer 5 Fév 2014 - 9:12
temps écoulé

le sang a giclé
Larmes de sang, là, qui dégoulinent le long de ses traits. N'entends-tu pas ses cris d'agonie, les âmes qui se voient alors meurtris ? Il fait l'enfant, le pauvre Satan, de ne pas toucher ton âme, de ne pas s'amuser avec toi. Il te voit, là, au travers de la foule, t'éloignant doucement, t'effaçant presque tendrement, et il ne l'accepte pas. Connais-tu seulement la sentence, pour rendre le démon aussi triste, aussi humain ? Dix larmes de sang ont déjà été versés, si tu n'es pas là d'ici quatre nouvelles larmes, il sortira les crocs, il sortira le fouet, et ton âme, brusquement, sera détruite à néant. Ce que Satan n'a pas, n'existe pas.


Atílio Lampião
https://foutue-vermine.forumactif.org/t691-atilio-no-guts-no-glory-no-legend-no-story
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